Une rencontre plutôt ambiguë [PV Morigane de Rivaldi]

Encore une fois, j'errais dans les couloirs du Pensionnat, à chercher une occupation. Les élèves étaient en cours -enfin je pense-, je pouvais donc réfléchir seul et en silence. J'envisageais quelques solutions, telles que sortir en ville, piller les cuisines, ... Mais finalement, j'optais pour prendre une douche. Ça peut être anodin comme ça, mais c'était la première fois que j'allais entrer dans la Salle de Bains commune. Bien sûr, dans celle des hommes. Contrairement à certains, je ne suis pas un stalker.
Ainsi, je pris la direction de la salle que j'avais choisie, des affaires propres et une serviette à la main. C’était l’occasion d’évaluer la pièce et de donner mon avis dessus, ça pouvait toujours être utile. Une fois arrivé, j’entrais et me déshabillais, posant mes affaires dans un coin. Je ne me préoccupais pas de l’état de mes habits, qu’importe s’ils étaient sales. Me mettant sous la douche, je tournais la manivelle, et je sentis l’eau tomber sur moi comme de la pluie. Le liquide brûlant sur ma peau me procurait un bien fou. Je me sentais bien à l’aise. J’étais imperturbable. Fermant les yeux, je passais mes mains dans mes cheveux et je m’adossais au mur. Je pensais pouvoir rester comme ça pendant des heures. J’aurais pu, si je n’avais pas entendu quelqu’un arriver. En effet, un bruit se profila. Léger, mais audible pour une oreille attentive comme la mienne. C’était une personne, j’en étais sûr. Mais vu le bruit qu’elle faisait, ce n’était pas un homme. Grâce –ou peut-être à cause- de mes entraînements dans les Services Secrets, ce genre de bruits faisait partie de mon quotidien, je n’avais donc aucune peine à les analyser. Le bruit de pas se rapprochait, et étrangement, il semblait se rapprocher vers moi, alors qu’il y avait plusieurs rangées de douches, et que pour être tranquille, j’avais choisi celle du fond. Finalement, après avoir attendu un moment, elle arriva vers moi…

Excusez moi du maigre contenu que j'offre, il faut le temps que je me réhabitue à Rp ^^' En plus, c'est un vague message de départ donc bon. Bye

Je sifflotai joyeusement dans les couloirs. J'étais à l'affut, j'étais très excitée et d'humeur coquine. Mais comme par hasard il n'y avait aucun élève potable dans les couloirs. Je soufflai exaspérée. Je vis un autre surveillant, mais il était trop tard pour m'enfuir... Il me choppa et me passa un savon m'invitant à rejoindre le bureau tout de suite. Mon excitation retomba nette me mettant même presque de mauvaise humeur. Je marchai dans les couloir pour retourner au bureau lorsque je vis un bel homme passer non loin. Mon radar s'alluma et je me mis à le suivre discrètement. Okay ça pourrait paraitre bizarre mais bon... Il s'arrêta devant la salle de bain... Je me mis à rougir et à sourire comme une idiote. Je suivais ses pas et m'arrêta devant la porte. J'eus une petite hésitation, ce que j'allais faire aller à l'encontre du règlement... Une femme n'avait pas le droit d'entrer dans la salle de bain des hommes... Je soupirai... Je n'allais pas laisser passer l'occasion de voir d'un peu plus près.
Je poussai la porte et entrai lentement dans la salle. J'essayai d'être la plus discrète possible, de plus le bruit de l'eau couvrait mes pas. J'arrivai près de son emplacement et je me mis à l'observer. Je me mordis la lèvre, plutôt pas mal celui là... Je devais absolument tenter une approche.
Je poursuivis mon chemin pour apparaître dans son champ de vision. A quelques mètres de lui, le sol était humide et attentive comme je suis... Mon pied glissa et je basculai en avant, le sol se rapprochant vraiment dangereusement...

Je l'aperçus enfin. Elle etait belle, et bien "lotie", si vous voyez ce que je veux dire. En effet, en parcourant son corps du regard, je m'arretais un instant sur deux protuberances de forte taille. Mais gardant mon savoir-vivre, je levais mon regard vers elle. Dans ses yeux, on pouvait lire une certaine malice. Elle etait entrée ici volontairement, en me voyant entrer. Il me semblait avoir vu son nom dans la liste du personnel du Pensionnat. J'y avais lu qu'elle possédait un caractère assez coquin, et qu'elle avait un goût prononcé pour l'alcool. Aucun de ces deux traits ne me derangeaient, bien evidemment. Je me rappelle même qu'à ce moment, je me demandais ce qui pourrait se passer etant donné la situation. Mais bref, je m'égare.
Ainsi, elle s'avança, et comme si toute son attention était portée sur moi, elle ne fit pas attention et glissa. Comme tout bon gentleman qui se respecte, je la rattrapais de suite. La situation était plutôt burlesque, car, étant nu -et oui, je ne me douche pas habillé-, je faisais en sorte de la porter seulement avec mes bras, afin que mon corps ne la touche pas. Je pouvais enfin l'observer de plus prêt. Elle avait les traits fins, un visage parfait, et je me perdais dans ses magnifiques yeux. Après un bon moment passé à rêver devant elle , je lui demandais:

-Tout va bien? Vous ne vous êtes pas fait mal?

Ne sachant pas vraiment quoi faire, je restais ainsi, elle dans mes bras, en attendant sa réponse.

Alors que j'allais m'écraser sur le sol, le jeune homme me rattrapa rapidement. Il faisait en sorte de rester écarté de moi. Il plongea son regard dans le mien pendant un long moment. J'écarquillai les yeux, ses yeux verts étaient absolument envoûtant.

-Tout va bien? Vous ne vous êtes pas fait mal?

Je posai mes mains sur ses épaules en souriant, je me rapprochai un peu.

-Oui... Merci de m'avoir rattrapé...

Je le regardai longuement, je baissai les yeux pour contempler son corps, il était vraiment bien bâtis celui-là, je n'avais pas eu l'occasion d'avoir une aussi belle vue depuis un moment. Je souriais toujours, je n'avais rien contre l'idée de prendre une douche en sa compagnie... Uhuhuhuh. Je caressai sa joue du bout des doigts avant d'y déposer un baiser.

-Encore une fois merci de m'avoir rattrapé... Je dois dire que vous êtes l'un des plus beaux hommes que j'ai pu admirer et voir d'aussi près depuis que je suis ici...

Mon sourire devint taquin et je pris un air malicieux, il ne devait pas être du genre trop dur à séduire et à mon avis il devait aussi aimer s'amuser. Tant mieux, moi aussi... Je penchai la tête sur le côté me collant un peu plus encore à lui, je déposai un nouveau baiser sur sa joue, un peu plus proche de sa bouche toute fois. Je murmurai

-Je vous en prie, dites moi que vous êtes célibataire et que je n'aurai aucun ennuie...

C'est sur que s'il était déjà pris, cela allait être problématique et je ne voulais pas de ce genre de problème. Rien de plus emmerdant qu'une jeune femme jalouse et haineuse parce que vous avez oser toucher à son mec... Je voulais vraiment jouer avec lui... Je continuai de sourire de manière provocatrice, s'il était célibataire... Plus rien ne pouvait m'arrêter...

-Oui... Merci de m'avoir rattrapé...

Elle s'était rapprochée de moi, s'accrochant à mes épaules. C'était assez étrange, car je n'étais pas du tout gêné. Juste après m'avoir remercié, elle m'avait "observé", regardant ainsi tout mon corps. C'est vrai que je n'avais pas -et je n'ai toujours pas- l'habitude de ce genre de choses. Ça vous arrive souvent vous, qu'une inconnue vous reluque alors que vous êtes nu devant elle? A moins que vous ne soyez strip-teaseur -ou d'une autre profession que je ne citerai pas-, ça ne doit pas vous arriver très souvent. Toujours est-il que nous étions là, à se regarder l'un l'autre. Puis, au bout d'un moment, elle commença à caresser ma joue du bout des doigts avant d'y déposer un baiser.

-Encore une fois merci de m'avoir rattrapé... Je dois dire que vous êtes l'un des plus beaux hommes que j'ai pu admirer et voir d'aussi près depuis que je suis ici...

Comme vous le savez, ce genre de remarque fait plaisir, voire même très plaisir. Certes, je n'ai pas de pustules et autres verrues sur le visage, mais de là à dire que j'étais "un des plus beaux hommes qu'elle ai vu jusque là depuis qu'elle est ici". Mais bon, je n'allais pas la frapper parce qu'elle m'avait complimenté, d'une car ça aurait été impoli, de deux car on ne frappe pas une fille quand on est civilisé, et de trois: Pourquoi je la taperais? Bref...
En terminant sa phrase, un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres. Je pensais qu'elle essayait de me séduire et j'avais raison. Mes pensées furent validées lorsqu'elle se rapprocha encore plus de moi -quitte à ce qu'on soit collé- et qu'elle m'embrassa de nouveau sur la joue. Toutes fois, ses lèvres étaient beaucoup plus proches des miennes que la première fois. Je devinais alors qu'au prochain baiser, ce ne serait pas la joue qui sera visée. Et comme pour parfaire mes idées, elle murmura doucement à mon oreille:

-Je vous en prie, dites moi que vous êtes célibataire et que je n'aurai aucun ennuie...

On en venait enfin au vif du sujet. Elle n'y était pas allée pas quatre chemins, elle avait été franche. Toutefois, derrière son coté coquin se trouvait un coté "timide" et incertain, manquant d'assurance. Réalité, ou masque créé pour m'attendrir? Tout ce que je sais, c'est que cela ne me laissa pas indifférent.

-Rassurez-vous, je suis célibataire, vous n'aurez aucun problème.

Et finissant ma phrase, je l'embrassais, non pas sur la joue près de sa bouche, mais sur ses lèvres délicates. C'était plutôt agréable je dois dire. Il était rare qu'on puisse "approcher" une fille comme cela. Généralement, c’était elle qui, excusez moi de l'expression mais, vous sautait dessus. Personnellement, j'aime bien jouer aussi, et là, j'allais être satisfait...

-Rassurez-vous, je suis célibataire, vous n'aurez aucun problème.

Oh génial, il était totalement réceptif à mes paroles et à mes gestes. J'adore ce genre de mecs, pas compliqué et qui aime s'amuser aussi. Ce fut lui qui entreprit le premier baiser, agréablement surprise j'y répondit avec plaisir. Je passai mes bras autour de son cou en me collant totalement à lui. Hum c'était si bon ,cela faisait longtemps que je n'avais pas eu ce genre de contact. J'embrassai maintenant son cou, caressant sa peau douce et chaude. Peut-être fallait-il que je sache son nom avant de poursuivre... Si nous décidions de remettre cela.

-J'oubliai... Quel est votre nom ? Je suis Morigane De Rivaldi, une surveillante de ce pensionnat...

J'effleurai ses bras du bout des doigts en souriant, j'étais patiente et je savais prendre mon temps. Il était certes réceptif mais je ne voulais pas le brusquer. Je ne suis pas une brute non plus ! Je posai ma tête sur son épaule en le regardant. Je déposai un baiser sur son menton en continuant d'agiter mes doigts sur sa peau avec le plus de douceur possible. Normalement personne n'allait nous interrompre puisque tout les élèves étaient sensés être en cours à cette heure-ci. Je passai mon autre main dans ses cheveux, remontant la ligne de sa nuque. Mes ongles éraflaient doucement sa peau, sans le marquer ou lui causer une grande douleur. J'étais assez heureuse de tomber sur quelqu'un d'ouvert et pas du genre prise de tête... ou même célibataire, je riais intérieurement, pour le coup j'étais veinarde. Et j'avais bien l'intention de profiter de cette chance à fond...

Sans aucune gêne et comme si l'on se connaissait depuis longtemps, elle répondit à mon baiser et mit ses bras autour de mon cou tout en se collant à moi. Le contact de ses habits contre mon corps nu n’était pas désagréable. Au contraire, cela me plaisait. A elle aussi à priori. Par la suite, elle descendit ses lèvres pulpeuses vers mon cou tout en caressant ma peau, ce qui eu pour effet de me faire frémir, et peut-être, de m’exciter légèrement. Voir peut-être plus... Mais bref. Elle s’arrêta pendant un court moment pour me poser une question assez banale mais qui pourrait lui être utile. Nous être utile même.

-J'oubliais... Quel est votre nom ? Je suis Morigane De Rivaldi, une surveillante de ce pensionnat...

C’était plutôt mignon. Comme je l’ai dit plus tôt, on sentait une certaine timidité dans ses paroles, chose qu’elle tentait de masquer afin de paraître imperturbable. Mais je le voyais très bien, et j'étais attendrit par ces manières
Faisant preuve d’une patience honorable, elle attendit ma réponse en me caressant légèrement les bras. Puis, posant délicatement sa tête sur mon épaule, elle plongea son regard dans le mien avant de déposer un baiser sur mon menton pour ensuite reprendre sa position précédente. Ses doigts parcouraient ma peau comme une brise d’été qui nous rafraîchirait de la chaleur environnante. Elle les remonta par la suite vers ma nuque, me griffant très légèrement. Je frissonnais, affecté par ce geste des plus agréables. Ce n’était qu’un début, et j’appréciais déjà le moment que je passais avec elle.
Avant de continuer, je décidai de me présenter, en tout bien tout honneur. Je n'allais pas perdre mes habitudes de gentleman quand même. Avec cela, je lui envoyais un de ces petits clins d’œil séducteurs dont j'avais le secret.

-Je suis Tamashï Kurai, Professeur de Combat de ce pensionnat. Enchanté, charmante demoiselle.

Sur ce, je la relevais lentement et l’emmenais vers le mur en la prenant par les épaules, puis je l’embrassai fougueusement. Je ne sais pas pourquoi ni comment cela m’avait pris, mais elle m’excitait, avec ses gestes, ses paroles, son apparence, et je ne pouvais rien faire contre ça. Passant mes bras sous son chemisier déjà trempé, je caressais sensuellement son dos. J’étais parti, et ce n’était que le début. La suite risquait d'être prometteuse...

Il me fit un clin d'oeil avant de se présenter également. Tamashi Kuraï, professeur de combat hein ? Intéressant. Je souriais toujours quand il se mit à me pousser contre le mur trempé. Mon chemisier blanc était devenue transparent et ne me servait plus à rien. Alors qu'il caressait mon dos je déboutonnai lentement mon chemisier. Une fois ouvert je le jetai plus loin avant de caresser son torse avec douceur. Son torse était vraiment agréable à toucher... Je posai ma main sur le mur, à la recherche de la valve d'arrivée d'eau. Je la tournai pour ouvrir l'eau. L'eau chaude se mit à couler sur nous deux. Brr enfin, je n'avait plus froid maintenant. Un frisson parcouru mon corps et je caressai la jambe du professeur de la mienne. Je glissai ma bouche le long de sa peau pour embrasser son cou en descendant ma main vers son entrejambe. Mes doigts effleurèrent celui-ci avant de le caresser. Mes yeux étaient toujours clos et tout mes gestes étaient instinctifs...
De mon autre main j'effleurai le bas de son dos avant de dire suavement

-Ravie de faire votre connaissance... Monsieur Kuraï...

Mes lèvres retournaient à leur occupation, je continuai d'embrasser son cou, puis ses épaules, et son torse. Sa peau était chaude, comme l'eau, et humide. Mes caresses sur son membre, se faisaient plus précise et assurée. J'ouvrai les yeux pour regarder le beau professeur.

Après cette approche assez directe, je pensais que notre jeune demoiselle allait s’offusquer. Mais au contraire, elle réagit très bien, à mon plus grand bonheur. Sans patienter plus longtemps, elle déboutonna son chemisier –lentement toutefois- avant de l’enlever complètement pour le jeter au loin. Comme je m’y attendais, ces formes étaient des plus généreuses, et la simple vue de son corps ravirait n’importe quel homme qui saurait apprécier la femme. Ou les femmes, qui sait ? Mais bref, trêve de nuances légères et subtiles, revenons dans le vif du sujet.
Caressant délicatement mon torse d’une main, elle tourna la valve d’eau de l’autre après l’avoir cherché un moment. L’eau nous tomba dessus comme de la pluie sur deux amants s’embrassant et partageant leur amour sous un ciel grisâtre. Mais, nous n’en étions pas là, nous n’étions que deux personnes de sexe opposé dont la rencontre était le fruit du hasard –ou presque-, et déjà, nous nous caressions comme si l’on se connaissait depuis longtemps. Hors, ce n’était pas le cas, et nos gestes et nos réactions passèrent un palier, se faisant plus… Comment dire… Sensuelles ? Sa jambe remonta la mienne en la caressant pour me prodiguer une sensation de douceur. L’excitation montait légèrement. Ses lèvres pulpeuses passèrent sur mon cou et sa main se rapprocha de mon entre-jambe, l’effleurant comme une brise d’été tout d’abord, puis le caressant de façon… Sensuelle justement ! Pour parfaire le coté charmeur et coquin, elle me répondit d’une voix envoutante :

-Ravie de faire votre connaissance... Monsieur Kuraï...

Je me rappelle qu’à ce moment là, je pensais « Mais cette fille n’arrêtera donc jamais de m’exciter ? ». Ah… C’est drôle n’est-ce pas ? Non ? Bon…
Son baiser recommença, descendant progressivement jusqu’à mon torse, et comme si elle souhaitait garder une progression générale, ses caresses se précisèrent lentement, devenant plus intenses et plus agréables, je ne peux le nier. Et ayant gardé les yeux fermés jusque-là, elle les ouvrit, tendant son regard pénétrant vers moi. Devant cela, je ne pus rester indifférent. Que voulez vous, je suis un gentleman ! Alors, en contre partie des ses divines attentions, ma main descendit sous sa jupe, pour caresser sa cuisse, puis, la remonta. Arrivé en haut, je lui rendis la pareille en la caressant délicatement. L’autre main lui caressait lentement le dos. Avec cela, je perçus un léger frisson de sa part, chose plutôt normale. Puis, comme animé par un certain désir, je baissais lentement sa jupe, jusqu’à l’enlever en m’aidant de ma jambe libre.
Etapes par étapes, je me rendais compte que nous progressions rapidement, et que si les choses continuaient à ce rythme, nous en serions vite à une étape plus concrète…

Si mes mains avaient rapidement trouvés une occupation les siennes aussi. Mes joues se teintèrent d'un léger rouge. Un frisson parcouru mon corps et ma respiration plus lente. Je resserrai l'étreinte de ma main en accélérant les mouvements de mon poignet. Il fit glisser la jupe le long de mes jambes. Il ne restait presque pas de tissus sur mon corps. Et ça ne me dérangeait absolument pas... J'attirai sa bouche contre la mienne pour l'embrasser fougueusement. Je brûlai de l'intérieur, je mourrai d'envie de sentir ses mains parcourir mon corps... Seul le plaisir et l'envie de sexe m'avait conduit ici... Et je supposai facilement que mon envie allait être satisfaite... Je passai ma main libre dans ses cheveux, depuis sa nuque. Je mordillai le lobe de l'oreille de l'homme, avant de susurrai que j'en attendais, et en voulais beaucoup plus...
Je faisais glisser mes lèvres sur la peau chaude de mon futur partenaire de partie de jambe en l'air. L'eau coulait à flot sur nous et je me sentais bien. Mais je me sentirai mieux si nous progressions... Pour l'inciter à continuer, je dégrafais mon soutien gorge, libérant ma poitrine de son joug. Je le retirai pour l'envoyer rejoindre le chemisier. Voilà qui devrait le satisfaire quelques minutes avant de lui donner de jouer un peu plus en profondeur...

Up ?

Aucune réponse ? Je le mets aux archives alors.

Comme je m'y attendais, la jeune femme réagit très bien, et m'embrassa avec toute la passion et l'excitation qui devait la tirailler. Ses lèvres se dirigèrent tout d'abord vers mon cou puis jusqu'à mon oreille qu'elle mordilla tel un félin affectueux. Coquine celle là... Et, j'ai beau être un gentilhomme aux manières galantes et délicates, je ne peux ignorer ce genre d'action.
Ne s'arrêtant pas en si bon chemin, elle dégrafa son soutien-gorge, après m'avoir suavement annoncé qu'elle souhaitait être satisfaite et que par conséquent elle en voulait plus, ce qui me permit d'observer sa magnifique poitrine si volumineuse. Tout à l'heure, je vous ai dit que ses formes pouvaient satisfaire n'importe quel homme. Et bien elle allait encore plus loin. Vous auriez été à ma place, qu'est-ce que vous auriez fait? Vous ne voyez pas? Vraiment? Et bien lisez la suite jeunes ignorants en manque d'imagination (ou gentils esprits purs et innocents, à vous de voir).
Rapprochant mes mains sur ses cuisses, je la soulevai et la bloquai contre le mur tout en l'embrassant langoureusement. Ma langue caressait la sienne en une union parfaite. Nous en étions maintenant au moment fatidique. Toutefois, nous n'avions rien préparé -si vous voyez ce que je veux dire-, et je trouvai que c'était un tantinet brusque. Enfin, je me dis que j'étais jeune et qu'il était temps que nous attaquions. Ainsi, je m’immisçais lentement en elle, commençant ce que nous attendions surement depuis le début de notre rencontre...

Il me souleva rapidement du sol, me plaquant doucement contre le mur. Je m'empressai d'encercler sa taille de mes jambes alors qu'il me pénétrait, lentement... Enfin ! Nous étions rentré dans le vif du sujet... Hum hum, et pas qu'à moitié. J'espérai vraiment que le reste ne serait pas aussi lent... Je n'aimai  pas vraiment être traité comme une poupée de porcelaine... Surtout de la part d'un plan cul... Je ne voulais pas de sa douceur ou de son inquiétude... Juste qu'il m'offre son corps sans me manquer de respect... Je posai mes mains sur ses épaules, le dévorant du regard, attendant la suite avec impatience. J'avais l'impression de bouillonner de l'intérieur et que j'allais bientôt éclater s'il ne commençait pas à bouger en moi rapidement... Je me penchai légèrement pour coller mes lèvres contre les siennes en glissant mes doigts le long de son cou pour venir les cacher dans ses cheveux. Je le maintenait ainsi contre moi, insinuant ma langue entre ses lèvres pour venir caresser la sienne langoureusement... Tant pis j'en avais marre d'attendre... Je soulevai lentement mon bassin pour le redescendre un peu plus rapidement, s'il voulait se laisser il aurait pu choisir une autre position... Ce n'était pas la plus pratique... Mais peu importe, il allait finir par bouger et rapidement... Je décollais mes bouche avant de passer ma langue sur la sienne, plongeant mon regard dans le sien... Très beaux yeux...