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 Je m'appelle Dimitri [fini !]

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Dimitri Volg
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Dimitri Volg
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Carte d'étudiant
Age:: 23 ans
Pouvoir: Voir les relations des gens
Titre: Aucun

Je m'appelle Dimitri [fini !] Empty
MessageSujet: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptySam 30 Mar - 18:55

Fiche de:

♣️Dimitri Volg♣️



†Nom: Volg

†Prénom: Dimitri

†Sexe:

†Sexualité: homosexuel

†Age: 23 ans

†Emploi: Professeur de mathématiques



†Pouvoir:
Vision des relations sociales :
Je peux voir les liens qui unissent les personnes sous la forme de ruban attachées de l'une à l'autre et qui varie d'aspect selon les sentiments (ex : une très forte amitié m'apparaît comme un fin ruban doré). Je peux également dans certaines conditions agir sur ses relations.
- Je dois connaître un minimum les personnes impliquées dans le lien pour le voir précisément (sinon c'est un simple ruban gris)
- Seule une très forte émotion peut me permettre de les altérer et il est impossible de savoir ce qu'il va advenir d'une relation ainsi modifiée : certaines relations vont naturellement revenir comme avant après un certain temps, d'autres ne pourront jamais se reformer (cela dépend aussi de mon état quand je l'ai modifié je crois)
- Certaines relations sont incassables ou inébranlables, je peux par contre agir facilement sur une relation en train de se former


♠️ Physique ♠️


Je suis beau. En tout cas, c'est ce que l'on m'a toujours dit depuis que je suis tout petit. Je suis plutôt élancé, ma silouhette est très "gracieuse". Mon visage est fin, mes traits bien dessinés, et mon menton un peu pointus. Mes yeux ont un peu la forme de ceux d'un chat, mon nez est délicat et j'ai de "tendres" pommettes, d'après ce que m'a un jour dit Sylvain. Mes cheveux sont bruns, tirants vers le rouge, je les aime beaucoup.
Tout de même, je dirai que mes hanches sont un peu trop larges par rapport aux critères masculins, mon cou est un peu trop fins et mes yeux ont une drôle de couleur. Mais on dit bien que personne n'est parfait.


♡ Mental ♡



Je suis considéré par certains comme étant sociopathe, mais cela est complètement faux, un sociopathe ne ressent absolument aucune émotion, ce qui n'est pas mon cas. On peut même dire que je suis assez colérique, plutôt possessif, je déteste perdre, j'ai peur de la mort par contre j'apprécie le vent plus que personne, je suis heureux quand je trouve la solution à une énigme, etc... Je ne suis pas du tout sociopathe.
J'aime beaucoup les plantes aussi, ce sont les seuls êtres vivants avec qui j'aime encore passer du temps, car en effet, je ne suis pas sociopathe mais je ne me lie pas avec les gens, et attention, je ne veux pas dire que je préfère rester solitaire ou que les gens m'inspire le mépris, non, ils me sont totalement indifférents, je ne ressens absolument rien pour eux. J'ai arrêté cela il y a quelques années, je n'y tenais plus.




♦️ Histoire ♦️



Souvent, je rêve de mon enfance, je vivais des jours paisibles, mes parents m'aimaient et j'aimais mes parents, nous habitions dans un petit village tranquille où l'été était doux et où le sol se couvrait de neige en hiver. Mon frère était mon idole et je chérissais ma petite soeur plus que tout au monde. Nous étions heureux tous les trois, passant nos journées à nous amuser comme seuls les enfants peuvent le faire, notre jeu préféré consistait à sauver le monde, ma soeur était la jeune spécialiste en potion qui était le seule à pouvoir créer le remède à tous les maux, mon frère était le preux chevalier qui par sa force et son courage la protégeait et moi j'étais le voleur repenti qui grâce à son agilité et à sa ruse nous faisait entrer n'importe où et pouvait obtenir n'importe quel objet. De temps en temps, d'autres enfants se mélaient à notre jeu, nous aidant dans notre quête et les adultes étaient des obstacles car ils ne comprenait pas notre but, mais au final c'était toujours nous trois. Puis est venu Nathanael, c'était un jeune garçon à peine plus âgé que moi, ces parents venait d'emménager et il n'avait pas d'ami ici, alors nous l'avons intégré à notre univers, il devint très vite notre chef, intelligent, charismatique et, malgré son âge, si mûr. Nous étions inséparables, toujours ensemble, toujours jouant, sauvant le monde sans que personne le sache. Nous étions des enfants.

Mais un jour, il faut bien penser à grandir, on ne peut rester toujours dans l'insouciance et cela commence par des changements très simples mais souvent radicaux.
- Il nous faut un méchant, un vrai, avait une fois déclaré mon frère.
Oui, le jeu n'était plus si intéressant, sauver le monde, c'était bien, mais on ne faisait finalement que créer un remède, battre de petits méchants sans puissance et éviter des pièges. Après mûres réflexions, nous décidâmes de jouer le rôle tour à tour. Et le jeu se pimenta, tout comme notre vie réelle. Je m'étais rendu compte depuis quelque temps que je ne voyais pas le monde comme les autres. Mon univers était rempli de rubans de différentes formes, de différentes textures et de différentes couleurs, ils reliaient les gens deux par deux. J'avais fini par comprendre au fil des années qu'ils représentaient les sentiments qui liaient les personnes entre elles. Et alors que nous devenions adolescents, je voyais nos liens se modifier de façon presque imperceptible mais belle et bien visible pour moi.
Et tout cela se précipita quand Nathanael créa le Seigneur de la Lumière, c'était un méchant que seul lui pouvait créer à cet âge, il n'était pas diabolique ni même cruel, il était fou et ne faisait que ce qu'il croyait juste, et Nathanael était étrangement attirant quand il le jouait. Je sentais mes sentiments se modifier petit à petit, je n'avais qu'une envie, c'était de le rejoindre, de rester auprès de lui toujours, j'aurais pu faire tout ce qu'il demandait, absolument tout. Et je n'étais pas le seul, ma soeur aussi commençait à sentir cette attirance irrésistible et quand un jour je découvrais devant moi le ruban qui la reliait à Nathanael et qui était devenu d'une belle couleur bleue nuit et d'une texture si douce, je compris que celui que j'adorais adorait, quant à lui, ma soeur. Un sentiment oppressant et inconnu m'envahi et je sentis mes entrailles se tordre. Je découvrais la jalousie comme seul un jeune adolescent le pouvait, c'était froid et cruel, c'était douloureux et c'était violent, mais surtour ça grandissait. Les sentiments comme la jalousie se développent petit à petit, vous rongeant tout doucement jusqu'à ce que quelque chose déclenche son déchaînement. Pour moi, ça aurait pu être la vision d'eux deux s'embrassant ou se tenant la main, j'aurais pu exploser en les apercevant enlacés dans un coin, mais non, ce fut quelque chose de plus discret, de plus anodin, ce fut le sourire de ma soeur alors qu'elle le vit arriver par la fenêtre un matin qui déclencha tout. La colère m'envahit entièrement, troublant ma vue et mon esprit, je voulais juste qu'elle arrête de le regarder de cette façon, alors j'ai pris le ruban pleu entre mes mains et j'ai tiré, et le ruban s'est déchiré, c'était comme déchirer du papier. Ma soeur arrêta de sourire, le bout de tissu qui restait de son côté se mit à s'effiler et commença à courir sur les autres liens autour d'elle comme les parasitant tandis que le morceau que je tenais en main, relié à Nathanael continuait à se tendre vers l'endroit où se trouvait auparavant l'autre extrémité. Sur le moment, je ne compris pas tout ce qui ce passait, ma soeur se jeta soudain sur moi, en pleurs, s'agrippant à mes vêtements comme si elle avait peur que je disparaisse. Quelques temps après, elle tomba malade, le médecin diagnostiqua une dépression fulgurante, elle avait développé une véritable angoisse de l'abandon que personne ne comprenait sauf moi, car moi je voyais les résidus de lien que j'avais tranché dégrader petit à petit les autres. Elle en mourut d'épuisement et tout ce que j'avais pu faire était la regarder, comment avions-nous pu imaginer sauver le monde, alors que sauver une personne était déjà si dur ?

L'enterrement fut sobre, tout le monde pleura. Alors que nous sortions de l'église, quelqu'un me tira à l'écart de la foule, j'eus à peine le temps de reconnaître Nathanael que celui-ci m'embrassa. Sur le moment, je ne sus quoi faire, et je n'eus pas la présence d'esprit de le repousser, c'était l'enterrement de ma soeur, j'étais triste, je me sentais coupable et pourtant à peine avais-je sentis ses lèvres sur les miennes, je fondais entre ses bras. Nous couchâmes pour la première fois ensemble ce soir-là, ce fut violent et sans aucune douceur. J'eus dix-sept ans une semaine plus tard.
Nous commençâmes à sortir ensemble, je compris très vite que ce n'était pas de l'amour que je recevais de la part de celui que j'aimais, quand j'examinai un jour notre ruban et y découvrais une double épaisseur du côté de Nathanael. En vérité, il ne faisait que remplir un manque causé par la disparition de ma soeur, le ruban qui les reliait avait continué à tendre vers elle, sans jamais réussir à l'atteindre, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien de l'autre côté. Non, ce n'était pas de l'amour, c'était même le contraire, pourtant je ne pouvais partir, j'avais tué la personne que j'adorais le plus au monde, je méritais qu'il me traite comme il le faisait. Et puis, un jour, je compris que ce n'était pas à ma soeur que j'avais fait le plus de mal.

Il m'avait pris violemment contre le mur, j'étais assis contre la paroi, essoufflé et meurtri, et il me demanda :
- Jusqu'où irais-tu pour moi ?
Je ne répondis pas, je ne comprenais pas ce qu'il voulait, et je n'étais pas en état de retourner la question dans ma tête. Il s'approcha, sa voix tremblait légèrement :
- Pourquoi tu ne réponds pas ?
- Je... je ne comprend pas ce que tu demandes...
- Qu'est-ce que tu ferais pour moi ?
- Tout... Je ferais tout, je te suivrais partout...
Il m'interrompit en me prenant le visage, pour une fois, son geste était doux.
- Tu as mal ? demanda-t-il.
Je sentais les larmes me montaient aux yeux, il ne devait pas agir comme ça, pensais-je, il ne pouvait pas être gentil, je ne le méritais pas. Je hochais doucement la tête.
- Pardon de t'avoir fait endurer tout cela, mais je devais vérifier si tu pouvais me suivre.
Je sentais quelque chose s'agiter au fond de moi, un sentiment chaud, comme quand je l'avais aimé la première fois.
- Tu souffres à mes côtés, tu es malheureux, continua-t-il m'entraînant inexorablement par son ton envoûtant. Je ne veux pas que tu endures cela plus longtemps, tu ne peux pas me suivre.
Il prit quelque chose derrière lui et me le mit dans la main. En baissant les yeux, je découvris un couteau.
- Tu souffres de vivre, mais tu peux te libérer de cette souffrance.
Suivant son regard, je levai doucement la lame. C'était vrai, je souffrais, depuis longtemps, tout comme lui, la vie était une chose horrible et il me proposait de m'en sortir, il m'ouvrait la porte de sortie et lui allait rester là, pour libérer tout le monde, il était le vrai sauveur. Oui, comme quelques années auparavant, je ne regardais pas Nathanael, c'était le Seigneur de la Lumière.
- C'est bien, je savais que tu comprendrais, me félicita-t-il. J'ai toujours su que tu comprenais et tu as vu ce que la vie nous réserve, tu as toujours été plus intelligent que ta soeur.
Je stoppais le couteau au niveau de mon coeur.
- Ma... ma soeur ?
- Elle n'avait pas compris, pourtant elle aussi avait vu la noirceur de la vie, elle était en train de partir d'elle-même, puis elle a recommencer à croire, un matin, alors que je lui rendais visite, elle était en train de sourire en écoutant les oiseaux.
Son ton se fait plus désespéré.
- Elle allait recommencer à vivre et à souffrir, je ne pouvais pas la laisser, j'ai tenté de la convaincre, mais elle n'a rien voulu entendre, elle était trop naïve. Elle n'avait même pas la force d'écarter l'oreiller et elle pensait pouvoir vivre.
Je baissais le couteau au fur et à mesure que je comprenais le sens de ses paroles. Il avait tué ma soeur. Il ne l'avait pas libérée, il l'avait tuée ! Il avait tort, si ma soeur avait eu la force de sourire, elle aurait eu la force de vivre. Petit à petit, je me souvins de la raison pour laquelle je l'aimais tant, elle était toujours pleine de joie, quelque soit la situation, et elle pardonnait à chaque fois si elle savait que l'on n'avait pas voulu faire du mal. Je me mis à pleurer à nouveau en laissant tombé mon bras qui tenait le couteau.
- Que fais-tu ? me demanda Nathanael d'un ton plus dur.
- Elle m'aurait pardonné, murmurai-je au milieu de mes pleurs.
- Qu'est-ce que tu dis ?
- Ma soeur... elle m'aurait pardonné. Elle aurait vécu et elle aurait pardonné.
Je sentais des forces me revenir, l'envie de m'en sortir m'envahit soudain et je me demandai quand l'ai-je perdue. Je me redressai lentement, Nathanael me regarda incrédule.
- Comment peux-tu te remettre à espérer ? Tu as vu ce dont est faite la vie, la mort est la seule issue pour cesser de souffrir !
- La vie peut être belle, on l'a juste oublié. Sortons, allons voir les enfants qui jouent, ils nous rappelleront comme la vie est douce quand on sait rire et jouer.
- Non, c'est faux ! Les enfants sont juste trop naïfs, nous étions trop naïfs ! Le rire et les jeux ne sont que des façons éphémères d'échapper à la souffrance et à la peur. Je pensais que tu comprendrais, mais apparemment tu es aussi idiot que ta soeur.
Et il se jeta sur moi, les bras tendus pour m'étrangler, je levai les mains pour me protéger et le couteau se planta dans sa poitrine. Il s'effondra sur moi, me couvrant de sang, je tombais sous son poids. Suffocant, il se tourna vers moi, son regard était redevenu celui de l'adolescent qui aimait ma soeur.
- Dimitri ?... Dimitri...
Je ne savais que faire, alors je lui caressait doucement la joue.
- Nath... Je suis là, je suis là.
- Dim... Je... j'ai peur. Je ne veux pas mourir... une fois mort... on... on ne peut plus rien... faire... les choses... les choses ne peuvent... ne peuvent plus s'arranger...
- Je suis désolé, Nath, vraiment désolé.
Il bougea légèrement en grimaçant et me fis le plus beau sourire qu'il pouvait faire dans son état.
- Moi aussi... tu crois... qu'elle... tu crois qu'elle m'a... pardonné ?
- Tu sais bien qu'elle pardonne toujours...
- Dim... Merci.
Il ferma doucement les yeux et ne les rouvrit plus. Son torse ne bougeait plus malgré le sang qui continuait de couler. Je criai.
La police arriva une heure plus tard, prévenue par des voisins qui avaient été alertés par mes pleurs et mes cris. Je fus emmené et interrogé, on m'accusa tout d'abord de meurtre puis, après une enquête, on considéra que c'était de la "légitime défense" et je fus libéré de toute charge. Pourtant j'avais bel et bien tué l'homme que j'aimais et, si je m'empêchais de retomber dans l'auto-destruction, je n'en étais pas moins rempli de remords. Je tentais de vivre une vie 'normale' et de l'apprécier, mais il m'arrivait de me réveiller en pleurs la nuit ou même de ne pouvoir dormir pendant plusieurs jours de peur de rêver de Nathanael ou de ma soeur. Ce fut dans une de ces périodes que je rencontrai Sylvain et que lui me sauva.

Je marchais dans la rue, les yeux rougis de sommeil, sans savoir ce que je cherchais. Il était tard mais je ne voulais pas rentrer, de toute façon je ne dormirais pas encore cette nuit, si Nathanael avait été là, il aurait fêter ses 20 ans. Je tentais vainement de ne pas y penser quand un jeune homme m'arrêta poliment :
- Excusez-moi, vous n'auriez pas de la monnaie sur un bilet de 10 ? Le distributeur de ticket de la station de métro ne prend que les pièces.
- Eh bien... je dois avoir sur 5 mais pas sur 10...
- Mince, comment faire ?...
Il se mit à réfléchir, je ne savais pas si je pouvais partir ou pas quand soudain il m'attrappa par le bras.
- Je sais ! On a qu'à aller prendre un café, je paye et comme ça j'aurais un billet de 5 sur lequel tu peux me faire de la monnaie.
- C'est... complètement tordu comme raisonnement. C'est même n'importe quoi.
J'avais parlé sans réfléchir, spontannément. Il faut dire que c'était vraiment ridicule, il pouvait se payer un café à lui tout seul et demander qu'on ne lui rende que des pièces. Mais je n'eus pas le temps de lui expliquer, il m'avait entraîné avec lui.
- Moi je trouve que c'est une très bonne idée, sourit-il en se mettant à courir vers le café le plus proche. Tu vas voir, leur café est délicieux et à deux, c'est encore mieux ! Oh, je deviens poète.
Je ne pus m'empêcher de rire à ces commentaires. Ca faisait un petit moment que je n'avais pas ri aussi spontanément.
- Eh bien voilà, sourit alors le jeune homme. Ca te va mieux de rire comme ça, tout à l'heure on aurait dit que tu allais t'effondrer d'une minute à l'autre.
Je me raidis légèrement, qu'est-ce que cela voulait dire ? Il avait eu pitié de moi ? Je faisais tellement de peine ? Je voulus lui demander mais il m'entraîna à l'intérieur d'un bâtiment et m'assit presque de force à une table. Un serveur arriva quelques secondes après, il sourit en voyant celui qui m'accompagnait.
- Sylvain, quel plaisir de te voir ! C'est un ami à toi ?
Je vis tout de suite une occasion de reprendre le contrôle de la situation, je n'aime pas quand les choses m'échappe.
- Pas vraiment, cet homme m'a sauté dessus en plein milieu de la rue, déblatérant des propos étranges et confus, et développant un raisonnement complètement fantasque et ridicule, il m'a entraîné de force ici, je crois qu'il veut me payer un café, mais je prendrais plutôt un thé.
Les deux me regardèrent d'un air ahuri puis nous éclatâmes de rire.
- Eh bien, tu l'as bien trouvé celui-là ! s'exclama le serveur. Je suis sûr que vous vous entendrez à merveille, je parirai même que dans quelques semaines vous serez inséparables.
Et il ne croyait pas si bien dire. Je passais une excellente soirée ce jour-là et au moment de partir, Sylvain m'anonça qu'il venait ici presque tous les jours et me demanda se je ne voulais pas lui tenir compagnie. Ainsi, je passais de temps en temps le voir, et en effet il était là à chaque fois. Nous nous rapprochions de plus en plus et un soir de fortes pluies, je lui proposai de venir chez moi.

- Waouh ! C'est... le bazar !
Ce fut la première chose qu'il déclara en rentrant chez moi. Il est vrai que je n'avais pas particulièrement rangé mais bon, cela me vexa un peu, ce n'était pas si terrible. Il dut comprendre mes pensées à l'expression de mon visage car tout de suite il se reprit :
- Enfin, ce n'est pas si désordonné que ça ! C'est juste que... quand on te voit, on imagine tout de suite une chambre impeccable, avec une belle cuisine etc... et en fait, t'as un appart d'étudiant normal. Ca te rend encore plus intéressant.
Je ne pus m'empêcher de me sentir troublé pas cette dernière phrase, il avait le don de me mettre dans tous mes états. Je lui proposais de s'installer sur le sofa tandis que je dégageais la table basse qui me servait beaucoup de bureau en ce moment.
- Ce sont tes livres de cours ? demanda-t-il en en prenant un. Des maths ! Je te savais un peu particulier mais tu es complètement taré en fait.
Je savais bien que c'était une plaisanterie mais cela me blessa. J'aimais beaucoup les mathématiques et cela me faisait toujours de la peine que les gens les trouves si repoussantes... De plus, cela faisait la deuxième remarque du genre qu'il faisait. Moi qui pensais lui faire plaisir en l'invitant.
- Eh bien, désolé de t'avoir tromper sur ma vraie nature. Tu peux partir si tu veux. Sinon j'ai de la bière.
Il sembla quelque peu décontenancé, ne pas savoir quoi dire. Il finit par se lever.
- Pardon, ce n'était pas très poli de ma part, surtout que j'étais super content que tu m'invites chez toi. Une bière serait la cerise avant le dessert.
Tout en parlant, il prit ma main et l'embrassa doucement. Je ne rougis pas, mais mon cerveau étais en ébullition, je n'étais pas sûr de comprendre son geste et je ne voulais surtout pas m'emballer, malgré tout je sentais mon coeur battre à tout rompre. J'aperçus du coin de l'oeil le ruban qui nous reliait, rouge sang, le ruban d'une attirance grandissante. Je tentai de calmer ma respiration.
- Eh bien, si tu veux ta bière, il faudrait me lacher.
- Uhm... je dois choisir entre la bière et toi ?
- Tout à fait.
- Pas moyen d'avoir les deux ?
- Pas ensemble en tout cas.
- Eh bien... Uhm... j'ai failli dire la bière rien que pour t'embêter mais je déteste dire de si gros mensonges, je te choisis toi sans aucune hésitation.
Il s'approcha doucement comme près à me laisser partir si j'avais des doutes, mais je n'hésitai pas, je n'hésitai plus depuis que j'avais vu le ruban. Je m'avançai à la rencontre de ses lèvres. Le baiser d'abord doux devint bien vite plus passionné. Sylvain ne rentra pas chez lui ce soir-là, ni le soir suivant, de même pour moi les trois jours qui suivirent. Je sus en à peine une semaine que j'avais trouvé l'amour de ma vie.

Tout bascula par un beau jour de printemps, Sylvain habitait plus chez moi qu'ailleurs depuis un bon mois. Cela faisait trois mois que nous nous étions embrassés pour la première fois. Mon petit-ami était parti faire un bilan de santé à l'hôpital. Je travaillais tranquillement sur une démonstration donnée par un de mes professeurs, quand il rentra. Il semblait quelque peu désorienté, il s'avança vers moi, à le voir si différent de d'habitude je commençais à paniquer et voulut me lever, il me fit signe de rester assis et s'installa à côté de moi.
- Dim, s'ilte plaît, écoute-moi jusqu'au bout et surtout ne t'inquiète pas.
Je m'efforçais de lui obéir mais je ne parvenais pas à me détendre complètement. Sylvain me sourit, mais je voyais bien qu'il se forçait pour me rassurer.
- Bon, tout d'abord, ton copain à un coeur et des poumons en parfait état ! Les infirmières m'ont même demandé si j'étais un grand sportif, je leur ai expliqué que c'était plutôt tes escaliers et ton appart au troisième étage sans ascenseur qui me gardait en forme.
Il rit doucement, je n'arrivais pas à l'imiter, je savais que la suite ne pouvait être aussi rose vu son attitude en rentrant. Je lui pris la main dans une demande silencieuse pour qu'il m'explique tout, son visage s'assombrit, malgré tout, il continua sur un ton léger.
- Ils ont aussi fait quelques scanners, la plupart était bon, mais il y avait des tâches sur l'un d'entre eux, "grosseurs anormales" qu'ils ont dit.
Je sentis le désespoir m'envahir.
- Tu... tu as un...
- On ne sait pas encore Dim, ne t'inquiète pas, ils refont des tests, ce n'est sûrement rien.
Pourtant sa main tremblait et je compris que si j'étais paniqué, lui l'était encore plus. Je l'entourai de mes bras, calant sa tête sur mon épaule.
- Que ?.. Je vais bien Dim, ne t'inquiète pas.
Il essaya de se redresser mais je le retins de toutes mes forces.
- Pas ce soir, Sylvain. Tu ne peux pas dévier les choses éternellement par des plaisanteries. Ce soir, juste ce soir, tu laisses tomber le masque.
Tout d'abord, il resta immobile, je crus que je m'étais trompé, qu'il n'avait pas besoin de cela, puis soudain, je sentis son corps agité de tremblement, des sanglots s'élevèrent et ses mains s'agrippèrent à moi comme à une bouée de sauvetage. Nous restâmes ainsi pendant près d'une heure, je ne me décidai à le lâcher que quand je sentis ses muscles se détendre totalement. Je m'écartai doucement, il s'était endormi. Je l'allongeai avec mille précautions, enlevant sa ceinture, sa veste et ses chaussures, je fis de même avec mes affaires, pris une couverture et m'installai à ses côtés. Je refis des cauchemars cette nuit-là, c'était la première fois depuis ma rencontre avec Sylvain.

Les résultats confirmèrent un cancer, les médecins semblaient plutôt pessimistes et les traitements proposés étaient plus là pour aporter un sursis que pour guérir, Sylvain n'accepta que les moins lourds et ne pleura plus jamais. Sa joie de vivre semblait être revenue encore plus forte qu'avant, et il disait à ceux qui le plaignaient qu'il avait plutôt eu de la chance :
- Je suis encore en forme et je sais que je dois profiter de la vie à présent, cela ne sert plus à rien de se morfondre.
Et je savais qu'il ne mentait pas, il n'avait vraiment pas peur. Nous profitâmes tous deux de ces instants le plus possible, chaque rendez-vous était unique, inoubliable, chaque soirée était douce et chaque nuit incroyable. Malgré tout, la santé de Sylvain s'aggravait petit à petit, et il devait se rendre de plus en plus souvent à l'hôpital. Un jour, il finit par devoir rester là-bas, pourtant, il restait toujours aussi souriant. Malgré tout, il n'oubliait pas sa maladie, un jour alors que je lui amenais des affaires, il soupira :
- Je pensais avoir un peu plus de temps quand même. Dans quelques mois il y a la fête foraine, je voulais faire un tour de grande-roue avec toi.
- Nous pourions peut-être aller faire un peu de balançoire à deux un de ces jours, ils te laisseront bien sortir quelques heures. Ce n'est pas la fête foraine, mais ce sera aussi bien, j'amènerai des ballons.
J'avais pris sa main, il serra fermement la mienne, et me sourit doucement, mais cette fois son sourire était différent de ceux qu'il m'accordait habituellement, je ne connaissais pas celui-ci.
- Non Dim, nous nous pourrons pas faire de la balançoire, cette semaine sera notre dernière semaine à deux.
- Mais, les médecins ont dit qu'il te restait encore plusieurs mois !
Sous le coup de l'incompréhension, je reculai, lâchant sa main.
- C'est vrai, mais dans quel état, j'ai déjà perdu cinq kilos, dans une semaine je serai affreux ! Pas question que tu me voies comme ça. Et je veux que tu vives pour toi, pas pour un agonisant.
Je ne répondis rien, il n'y avait rien de plus à dire. Je le vis pour la dernière fois ce jour-là, je ne revins plus. On me téléphona deux mois plus tard pour me dire que Sylvain était mort dans son sommeil. Ce soir-là j'allai au parc d'attraction qui venait de s'installer, et fit un tour de grande-roue, en haut je pleurai le temps de redescendre puis ce fut tout, je m'en tins aux dernières volontés de mon petit-ami et si je ne l'oubliai jamais, je continuai ma vie.

Mes relations suivantes ne durèrent jamais plus de quelques mois, mes partenaires me trouvaient bien souvent trop jaloux, mais comment faire autrement quand on voyait le lien entre eux et d'autres personnes se renforcer ? Et quand je me décidai à être plus magnanimes, ils me larguaient car je n'étais pas assez jaloux. Enfin, je trouvai Marc, on se rencontra à une soirée un peu trop arrosée et fut très vite très proche, mais nous nous sommes très vite aimé. C'était un jeune homme d'affaire. Il me passait mes crises de jalousie et n'allait jamais voir ailleur. Malheureusement, son travail commença à l'amener à partir régulièrement loin, et parfois longtemps. Je me languissais des semaines entières attendant son retour, alors je me plongeais dans mes équations, mes anneaux et mes tores. Mes professeurs m'aimaient beaucoup et me proposaient des problèmes intéressants, j'en assistais même quelques uns. Un soir, nous n'étions plus que deux étudiants dans une des salles de travail, j'avais déjà remarqué l'attention que me portait l'autre depuis quelques semaines, son ruban portant une belle couleur rouge, signe d'attirance intense. Son regard était fixé sur moi alors que je finissais mes calculs, je ne l'appréciais pas spécialement, mais Marc était alors absent depuis presque un mois et pour encore deux semaines... je sentais monté un certain désir en moi à être regardé de cette façon. Je posais mon crayon, alors qu'il passait dans mon dos. Je sentis ses bras m'enserrer, son souffle sur mon oreille. Son désir était palpable, je tentais de résister.
- J'ai... j'ai déjà un petit-ami...
Il commença à me caresser doucement les hanches, je gémis doucement.
- Repousse-moi dans ce cas, répondit-il simplement.
Je ne réussis pas, ses caresses eurent raison de mon corps en manque d'attention et je m'abandonnais dans ses bras. Je me réveillais le lendemain dans son appartement, j'avais seulement envie de vomir, je partais sans le réveiller, et errais seul toute la journée. En rentrant chez moi, je regardais mes messages pour savoir si les professeurs s'étaient inquiétés de ne pas me voir et je tombais sur un message de Marc me prévenant qu'il sera là le lendemain, son travail s'étant terminé plus tôt que prévu. J'allais vomir pour de bon. Marc me trouva effondré sur mon canapé quand il revint, je n'avais pas mangé, ni bu depuis la veille, et j'avais à peine dormi. Il paniqua et je me sentis encore plus mal. Je lui expliquai tout, il m'écouta jusqu'au bout et sourit tristement :
- Ce n'est pas si grave, je ne vais pas t'en vouloir alors que c'est moi qui ne suis jamais là...
- Non !
Je m'étais relevé brutalement, ne voulant pas le voir être si gentil avec moi, mais je vacillais un instant, Marc me retint, je me laissais aller dans ses bras.
- Comment tu peux me pardonner ?
Je le regardais dans les yeux et vis à cet instant qu'il ne me pardonnait pas en vérité, il ne me pardonnerait sûrement jamais, il essayait de vivre avec ça, comme j'avais essayé de vivre avec la maladie de Sylvain, on se convainc que tout va pour le mieux mais en vérité ce n'est pas le cas. Je m'écartais alors doucement et secouant la tête.
- Je ne veux pas, je ne peux plus.
Mon petit-ami me regarda sans comprendre, je me reculai lentement.
- On ne pourra pas vivre comme ça.
- Tu veux rompre ?
- Je t'aime Marc... au revoir.
Il me regarda déchiré, je sentais sa tristesse mais ne fis rien d'autre, je ne voulais plus. Mon peit-ami se leva et se dirigea vers la porte, il l'ouvrit et se tourna une dernière fois vers moi avant de sortir.
- Si tu change d'avis, fais-le moi savoir.
J'entendis ses pas descendre l'escalier, je m'effondrais dans mon canapé et pleurais de toutes mes forces. Mes barrières s'étaient effondrées, je compris à ce moment qu'elles avaient toujours été la, sûrement après la mort de Nathanael, m'empêchant de m'effondrer, mais là, je ne pouvais pas me pardonner, je ne voulais plus vivre comme ça. J'attrapais tous les rubans qui m'entouraient, je ris nerveusement en me rendant compte du nombre. Je voulais tout arrêter, j'arrachais simplement tous ses liens. Ce fut facile, la plupart disparurent totalement. Tout d'abord je paniquai sentant mes souvenirs se modifier, j'oubliais pourquoi j'aimais passer du temps avec mes amis, ce qu'était des amis tout simplement, les balades sans but avec d'autres me semblaient petit à petit ridicules, etc... une drôle de sensation de sérénité m'envahit, j'avais l'impression que mon esprit n'était plus rempli que de chose nécessaires et utiles, je pouvais enfin réflechir en toute tranquilité. Je m'endormis sur ce sentiment considérant que mon choix avait été le meilleur.

Mais à mon réveil, je découvrait que certains rubans étaient revenus, des larmes perlaient aux coins de mes yeux quand je réalisai ce à quoi je renonçais, pourtant j'avais pris ma décision, je ne voulais plus souffrir, j'allais donc m'éloigner, et même si certaines relations dureraient toujours, j'atténurai leur existence par la distance. Je me plongeais donc entièrement dans mes études, et obtins les meilleurs résultats que mon université aient vu depuis longtemps, pas que je sois particulièrement doué mais j'avais beaucoup moins de distractions que les autres à présent. Ces résultats me permirent d'obtenir un poste dans un drôle de pensionnat qui accueille les personnes possédant un pouvoir, je pense être bien ici, loin de tout ce que j'ai connu.



☺️Toi qui a écrit tout ça☻





Deuxième Compte : Margareth Missi-Franklin

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Comment avez vous connu le forum: En cherchant des forums de RP.

Activité sur le forum: 6/10 environ (je pense, plus quand je suis vraiment dans un RP qui demande beaucoup de participation)

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Dernière édition par Dimitri Volg le Dim 14 Avr - 21:02, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptySam 30 Mar - 20:20

Re-bienvenue ! O/
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptySam 30 Mar - 20:42

Re-yop bibi margo :3
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptyDim 31 Mar - 9:11

Pour moi tout est ok ma cocotte ! Yuki l'admin remplaçant t'en dis quoi ? XD
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptyDim 31 Mar - 14:44

Bah je dirais bien que c'est ok pour moi mais étant donné qu'elle a écrit en cours à la fin de son histoire x)

Par contre, superbe histoire, vraiment ! ;^;
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptyDim 31 Mar - 14:48

Ah ! Je suis du même avis ! ^^ Et il parait que ça continu dans la même lancé -_-...
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptyDim 31 Mar - 14:54

Merci tout le monde !
Oui, l'histoire n'est pas tout à fait finie... J'ai eu trop d'inspi sur ce coup... T'as vraiment eu le courage de tout lire, Yuki ? Shocked Contente que ça te plaise en tout cas ^^
La suite (et fin) devrait arriver bientôt.
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptyDim 31 Mar - 17:21

Bien sur que j'ai tout lu ! Je prend mon travaille dans le staff très au sérieux et puis, j'aime bien ta façon d'écrire ^^
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptyLun 1 Avr - 18:23

Merci ! La suite (mais pas la fin.....) arrive ce soir normalement, j'essaye de tout finir pour Mercredi ^^
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptyLun 1 Avr - 18:25

Héhé bonne chance :3 j'ai hâte !
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptyLun 1 Avr - 19:02

Voilà, une partie de la suite postée !
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptyDim 14 Avr - 21:01

Désolée pour le double-post mais l'histoire est enfin finie et postée !!!
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptyLun 15 Avr - 9:29

Nyaaaa *^* ça valait la peine de tout lire, et avec la musique que j'écoutais à côté c'était parfait.

Tu gères Cracotte o/

Ps: Al' à hâte d'emmerder Dim °^°
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] EmptyLun 15 Avr - 9:41

Merci Razz
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Dimitri [fini !]   Je m'appelle Dimitri [fini !] Empty

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