Entrez dans un pensionnat un peu fou ou se côtoient des humains aux pouvoirs étranges... Hentai / Yaoi / Yuri accepté.
 
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 Une histoire que j'écrie !

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Sali Cruise
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MessageSujet: Une histoire que j'écrie !   Une histoire que j'écrie ! EmptyLun 7 Mai - 18:12

Proloque


Je vis dans un monde, qui n’est pas gouverner par les présidents, mais pas quatre pensionnats, tout aussi farfelu les uns que les autres, et pourtant ils sont là puissance mondiale. A eux quatre ils pourraient détruire la Terre.

Le premier pensionnat est le plus connu, c’est aussi le mien. Il s’appel L’étoile rouge en honneur au fondateur Stanislas Hoshi, membre de d’honneur de l’étoile rouge, une ancienne armée militaire. Les règles là-bas, y sont assez stricte, mais au moins ça ressemble pas à une prison, es élèves, quand ils sont âges, peuvent faire des missions, qui consiste souvent à ramenez quelqu’un ou quelque chose. Ici les élèves apprenne à livrait bataille avec des armes à feu.

Le deuxième pensionnat, est un presque aussi connu que celui de l’étoile rouge. Il s’appel Urushu tsume, qui signifie les griffes du loup. Il est appelé comme ça en l’honneur de son fondateur qui livrait bataille avec des gants qui possédait des griffes de loups aiguisé. Là-bas, les pensionnaires apprenne à livraient bataille avec des griffes en fer, ou des point Américain, seul quelqu’un (les élites) on le droit à avoir des gants avec des griffes de loup affuter.

Le troisième pensionnat, est un beaucoup moins connu que les autres est pourtant il possède presque toute les forces maritimes du monde. Il s’appel Rosa Jura, qui veut dire, la rose des mers. Il est appelé comme ça en honneur à sa fondatrice, qui était la meilleure nageuse de l’U.S Army. Qui avaient fait remporter nombre de bataille grâce à ses talents. Là-bas, les pensionnaires, sont des poissons dans l’eau, ils sont discret, l’eau est leurs terrain de jeu. Ils on, néanmoins, une très grande force, ils détestent se servir d’arme à feu.

Et enfin le dernier pensionnat le moins connu, il agit dans l’ombre, et pourtant il possède toute la puissance nucléaire et informatique. Son nom, est encore inconnu à se jour, car personne à se jour n’a jamais réussis à savoir, comment il s’appeler, et comment leurs pensionnaires y étaient éduquer. Mais nous savons, que ses pensionnaires, sont les meilleurs espions de toutes les nations. On dit qu’il est pour la paix.

Ces quatre pensionnats, dirige le monde à eu même, mais ils se font constamment la guerre, seul le quatrième n’a pas encore fait son apparition, et s’il le faisait ça serait un conflit planétaire…
Mais pourtant ces pensionnats on tous une chose en commun, leurs élèves possède des « dons ».
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MessageSujet: Re: Une histoire que j'écrie !   Une histoire que j'écrie ! EmptyMar 8 Mai - 6:35

Partie un : Alyssia Stemphore


Sait-on vraiment qui on est, où est-ce juste une illusion que nous avons ? Depuis toujours je me pose cette question, moi qui ne suis pas comme les autres. C’est étrange de savoir, que maintenant, je connais tout plein de personne qui pense comme moi.

Nous pensions que nous étions tous unique, seul, désespérés et rejeter, car nous étions tous différent de ce monde. Mais qu’un beau jour, une lettre vient tout changer à cette vie monotone, un peu comme dans les contes de fées, mais moi ça fait longtemps que je n’y crois plus, et pourtant de simple lettres sur un bout de papier à tout changer à ma vie.

Dans notre univers, il y a quatre pensionnats, tous différent les uns des autres, pourtant je ne vois pas pourquoi nous, nous détestons autant. Nous somme tous pareil et pourtant nous, nous faisons la guerre dès qu’on le peut.
Je ne comprendrai jamais les adultes, toujours à se chamailler pour un « oui » ou pour un « non », et en plus de ça, ils embarquent les autres dans leurs bêtises. De grand gamin je dirai. Et c’est par leur faute que je me retrouve dans se foutu endroit, une balle dans le genou. Pour une tireuse d’élite ce n’est franchement pas drôle, en plus personne ne sait que je suis là, si je retrouve se foutu journaliste et ce chasseur, je n’hésiterai pas ! Dire qu’il y a cinq mois je me trouvée dans les docs, accrocher à une simple corde. C’est ma pire mission depuis que je suis au pensionnat de l’étoile rouge, mais avant je vais me présentée.

Je suis Alyssia Stemphore, major de sa promotion au pensionnat de l’étoile rouge, l’un des quatre meilleurs pensionnats pour personne comme moi. Tireuse d’élite et presque incassable.

Je viens tout juste d’accepter une mission vers la jungle Mexicaine, pour ramenez une personne très importante au pensionnat. J’étais seulement équipé d’un FR-F2 et d‘un colt M1911, un beau fusil à répétition, malheureusement il est assez lourd. J’étais arrivée à localiser la « cible » assez rapidement, c’est dur de parler au gens quand on a un fusil avec soit, surtout si on est une fille, on nous prend pour n’importe quoi.
Bref, j’étais bien campée, j’avais ma cible dans le viseur, les ordres étaient clair, ne pas tuer la cible ! Ça aurait était beaucoup plus facile, mais ils leur faillaient cette personne vivante. J’étais debout et je viser le creux de poplité. Ça sera bientôt fini pour lui, et je rentrerai tranquillement. Au moment de presser la détente, un coup de feu retentit, ce n’était pas le mien ! On venait d’abattre ma cible !

Je me relevai rapidement, et sortis mon colt, à la recherche de cette ordure, je m’avançai doucement vers le type qui venait de s’écrouler, ainsi que la réussite de cette mission.

Je l’avais presque atteint, qu’un autre coup de feu retentit et un flash apparut. Je me pris une balle dans le genou gauche, et tomba dans un crie de surprise, cette sale ordure n’était qu’un lâche ! Je ferme les yeux sous l’emprise de la douleur, c’est vrais je suis presque incassable, mais les balles, ça fait mal. Je me régénère aussi plus vite que la normal. Je finis par m’évanouir sous la douleur.
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MessageSujet: Re: Une histoire que j'écrie !   Une histoire que j'écrie ! EmptyMar 8 Mai - 8:08

Il fait froid… Le vent balaye les docs, avec une fine couche de pluie. Le contenaire sont empiler les uns sur les autres. Des chaînes de fer, traîne un peu partout, accrocher à un ou plusieurs contenaire. A cette heure ci, les docs sont vides. Personne n’ose s’y aventurait à cause de la mafia Mexicaine. C’est aussi un très bon endroit d’exécution, si un mort est retrouvé par là, personne n’ose s’y mêler, pas même la police.

Tout en haut d’une immense pile de contenaire, une fille est accroché à des chaînes de fers. Cet endroit est le plus balayer par les vents, si les chaînes venaient à se rompre, elle se brisera telle une poupée de porcelaine qui tombe. Les cheveux détachés, elle semblait dormir. Peut-être était-elle morte ? Un gémissement presque inaudible se fit entendre. La jeune fille remua lentement les doigts sur la chaîne. Elle serait les dents, et ouvrit les yeux lentement.
Laissant place, à la lumière. Elle n’entendait qu’une seule chose, malgré le silence total des docs. « Va t’en ! ». A qui appartenait cette voix, la jeune fille serra encore plus les dents, et s’aida de sa main pour se redresser un peu, malgré ses muscles endormis. La voix crie encore plus, comme si, une personne se tenait juste à côté d’elle. Répétant toujours la même chose. « Va t’en !  Part d’ici ! Ne reste pas là ! » . La fatigue revient rapidement vers Alyssia, lentement ses doigts glissèrent de la chaîne. Elle tomba lentement vers le vide, c’était finit pour elle. Elle entendait déjà les reproches de son lamentable échec, et aussi les rires de ceux qu’elle déteste.

Elle serra les dents, et redressa son bras droit, qui trouva prise sur chaîne qui pendait entre deux contenaires.
Sa chute s’arrêta brutalement, lui arrachant un crie de douleur. Son crie résonna dans tous les docs. Les contenaires au quels étaient relier la chaîne, grincèrent péniblement.
Alyssia rouvrit les yeux, et tenta de desserrait un peu la mâchoire, c’était, pour elle, la première fois qu’une mission tourne aussi mal. Elle tendit l’autre bras pour s’agripper à la chaîne. À se moment, une porte de l’un de contenaire s’ouvrit brutalement, faisant pencher la chaîne sur un côté, emportant avec elle, Alyssia, qui essayer tant bien que mal de s’accrocher à se maigre fil.

La porte qui venait de s’ouvrir, grincé péniblement, comme si elle était sur le point de s’écrouler. La jeune fille ferma l’œil droit et utilisa toute sa force encore disponible pour se hisser sur la chaîne, au mieux de pendre dans le vide.
Un des gonds de la porte du contenaire, vient de sauter, la corde pencha dangereusement vers le bas avec la fille. La voix recommença à crier « Va t’en ! Part d’ici ! ». Alyssia redressa la tête, elle venait enfin de l’entendre, elle murmura énerver.

« -T’es drôle toi ! Je suis perchée sur une corde à plus de vingt mètre du sol, avec une porte qui risque de tombait à tout moment m’emportant avec ! Et une balle dans le genou gauche ! Et toi tout se que tu trouves à me dire c’est Part d’ici ! Alors franchement Isis, merci pour tes conseillers ! »

Alyssia soupira, tout en essayant de dirigeai vers l’autre bout. La porte grinça dangereusement. La jeune fille cria.

« - Mais là ferme ! J’ai compris ! Pas la peine de me briser les tympans avec ton bruit donc, tu t’écroules ou tu te la fermes ! »

Sa phrase résonna dans tous les docs, quelque seconde après il eut un long moment de silence. Pendant se moment Alyssia, se débrouiller de son mieux pour rejoindre l’autre côté. Une brusque bourrasque fit balancer la corde, et par la même occasion enleva la porte de ses gonds restants.

La porte tomba, emportant la chaîne et Alyssia en même temps. Elle lâcha la corde pour éviter de se cogner contre l’autre contenaire en dessous. Elle tendit les pieds pour essayer de se réceptionner le meilleur possible sur le contenaire en dessous.

Le contenaire en dessous, se rapprocher tellement vite, trois mètres. Bientôt deux, et maintenant le dernier mètre avant l’impacte. Elle serra les dents aux moments de l’impacte, tendre le pied gauche pour se réceptionner n’étaient vraiment pas la meilleur idée au monde. Elle fit une roula et tomba sur un matelas juste à quelque contenaire en dessous de celui ou elle c’était réceptionner.

Finalement ces vingt mètres étaient passé plutôt rapidement. Elle était allonger presque comme une poupée désarticuler sur le matelas, qui commencer à prendre la couleur rouge du sang…

Des jours semblaient s’être passés depuis sa chute. Alyssia, ouvrit lentement les yeux, elle était sur quelque chose de doux. De moelleux, d’indescriptible tellement ça lui semblait bon. Elle semblait rêver. Alors, c’était ça le paradis ? Un endroit tellement bon. Les souvenirs des derniers évènements ressemblés plus à un immense brouillard pour elle. Soudain, la douleur, et l’odeur du poisson mort vint l’assaillir. Elle ne rêvait pas, encore en vie, dans un endroit totalement inconnu. Et qui semblait plus que tout au monde mort. Sa jambe gauche lui faisait atrocement mal. Toujours allongée sur le lit qui était à présent imprégner du rouge, de son sang. La vision des docs lui revient peu à peu, le monde lui semblait de travers.

Si elle se concentrée, elle pouvait entendre des bruits de pas, des rires, des exclamations, deux voix bien différentes. Les deux voix se rapprochaient dangereusement. Le rythme cardiaque d’Alyssia s’accéléra rapidement. Elle était prise au piège, impossible de s’échapper avec sa jambe gauche. Et si c’était des mafieux qui arrivaient, pour finir leur travaille. Et si, c’était ceux qui l’avaient mise là-haut qui étaient venu récupérer. Tout plein d’hypothèses lui vinrent à l’esprit. « Et si, et si ». Deux mots qui l’effrayer.

Finalement, les deux ombres approchèrent à toute vitesse, en riant joyeusement. C’était deux enfants ! Le cœur d’Alyssia, ne fit qu’un bond en les voyants. Toutes ses hypothèses plus farfelues les unes que les autres s’évanouir. C’était un garçon et une fille, on dirait des jumeaux. La fille s’écria en regardant le garçon.

« -Tu as vu ! On a finit par la retrouver ! Je t’avais bien dit qu’il y avait quelqu’un ! En plus elle est vivante ! C’est incroyable ! »

Alyssia mit un moment à comprendre ses paroles « on a finit par la retrouver » ? Qu’est-ce que ça signifier ? Es-ce eux, les tireurs de la forêt ? Des enfants ! Non impossible ! Des gosses tueurs, c’est… Pas impossible ! Elle se contentait de regarder sans vraiment enregistre se qu’ils disent. Quand elle reprit conscience le garçon était juste à côté d’elle. Elle pouvait voir la couleur de ses yeux, le nombre de tâches de rousseurs qu’il avait. Que faire ? Il lui était impossible de s’enfuir ! Coincée au piège avec ces deux gosses, à chaque côté. Son rythme cardiaque s’accéléra encore plus rapidement, elle allait finir en manger à poisson, c’était surement une vérité.
Elle aurait voulu s’enfuir, retourner auprès d’Isis, et de ses amies, retourner au pensionnat de l’étoile rouge. Elle commença à s’affoler, mais pourtant, elle ne pouvait pas bouger, c’est comme s’il l’avait pétrifié. Le garçon baissa les yeux vers elle. Alyssia sentit le rouge lui monté au joue, jamais personne ne l’avait regardé comme ça. Son regard, semblait plein de compassion et de générosité. Il lui dit.

« -Ne t’inquiète pas, nous ne somme pas les méchants… »

Co… Comment, il peut sentir ça ! Se demandait-elle. Alyssia, avait l’impression qu’elle glissait lentement vers un sommeil profond, sans pouvoir s’en libérée. Elle entendit la fille crier.

« - Dépêche-toi Sam ! Ils arrivent, faut filler ! »

Elle sentit qu’on la hissait sur les épaules de quelqu’un, et finit par s’évanouir à nouveau.

Le crissement affreux, d’une porte mal huiler, se fit entendre dans l’endroit. Ou un hangar, ou un endroit étrange, complètement… Alyssia gémit, elle n’était pas habituer à des bruits pareil. C’était horrible. Elle mit son avant-bras droit sur ses yeux, pour s’abriter de la lumière, même s’il elle avait les yeux fermée, elle avait l’impression que l’endroit était hyper lumineux. Elle dit, d’une voix plaignante.

« Éteignez la lumière ! Trop d’lumière ! »

Des rires, puis le bruit qu’on tire un rideau. Elle entendit, une voix qui lui paraissait familière.

« Eh ben, on dirait que ça va mieux Mam’zelle ! »

Qui est ? Cette voix, ne lui est pas inconnu, et pourtant elle n’arrivait pas à se rappelait qui c’était. Elle enleva son bras de sur ses yeux, et se releva doucement. Assise, les jambes allongées. Elle essayait de se repérait. Cet endroit, lui faisait froid dans le dos. Elle n’avait jamais vu quelque chose d’aussi… étrange ! Il y a des tonnes de piles de journaux, ou de livre. Elle avait l‘impression qu‘on avait anesthésié sa jambe gauche. Alyssia, cligna des yeux plusieurs pour s’habituer à l’obscurité, elle tendit la main, pour attraper un journal qui se trouvait sur la table de chevet à côté du lit. En première de couverture, il y avait une photo, avec une tireuse, qu’on voyait de face, à côté d’un corps sans vie. En gros titre.

« Une fille tueuse abattue par le célèbre chasseur Math »


Soudain, tous ses souvenirs devinrent clairs comme de l’eau de roche. Cette fille c’était elle, et le corps sans vie, c’était sa cible ! Et le tireur embusquer devait être ce « Math ». La colère l’envahi, elle s’était fait berner, et en plus ses amis devait la croire morte. Elle se mit à lire se que disait l’article.

« Dans l’après-midi, de la journée de Dimanche, une fille du pensionnat de l’étoile rouge - réputait pour être des tueurs sans merci au cœur de pierre - à était abattue par le célèbre chasseur de prime Math Locler. Il disait « Je l’ai surprise peu après qu’elle est abattue ce pauvre homme. En tant que bon citoyens, c’était mon devoir de le venger, et je peux vous assurez, que nous somme débarrassée de ce démon. ». M. Locler, dit la vérité, j’étais avec lui au moment des faits. »


Elle serait de plus en plus le journal, la colère l’avait envahi. Que des imposteurs ! C’est faux ! Tout n’est que foutaise dans se journal ! Ça ne c’était pas du tout passer comme ça ! C’est un immense tissu de mensonge ! Que tout le monde va croire… La vie n’en vaut pas la peine si c’est pour se faire ridiculiser à se point par des gens qui n’en valle pas la peine. Se disait-elle. Le froid, l’avait envahie, elle sentait les larmes lui montait aux yeux. Qu’avait-elle fait pour mériter ça ? Elle finit par se laisser aller. Les larmes coulèrent sans qu’elle ne veuille les empêcher. Elle finir par ramenez ses genoux contre sa poitrine, malgré la souffrance qu’elle s’occasionner au genou gauche. Elle mit la tête entre, et serra ses genoux. C’était son cocon, depuis toujours elle faisait ça quand elle n’arrivait plus à supportait quelque chose. Elle laissa tomber le journal à terre. Comment les gens pouvaient-ils croient des conneries pareilles ! Une voix se fit entendre juste à côté.

« D’après les papiers de cette fille, elle se prénomme Alyssia Stemphore. Jeune fille de la famille Stemphore qui avait fugué à se six ans, pour ne jamais être retrouver. La jeune fille, avait sur sa tête, une grosse prime qui était de cent mille dollars. Major du pensionnat de l’étoile rouge, elle était la meilleur élève, autant pour le meurtre que pour les études. Une étoile est mort hier après-midi » Ce n’est pas mon article préféré, mais j’ai l’impression que cette jeune fille c’est vous ? La façon dont vous avez réagi m’a beaucoup étonnée. »

Alyssia releva la tête, elle renifla et s’essuya les yeux, et dit avec un ton de mépris.

« - Pourquoi ? Car je devrai être sans sentiment ? Je ne devrai pas pleurer, juste parce que je fais parti de l’étoile rouge, que je devrai cacher mes sentiments ! Ne rien dire, ne pas discuter se qui est écrit, et qui est complètement faux par la même occasion ! »

Elle c’était un peu emportée vers la fin. Elle avait les yeux embrumés par les larmes. Elle allongea sa jambe gauche et appuya son menton sur son genoux droit, elle regarda tristement le sol. La fille qui était à côté d’elle finit par dire doucement.

« - J’ai… Je suis désolée, je ne voulais pas vous embêtes. Vous avez eu beaucoup de chance dans les docs, vous savez ? »

Alyssia, leva la tête vers la fille. Elle avait les cheveux orange. Alyssia avait l’impression, de n’être qu’une gamine, qui ne pouvait absolument rien faire a part regarder les actions se déroulées sous ses yeux impuissants. Elle finit par dire doucement mais tristement.

« -Je… Je suis désolé, c’est ma faute. Tout ça… ça me parait tellement irréel, j’ai… J’aurai aimée ne jamais venir au monde ! Combien de fois, j’ai du supporter ces fausses affirmations… Je… J’en ai marre ! Maintenant toute ma famille me croit morte… Ce n’est pas juste ! À cause d’un simple chasseur de merde ! Et de se con de journaliste ! »

Alyssia se remit à pleurée sans pourvoir terminer. Oui, elle aurait aimée ne jamais avoir vécu, elle n’a servit à rien, elle pense qu’elle n’a était qu’un simple fardeau pour tout le monde. Celle qu’on doit toujours prendre sous son aile pour l’aider. Elle finit par dire toute doucement.

« -Merci, je vous doit quelque chose… »

Alyssia était décider à leur rendre quelque chose, ils lui avaient sauvé la vie, elle leur devait quelque chose ! Une ombre arriva lentement, il tenait un plateau avec trois tasses. En arrivant il lança tout joyeusement.

« - C’est bien que tu te soit réveillé aussi rapidement ! Mais moins de souhaiter mourir, la vie est un cadeau, est puis chacun est ici pour accomplir quelque chose. Et certain n’on pas la chance de terminer leur mission avant de partir. Ça aurait surement était votre cas, si Sami ne vous n’avez pas vu depuis son poste d’observation, et quel ne m’aurait pas forcé à venir… »

« Sympa… » Pensa Alyssia. Au moins, elle sait comment s’appel ses deux sauveteurs, même si elle a encore la mémoire qui flanche, et qu’elle ne se rappel plus trop du prénom du garçon. Elle regardait étrangement les tasses, comme si elle contenait du poison, mais pourtant ça sentait extrêmement bon. Mais comment savoir si ils essayaient de la tuer ou pas. La dénommé Sami, avait vu son regard et déclara toute amusée.

« - Mais ne soit pas aussi dur Sam ! Elle doit être encore dans le brouillard, faire une chute de dix-sept mètre ce n’est pas rien ! En plus ceux qui l’on mise là haut devait penser qu’elle n’aurait aucune chance de survivre si elle tombait… Un peu comme tous les autres avant. »

Comme tous les autres avant ? Que voulait-elle dire par là. Comme si ça ne suffisait pas, Alyssia commençait à en avoir marre de toutes ses questions sans réponse. Elle allongea sa jambe droite et appuya son dos contre le dossier en fer du lit. Le dénommé Sam tendis un tasse à sa Sami, et une à Alyssia. Elle regarda, étrangement le liquide marron fumant dedans. Ça sentait drôlement bon, mais elle n’osait pas y gouter, de peur que ça soit du poison, ou un autre truc du genre. Sam, déclara.

« - Qu’est-ce que tu attend ? C’est pas du poisson, je te l’ai dis, ce n’est pas nous les méchants ! 
- Si ce n’est pas du poisson c’est quoi ? »

Sami, parti dans un fou rire totalement incontrôlé, tandis que Sam regardait Alyssia, comme si il n’en revenait pas de se qu’il venait de dire. Sami tomba en arrière à cause de son fou rire. Tandis que Sam, commençait à entré lui aussi dans un fou rire. Tandis qu’Alyssia, essayait de comprendre se qu’il y avait de drôle dans sa question. Elle n’avait jamais vu quelque chose qui sentait pareil, n’y même la couleur. Les deux gamins c’étaient un peu calmer. Sami commencé à se remettre sur sa chaise. Sam déclara.

« -Sérieusement ! Tu ne connais pas…
-… Le chocolat chaud ! C’est un classique !
- Un truc indémodable quoi ! »

Alyssia était étonné, mais elle avait aussi un peu honte. Les règles au pensionnat de l’étoile rouge, était assez strique, mais ça ne ressembler pas du tout à une prison, et pourtant elle n’avait jamais gouté à se « chocolat chaud ». Elle baissa les yeux sur l’étrange liquide fumant. Elle avait l’impression d’être dans un autre univers, où tout n’était qu’illusion ou tout ça n’exister qu’en rêve. Sami fini par dire.

« -Tu te demandes quel âge on a tous les deux ? C’est bien ça ? »

Alyssia leva les yeux vers Sami, comment avait-elle fait pour deviner ses pensés. Alyssia rougit un peu, et Sami déclara.

« - Je te répondrai que si tu bois ton chocolat !
- Mais…
- Y a pas de mais qui tienne ! »

Elle baissa à nouveau les yeux sur son chocolat. Elle avait encore cette impression d’être qu’une gamine à qui on réprimande quelque chose. Elle amena la tasse à sa bouche, et bu lentement le liquide. Le gout de se chocolat chaud, se révéla être exquis.
Elle ferma les yeux c’était délicieux, elle se demandait pourquoi, elle n’avait jamais put gouter un truc dans se genre. Sami finit par dire toute contente.

« - Tu vois ça ta pas tuer ! Pour revenir à autre âge. Moi j’en treize et Sam en a treize, aussi, on est des faux jumeau, mais tu l’as surement remarqué. Maintenant à toi de répondre à ma question. Comment tu as fais pour survivre à une si haute chute, tu es la première, à qui on peut demander ! »

Elle regarda les jumeaux étrangement, comment se fait-il qu’ils soient touts seuls ? Ce n’est pas normal. Se disait-elle… Pas normal ! Voila se que nous somme. Se disait Alyssia. Elle comprit aussitôt pourquoi ces deux enfants lui paraissaient étranges ! Ils étaient comme elle ! Presque unique. Elle finit par dire, en regardant sa tasse vide.

« - Hé bien… Je suis presque incassable. Je peux tomber de vingt mètres sans mourir ou me casser quelque chose. Mes blessures guérissent plus vite par la même occasion. Malheureusement, je ne suis pas par balles, et je n’ai pas eu de chance sur ce coup-ci… Mais vous ! C’est quoi votre truc ?
- Nous ? Et ben, moi je suis capable de guérir, anesthésier les blessures, d’apaiser et contrôles un peu les esprits, et j‘ai une super ouïe à la fois. Quand à Sam, elle est télépathe et, elle est aussi capable de voir par de là les murs. C’est comme ça, qu’elle t’as vu accrocher à la chaîne. Et moi t’entendre râler contre cette Isis, et contre la porte. »

Elle redressa la tête, ils avaient deux dons ! C’est complètement… Complètement dingue ! Se disait-elle. Sami leva la tête dis d’un ton quelque peu amusée.

« -Toi aussi tu as deux « dons ». Ta réputation au arme à feu, les gens ne sont pas douée quand ils ont une armes, et qu’ils en changent rapidement, ils leurs faut du temps pour apprendre à s’en servir. Mais toi, tu fais comme si tu étais née avec cette arme. Les gens qui t’ont apprit à te servir de ton don, ne ton jamais dis que tu en avais deux ? Tout les gens comme nous on deux « dons » c’est une chose innée ! »

Alyssia, resta bouche bée sous la révélation. Pourquoi, ils le lui avaient cachée ça ! Elle finit par articuler.

« -Vous faites partis d’un pensionnat…
-Hé non ! Qu’est-ce qu’il te prend ! Sam t’as mis quoi dans son chocolat ?
-Ri… Rien, j’ai mis la même chose que pour nous deux !
-Tu les as quittée des yeux, pendant un moment ?
-O… Oui, pour voir se que vous fessiez !
- Bon sang ! Quelqu’un cherche à l’éliminer ! »

Les pupilles d’Alyssia c’était dilater, et elle avait du mal à respirai, Sami c’était placée derrière elle, est la tenait par les bras. Tandis que Sam, la tenait par les épaules, et la regardait dans les yeux pour essayer de la calmer. Elle avait de nouveau cette impression de grand froid autour d’elle. Et elle s’évanouie à nouveau.

Ma vie n’est qu’une simple illusion, commandée par des gens, dont je ne connais presque rien. Aujourd’hui, je viens juste d’apprendre qu’on m’avait caché que j’avais un deuxième don. Ces deux jumeau, pourquoi ? Comment se fait-il qu’ils en connaissent autant sans être dans un pensionnat. Peut être que se n’est qu’encore qu’un rêve, comme cette voix que j’ai entendue dans les docs. Pourquoi je l’ai appelé Isis ? Pourquoi, on essaye de me faire ça ? Je n’ai rien fais à se chasseur de prime, n’y même à se journaliste ! Ces foutu guerre entre les pensionnats, elles ne veulent absolument rien dire ! Des guerres sans raison ! Ces jumeaux, ils n’ont que treize ans, moi j’en ai que quinze, et pourtant ils en savent plus que moi ! Donc toute cette éducation, cette vie monotone toute commandé, toute tracée, ce n’était qu’une immense illusion ! Je n’y ai même pas pensée une seule seconde, ces gamins m’ont vraiment ouvert les yeux ! Je veux savoir pourquoi on ma cacher tant de chose ! Ils en savent beaucoup plus que ceux du pensionnat de l’étoile rouge.

Le bruit ! Mais pourquoi, faut-il qu’ils en fassent quand je suis en train de dormir ! Pensa Alyssia. Elle ouvrit lentement les yeux. Elle ne se rappeler absolument rien des événements passée, c’est comme si on lui avait lavée le cerveau.
Alyssia se releva, et s’assoit tout en gardant les jambes allongées. Elle s’étira, en levant grand les bras vers le plafond. Elle ferma les yeux et tourna lentement la nuque, elle entendait craquée à un moment. Puis enfin poussa un profond soupire.

Elle c’était rendu compte, qu’elle ne savait même pas où elle était, se qui c’était passer les derniers jours, que son genou gauche lui faisait atrocement mal alors qu’elle ne se rappeler pas c’être pris quelque choses dedans, et elle était aussi étonnée de se retrouver dans un immense hangar remplie de pile de journaux, alors qu’elle se trouvait dans la jungle Mexicaine juste avant. Mais pourtant, elle avait cet objectif dans la tête, sans savoir les réponses qu’elle voulait.

La sirène d’une ambulance, retentis dans tous les docs, le bruit était étourdissant. Alyssia posa ses mains sur ses oreilles, elle cherchait la réponse à où était-elle. Il y avait une forte odeur de poisson, et des gens crier, donnait d’ordre. Tout se bruit était bien trop, pour Alyssia qui avait grandit dans un endroit où les bruits est loin d’être aussi fort, ça lui donnait mal à la tête.
Les sirènes hurlantes, finirent par s’en aller, emportant avec elle, les crie de terreur, et le mal de tête d‘Alyssia. La jeune fille, passait sa main dans ses cheveux noirs, tout emmêlé, depuis combien de temps était-elle ici ?

Elle posa le pied droit sur le sol et le tâta, il lui semblait dur, elle pouvait y aller sans crainte.
Elle posa l’autre pied sur le sol, ça lui semblait solide. Elle avait l’impression qu’il lui manquait des souvenirs.
Elle se leva lentement, c’est comme si elle n’avait pas marché depuis des lustres. Elle se souvenait d’une leçon avec sa famille, pour marcher. Un pas avec celui du droit et un autre avec le gauche. Alyssia sourit, en repensant à ces conseils, sauf que ça n’a pas marché très bien. Au moment de faire un pas avec la jambe gauche, Alyssia s’était effondrai au sol. Elle grommela quelque insulte dans une autre langue, et s’appuya sur ses mains pour se relever. Son genou gauche lui faisait encore plus mal, elle se disait qu’elle a dut se prendre une balle ou autre chose dans se genre pour avoir si mal. Elle tâta son genoux, et sentis comme des points de suture, dans un creux. Elle relança des insultes à elle-même, au même moment, la voix de Sami se fit entendre.

« Ce n’est pas bien d’insulter en Indonésiens, y a des immigré indonésiens qui travaille ici, tu risques de les étonnes ! Sinon ça va mieux ? Ça fait une semaine que tu dors !»

Elle tourna la tête à l’endroit d’où provenait là voix, voila que je commence à entendre des voix, se dit-elle. En voyant qu’il n’y avait absolument rien. Elle décida de se relever, et de s’en aller de cet endroit. Mais elle ne savait pas quelque chose la retenait ici. Elle réussit à se relever, et cligna plusieurs fois des yeux, comme si elle venait de rêver. Elle regarda une dernière fois autour d’elle, quand elle reporta sa vision devant elle, une fillette se trouvait devant elle. Elle fit un pas en arrière, et s’effondra de nouveau car c’était avec le pied gauche qu’elle l’avait fait. Elle eu un petit crie de surprise. Elle tomba assez lourdement sur les fesses. La fille devant elle, avait les cheveux orage, et un grand sourire sur le visage. Elle lui paraissait familière, mais elle n’arrivait pas à se souvenir de son prénom. Alyssia déclara pas très sûr d’elle.

« -Qui… Qui êtes vous ? »

La fille se pinça l’arrête du nez, et ferma les yeux. Alyssia était étonnée, pourquoi, cette fille réagissait comme ça ? Elle cria.

« -Sam, quand je te demande de pas trop effacer ! Essaye de pas lui faire oubliez nos noms ! Maintenant grouille toi et reviens lui mettre ses souvenirs en place.
-Co… Comment ça effacer ? Qu’est-ce que vous m’avait fait ? »

Son rythme cardiaque s’accéléra brutalement, qui étaient ces enfant, et qu’est-ce qu’il lui voulait ? La fille la tenait à nouveau par le bras, et essayait de l’empêcher de bouger. Alyssia commença à se débattre, depuis toute petite on l’avait apprit à ne jamais se faire immobiliser par quelqu’un, ou c’était la mort. Le dénommé Sam, arriva un torchon à la main, et se précipita vers les deux filles. Alyssia essayait toujours de partir de l’emprise de la fille. Il l’attrapa part les épaules, et la regarda dans les yeux. Elle sentit immédiatement des frissons lui parcourir le corps, des frissons glacées, qui lui faisait mal. Elle arrêta de se débattre, elle était presque hypnotiser par le regard du garçon. Elle voyait ses lèvres bouger, mais elle ne comprenait rien. Soudain, elle se débâtie à nouveau plaquant ses mains sur ses oreilles en fermant les yeux, suppliants.

« -Arrêtez ça… S’il vous plaît… Je vous en prie… »

Elle c’était replier sur elle-même, sanglotant, elle avait des frissons qui lui parcourait de partout. Son cœur semblait se compresser. Elle prit une grande bouffé d’air, et la relâcha. Elle avait l’impression d’avoir lâché un immense poids en même temps, s’être libéré de chaîne qui la retenait. Elle enleva lentement ses mains de sur ses oreilles et rouvrit les yeux en mêmes temps. Un éclaire zébras le ciel noir par la faute des nuages. Un orage se préparée alors qu’il faisait beau il y a quelque minutes. Sam et Sami, la regardais avec joie, elle ouvrit grand les yeux, les cligna plusieurs fois et demanda.

« -J’ai quelque chose sur le visage ? »

Et ils repartirent dans un fou rire incontrôlé. Pour une fois, je me sentais bien avec des gens.

~ Deux mois passèrent ~


La porte du hangar, se refermais assez doucement. Sami apparut toute content devant Alyssia, son frère lui restait assez perplexe. Elle dit toute contente.

« - Alyssia ! Faut que tu viennes voir ça avec nous ! »

Alyssia n’en revenait pas, ils voulaient la faire marcher alors qu’elle y arrivait à peine. Elle fit la moue et dit.

« - Et comment je suis censé marcher ? »

Elle éclata de rire, tandis que son frère se serrait l’arrête du nez. Elle l’attrapa par le bras, et son frère l’attrapa par l’autre côté.

« - Comme ça ! »

Lui dit-elle avec un grand sourire. Alyssia éclata de rire, et les suivit.

Ils arrivèrent dans la forêt. Cet endroit semblait familier à Alyssia, mais pourtant elle n’arrivait pas à se rappel pourquoi. Les buissons sur la gauche, bruissaient, les jumeaux lâchèrent Alyssia et partirent se cacher, la laissant là, toute seule, à la portait de n’importe qui. Son cœur battait à la chamade, comment faire, c’était peut être la mafia Mexicaine, qui était en patrouille. Soudaine les silhouettes sortirent de derrière les fourres.
C’était deux gardes… Deux gardes mafieux, Alyssia trembler à présent, ils étaient tout les deux armes, tandis qu’elle, elle n’avait rien pour se défendre. Elle tenait à peine debout, en plus elle avait les jambes en coton. L’un des gardes se sépara de son compagnon, et se dirigeai vers Alyssia son MP5 face à elle.
Il lui dit quelque chose, mais elle ne comprit pas grand-chose, son compagnon qui venait de la remarquer pointer son épaule avant bras gauche, ou était tatouer l’emblème de l’étoile rouge. Réalisant qu’elle allait se faire exécuter, Alyssia. Donne un coup de point magistral dans la joue du type qui était à côté d’elle, en plus d’être incassable, ça lui procurai une force extraordinaire. Le type s’envola pour finir par atterrie tête la première contre un tronc, si ça l’avait pas tué, ça l’aurait au moins sonné. Alyssia tomba, car elle n’avait plus d’équilibre. L’autre sortis son couteau et attrapa Alyssia par les cheveux, et l’approcha de son cou, elle ne pouvait rien faire. C’était fini pour elle, se disait-elle. Soudain le bruit très distinct d’un M1911 se fit retentir. Le garde s’effondra lourdement en arrière. Elle tomba presque à genoux. Cinq silhouettes sortirent de devant. Quatre devait faire sa taille, tandis que la cinquième, était beaucoup plus grande que les quatre autres, il était aussi massif. Finalement ils se décidèrent de sortirent de l’ombre. C’est la grande ombre qui se décida à parler avec une voix forte et autoritaire.

« - Déclarai identité ! »

Alyssia trembler encore, mais elle réussit à articuler.

« - Alyssia Stemphore, quinze ans, élève au pensionnat de l’étoile rouge… »

Elle trembler encore plus, si c’était bien ceux à qui elle croyait, ils n’allaient surement pas la croire. Le quatre petites silhouettes, échangèrent de regard interloquer, ainsi que la grande. La grande finit par déclarée toujours avec cette voix forte et autoritaire.

« - Donnez-nous la preuve de vous croire ! »

Alyssia, n’en revenait pas, ils ne la croyaient pas. Elle n’avait aucun moyen de le prouver, elle avait perdu ses papiers, et elle n’avait aucune arme. Avec des gestes lents, elle détacha son collier, qui était restait cacher derrière son tee-shirt. Elle l’enleva avec des gestes lents, elle savait qu’au moindre geste brusque, les dès serraient jouer, et ça serait fini d’elle. Après avoir enlevé son collier, elle le leva le plus haut possible avec sa main. Les deux plaques tournaient sur elles mêmes. Des frissons la parcouraient de partout, c’était sa dernière chance. Les élèves devant elle, semblait rester bouche bée, sur la deuxième plaque, il était écrit.

« Prend garde, au rapace qui survole le ciel - Fidelis Felix Fortis »


C’est la devise de son pensionnat, et sur l’autre plaque, il y avait toute son identité. Il était impossible de voler se collier, pour la simple et bonne raison, qu’il avait une empreinte génétique, si quelqu’un essayer de le lui voler, le collier exploserai. Elle essayait de ne pas trembler, mais c’était presque impossible. Elle crut entendre un « rompez », mais elle se dit que c’était son imagination. Soudain des éclats de joie se firent entendre dans toute la zone. Alyssia leva la tête, ils la croyaient ! Elle pourrait enfin rentrée chez elle. Lees élèves avaient enlevé le masque qui cacher leur visage. Quand Alyssia entendu.

« -Bienvenue Mademoiselle Stemphore ! »

Elle faillit tourner de l’œil, tellement elle était soulager, d’entendre ça. Les quatre élèves se précipitèrent vers elle, ils étaient tous content de retrouver leur camarade après deux mois. Alyssia pouvait, enfin respirais tranquillement. Deux de ses camarades l’aidèrent à marcher. Elle tourna la tête vers l’endroit où c’était enfui les jumeau, et elle leur lança un « Merci » par la penser. Ils se dirigeaient vers un hélicoptère. Ils lui avaient expliqué, qu’il patrouiller car le Mexique était devenue une zone de guerre. Une fois dans l’hélicoptère, Mac, lui banda l’œil droit car, elle avait reçu un coup dedans.
Ils arrivèrent rapidement en Amérique du Nord. En arrivant devant le pensionnat, Lylia, avait lancé.

« - Les amis ! Regardez qui est de nouveau parmi nous ! »

Il y eu des élans de joie quand ils tournaient la tête vers l’entrée, Alyssia, marchais, aider de Lylia et de Tom. Elle n’avait pas l’air aussi en forme que quand elle était parti mais elle était heureuse. En arrivant le Colonel Rick, attendait la mine sévère, Les élèves arrivaient devant l’entre qu’il ordonna.

« -Garde à vous ! »

Les élèves obéir, laissant tomber Alyssia en même temps. Elle se retrouva encore une fois, presque à genoux, devant un supérieur. Il descendit lentement les quelques marches. Le silence était total, il était reconnu pour être le professeur le plus sévère, sadique et dangereux, du pensionnat. Les élèves le craignaient, et n’osez même pas répondre à ses ordres. Il se baissa un peu, et obligea Alyssia à relever la tête. Il plongea son regard argenté, dans les yeux rouge d’Alyssia. Elle ne pouvait pas bouger, c’était comme se jour, où elle avait regardé pour la première fois Sam dans les yeux. Cette sensation, qu’on essayer de pénétré dans son esprit pour découvrir quelque chose. Le pire c’était qu’elle était incapable de faire se défendre. Ils lisaient en elle, comme un livre ouvert. Elle se força à fermer les yeux, coupant ainsi tout contacte. Elle réussit les mêmes frissons glacée que la première fois. Elle se mordit légèrement la langue. Le colonel Rick se releva sans un mot, les laissant tous perplexe. Il leur tourna la deux et dit.

« -Mademoiselle Stemphore, vous viendrez me voir à huit heures. Quand à vous autres… Rompez, les rangs ! »

Elle faillit tourner de l’œil une nouvelle fois, c’était beaucoup trop d’émotions pour elle. On dirait qu’ils s’amusaient à lui faire une si grosse montait d’adrénaline d’un coup. Lylia, et Tom, l’aidèrent à se relever. Ils l’aidèrent à rejoindre sa chambre.
Une fois dans sa chambre, elle se força à allez prendre une douche. Elle n’aimait pas l’eau, elle avait peur de cet éléments, mais personne ne le sais. En voyant, les uniformes du pensionnat dans son placard, elle eu un grand sourire, elle était enfin de retour chez elle. Le plus dommage, c’est qu’elle n’aurait pas le temps, d’aller manger, car le colonel Rick, avait dis à huit heure, et huit heure, c’est huit heure pour lui. Même quelque seconde de retard et vous avez le droit à des humiliations, car vous ne pouvez pas être à l’heure quand il le faut. Et tout le tralala administratif.
Elle brossa ses cheveux, ils avaient nettement gagné en longueur. Quand elle les noua en queue, on voyait bien la différence. Il était sept heure cinquante. Elle se décida à se mettre en route. En traversant les couloirs, en s’appuyant sur les murs, elle salua quelque élève qui traîner encore.
Il était sept heure, cinquante neuf quand elle arriva devant la porte. Elle regarda sa montre, les secondes s’écoulaient, un peu trop lentement à son goût.
Il était huit heures. Elle toqua à la porte, et attendit qu’il lui ordonne d’entré.
Elle fit de son mieux, pour essayer de pas tomber, pour se dirigeai vers une chaise, après qu’il lui est invité à s’asseoir. Alors il commença.

« -les ordres étaient clair, mademoiselle Stemphore, vous ne deviez pas tuer la cible !
- Je ne l’ai pas fait !
- Alors qui est-ce ?
- C’est… C’est se chasseur ! Il était avec un journaliste !
- Et je présume, que c’est se journaliste en question qui a écrit cet article ? Et donc, vous diriez que ce chasseur, s’il existe vraiment, que c’est lui qui a tuer le type, et après il à attendu que vous sortiez de votre cachette pour vous tirez dessus ! »

Il avait posé les mains sur le bureau, et la regardait avec son air sévère, qui lui transpercer le cœur. Aucun élève, n’aurait osé lui répondre à partir de là. Alyssia, prit son courage à deux mains, le regarda dans les yeux.

« -C’est vrai ! Je me suis retrouvé avec une balle dans le genou pour me réveiller dans les docs, en haut d’une pile de plus de vingt mètre de haut, accroché à une chaîne. Pour finir par tomber, et me rattraper sur une chaîne pendu entre deux contenaires dont un, avait une foutu porte qui n’est même pas foutu de tenir le poids d’une adolescente ! Pour me faire capture par des mafieux Mexicain, qui ne savaient même pas se faire cuir un truc à manger ! Et pour presque finir exécuter dans la forêt ! »

Elle ne savait pas pourquoi, elle avait parlée de mafieux Mexicain qui ne savaient même pas se faire cuir un truc à manger. Surement un de ses cauchemars. Le colonel éclata d’un rire, qu’elle ne put identifier se qu’il pensait. Il finit par dire.

« - Et bien, vous avez bien changé depuis deux mois ! Vous avez aussi l’audace de répondre de cette manière à un supérieur, c’est bien la première fois que j’entends ça depuis que j’ai pris mes fonctions ici. La franchise, est quelque chose que peu d’élève on ici. »

Elle n’en revenait pas le Colonel Rick venait de presque lui faire un compliment. Il se retourna, mis les mains dans le dos, il regardait un tableau représentant un cavalier sur son cheval, il avait une étoile rouge sur l’épaule. Alyssia présuma que c’était surement Stanislas Hoshi. Il finit par dire.

« - C’est très bien, mademoiselle Stemphore, vous pouvez retournez à vos cartiers, n’oubliez pas d’allez voir le médecin pour votre genou. »

Elle resta muette, il venait de la félicitée, enfin ! Après neufs ans d’effort pour essayer de se faire remarquer elle avait enfin réussi ! Au moment de sortir elle se rappela cette question.

« - Colonel Rick ?
- Oui…
-Est-ce vrai que nous avons chacun deux dons ? »

Elle n’osait plus le regardait en face, elle avait peur, mais elle ne le montrait pas. Elle l’entendit se retourner pour regardait dans sa direction.

« - Même si je le savais, je ne pourrai pas répondre à votre question.
- P… Pourquoi ? Pourquoi, je n’aurais pas le droit de savoir la vérité ! »

Il la regarda de travers, et fini par dire sur un ton menaçant.

« - Car toute vérité n’est pas bonne à savoir ! Maintenant, Rompez ! »

La parti était terminez… Il avait gagnée, elle était sûr qu’elle aurait dut garder cette question pour elle. Elle obéissait sans demande plus.

~ Deux mois passèrent ~


Le genou d’Alyssia allait beaucoup mieux. Même si la plaie n’était plus là, elle sentait encore la douleur par moment. Mais elle était contente, elle allait enfin refaire une mission en compagnie de ses amis. Cette fois la mission avait lieux en Pennsylvanie. Durant le trajet, il s’était amuser à se racontée des histoires sur les vampires qui pouvait y habiter, les loups-garous, et les chauves-souris vampire.
Il devait s’y rendre pour récupérer quelque chose de très important, ils avaient dépêché les meilleurs éléments du pensionnat pour cette mission. Gilet par balles, grenade, et tout plein d’autres éléments important, il n’y avait presque aucune chance de perdre cette mission.
Le tire passait de partout, ils étaient tombaient dans une embuscade, cet objets devait vraiment être important pour qu’il y est autant de monde…

~ Plus tard dans la soirée ~

La nuit commencer à tomber, ils en avaient presque finit avec l’ennemis. Alyssia se redressa, les tirs avaient cessé, ils pouvaient tous se lever sans avoir peur de se prendre une balle. Elle avait coincée un type, c’était se chasseur. La colère lui prit le ventre, se sale type avait osé lui avait sa cible il y a quatre mois ! Elle c’était mise derrière lui et visait la tête, elle déclara autoritairement.

« - Plus un geste ! Retourner vous ! Les mains biens en évidence ! »

Il se retourna, il avait une barde épaisse, il ressemblait plus à un archéologue qu’a un chasseur. En la voyant, il a était très surpris. Il dit.

« - N… Non ! C’est impossible je vous ai tuée ! »

Alyssia sourit sadiquement, il avait était trop nul, pour viser un point vital, car tirée dans le genou, on peut en mourir, mais pas elle. Elle déclara.

« - Au vous croyez ça vous… Et bien moi, je sais que je vais vous tué, et je m’en assurerai en tirant deux fois dans la tête ! »

Le chasseur était complètement paralyser par la peur. Alyssia appuya sur la gâchette mais rien ne se produisit. Le chargeur était vide, elle lâcha tout un tas d’insulte en Indonésiens. Elle rangea l’arme dans son fourreau, et dit.

« - Tant pis, je vais me charger, de débarrassée la Terre de nuisible dans ton genre ! »

Le chasseur rigola, il pensait surement qu’une adolescente ne serait pas capable de le tuer de ses propres mains, et puis le type faisait bien deux fois sa taille. Il craqua ses doigts, et se jeta sur Alyssia. Mais pas de chance pour lui, elle était plus petite, mais plus rapide et agile. Elle prit un magnum, et le plaça derrière la tempe du type. Il était chargé, et elle l’avait vérifié. Elle serrait les dents, presser la détente ou pas le faire ?
Mais avant qu’elle n’ai put le faire, elle se prit un coup derrière la nuque, et s’effondra dans les bras du sergent Mac. Il la hissa sur ses épaules. Les trois autres élèves arrivèrent à la suite du sergent. Le sergent regarda le chasseur, qui avait fermé les yeux en attendant. Il déclara.

« - Relever vous, donnez nous, l’objet, et vous pourrez partir en vie ! »

Il y avait du mépris dans la voix du sergent. Le chasseur se retourna, il sortit des arcanes tournant sur elles mêmes, de sa poche. Et le donna à un des élèves, et il s’enfui en courant. Le sergent dit.

« - Abattez-le ! »

Personne ne discuta les ordres, ceux qui essayer de tuer un élève du pensionnat de l’étoile rouge, méritait la mort. Le sergent n’avait pas mentit, il avait quitté l’endroit où il était en vie, et il mort dans une autre zone. Le sergent, avait donné un coup à Alyssia, car il se pouvait qu’elle touche l’endroit où était cacher l’arcane, ça aurait était le désastre si elle l’avait fait.
Alyssia dormait dans les bras du sergent, ils ne leurs restaient plus qu’a rentré au pensionnat. Mais au moment de rejoindre la piste, un camion avec des adultes armées, s’arrêta devant eux.
Celui qui semblait être le chef, descendit du camion, et ordonna d’un ton neutre.

« - Donnez nous la fille. »

Dit-il en pointant Alyssia. Les élèves, se mirent en position d’attaque, les adultes dans le camion, firent de même. Leur chef, fit un signe de la main, et ils baissèrent tous leurs armes. Le sergent Mac, semblait tout à fait neutre, il dit sur le même ton.

« - Qui êtes vous ? Et que lui voulez vous ? 
- Je suis le Sergent-Major Rayane, je suis charger de ramenez les gens, comme elle, au quatrième pensionnat.
- Comment ça ! Le quatrième pensionnat n’est qu’un mythe ! Déclara Alex.
- Je te conseillerai de te taire petit, je suis ici pour la récupérée et non discuter. Maintenant si vous voulez bien me la passer, nous n’aimerions pas utiliser la force. »

Il y eu un grand silence, le membre du pensionnat de l’étoile rouge, n’en revenait pas, pour la première fois ils faisaient la rencontre de gens du quatrième pensionnat. Ils avaient le teint pâle, comme si c’était la première fois qu’ils sortaient à la lumière du soleil. Les élèves, avaient baissés leur arme, c’était peine perdu, il était deux fois plus nombreux qu’eux, et beaucoup mieux armée. Le sergent Mac, brisa le silence, qui commença à devenir pesant.

« - Qu’est-ce qu’elle à fait pour attirai l’attention de personne, qu’on croit qu’ils n’existent pas, et qu’ils n’ont aucune preuve ?
- Elle a posait une question qu’il ne fallait pas poser, et si nous avons des preuves. Mais comme je vous l’ai dis tout à l’heure, je n’ai pas le temps de discuter, donnez là moi ! »

Le sergent, recula d’un pas, il était terrifier par ces gens. Mais que pouvait-il y faire, si une guerre se déclarai et que le quatrième pensionnat s’en mêler ça sera vraiment désastreux ! Il finit par capituler, il tendit Alyssia au Sergent Colonel Rayane. Les cœurs de chacun se serra, le quatrième pensionnat, était peut-être un mythe, mais ils craignaient ces mythes. Si le quatrième pensionnat possède vraiment toutes les forces nucléaires et informatiques, c’est qu’ils sont vraiment tout puissant…

Le silence… C’est tellement bien, vous n’êtes pas embêtes par les bruits environnement. Vivre dans un monde silencieux, c’est comme ça qu’a toujours vécue Alyssia, ne pas parler pour ne rien dire. Mais y a pire, ce froid… Ce froid mordant, dont vous ne savez pas comment vous en débarrassée. Celui qui vous donnes des frissons à longueur de temps.
Et pour finir les ténèbres, ne pas savoir où on se trouve, qu’est-ce qu’il se passe. Être à la merci de quelqu’un dont vous ignorez tout, même la voix.
Alyssia était attachée à un mur, bâillonnée, elle avait aussi un bandeau sur les yeux. Elle ne savait pas où elle était. Ses pieds ne touchaient pas le sol. Elle c’était réveiller comme ça, elle ne savait absolument pas le fin mot de son histoire. On l’avait installé sous un espèce de respirateur, il diffuser parfois un gaz somnifère. Elle ne savait pas où elle était et pourtant elle n’éprouvait aucune peur, aucun sentiment pour l’instant.

Fin de la première partie


Dernière édition par Sali Cruise le Mar 8 Mai - 13:56, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Une histoire que j'écrie !   Une histoire que j'écrie ! EmptyMar 8 Mai - 12:51

c'est super bon, j'adore ton histoire, il y a plein de description et on peu s'imaginer les lieu facilement
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Sali Cruise
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MessageSujet: Re: Une histoire que j'écrie !   Une histoire que j'écrie ! EmptyMar 8 Mai - 16:37

Deuxième parti : Semea Otsoma

Nous ne somme que l’illusion de nous même, nous pensons exister pour quelque chose, mais au fond est-ce une vrai vie, ou juste une enveloppe charnel à la quelle on à fait rentrée des ordres, pour qu'elle finisse par agir comme un vrai petit robot, qui ne se rebellera jamais.

Obéir, toujours obéir, ne jamais discuter les ordres, faire toujours se qu’on vous dit de faire. Ne jamais pouvoir montrer ses sentiments, toujours faire part d’un masque neutre. Une vie monotone, dirigeai par des gens que nous ne connaissons même pas. Obéir, à des règles qui n’ont plus de sens. Détruire pour crée à nouveau, telle est mon cercle. Je suis celui qui détruit, mais personne n’est la pour me détruire, juste des gens qui essaye de se reconstruire après mon passage.

Il s’appel Semea Otsoma, c’est un élève du pensionnat Urushu tsume. Il fait parti de l’élite, il se bat avec des gants garnis de griffe de loup acéré. Son histoire commence lors d’une mission en Tanzanie…

La forêt était dense, on pouvait entendre le bruit d’une course effréné. Si nous nous rapprochons, nous pouvons voir que c’est un homme qui est poursuivit par un loup, un loup au pelage gris comme l’argent. Ses yeux sont d’un rouge ardent, ils rappellent le feu dangereux. L’homme est tombé dans un cul de sac, les montagnes l’empêche de s’enfuir, pas de prise, aucun moyen de s’enfuir face à se loup. Le loup se rapproche lentement de l’homme, prenant tout son temps, mais grognant et montrant les dents à la fois. Quand il ne restait plus qu’un mètre entre, l’homme et le loup.
Le loup commença à briller, ses poils remontait au niveau de sa tête, son nez se rétrécissez, ses membres prenaient une couleur beige, sa longue queue, commençait à disparaitre. Ses griffes se transformaient en onglet, des vêtements commençaient à apparaitre. Le loup commençait à se redresser, il ressembler beaucoup plus à un humain, la transformation s’acheva. C’était un adolescent, aux cheveux argentés, et aux yeux rouge. Il avait des points Américain, mais à la place des piques, se trouvait des griffes de loup acérées. Il passa sa main gauche dans ses cheveux argentés. Soupira et dit.

« - Tu es coincé, rend moi ma carte !
- Ja… Ja-a-a-amais, plutôt mourir !
- Si c’est comme ça que tu veux finir alors soit, que ta parole soit exaucée. »

Le garçon, rua de coup le pauvre homme, qui aurait mieux fait d’accepter ça proposition que de dire ça. Après l’avoir meurtrie de coup, le garçon se pencha sur le cadavre et chercha sa carte. Sortant la carte d’une poche il soupira.

« - Si on vole, quelque chose, autant ne pas le plier comme ça, quel con se type… »

Il interrompu, son petit monologue, des buissons venaient de bouger. Il se leva, plie soigneusement la carte, et jeta un regard au buisson. Il s’avança, la démarche légère, vers l’endroit. Il y avait deux enfants, il avait tout les deux les cheveux noirs. Il regardait à travers le buisson. Le garçon, leur lança un regard dégoûter, des espions, se disait-ils, des espions nuls… Il se pencha en avant, et attrapa les deux enfants par leurs cols. Quand il les souleva pour les amener à la hauteur de ses yeux, il leva les yeux au ciel, et laissa tomber les deux enfants.

Il soupira un bon coup, puis il mit les mains dans les poches et partait dans la direction de l’hôtel.
A mis chemin, il se retourna. Un buisson qui n’était pas là, tout à l’heure se trouvait là a présent. Il eu un sourire nerveux. Il sauta en direction du buisson, et il y atterrie en loup, derrière le buisson, les deux enfants de toute à l’heure s‘y trouvaient. Grognant et montrant les crocs, il s’avança vers les enfants d’un pas de prédateur. Le garçon se retourna, cria de surprise et s’agrippa à la fille en criant.

« -Alexandra ! Regardeeeee ! Derrière ! Le louuuuuup ! 
-Arrête de crie comme ça ! Ou le type va nous voir !
-Aleeeeeex, regarde ! Dit le garçon en secouant le bras de la fille »

Le loup repris soudainement son apparence humaine, et il était tombé dans un fou rire totalement incontrôlé. Il eu presque cru que le garçon allait faire dans son pantalon. Ça l’amuser de faire peur aux enfants. Surtout quand ça réagis comme ça. La fille c’était retournais. Elle brandissait un bout de bois en direction de l’adolescent.

« - P-a-a-as… Pas bouger ! »

Elle trembler comme une feuille, ça se voyait très bien. L’adolescent qui, était en train de se remettre de son fou rire, se releva et épousseta ses vêtements pleins de poussière. Il fait trois fois la taille des enfants. Il se baissa vers eux, et demanda.

« -Allons, vous me suivez depuis que je suis arrivée en Tanzanie, qu’est-ce que vous me voulez ? »

Elle trembler comme une feuille, et pourtant elle osa le défier du regard.

« - Vous n’êtes qu’un méchant ! Vous avez tués des hommes alors qu’ils ne vous avaient rien fais ! Ne vous mérite pas de vivre, si c’est pour tuer les gens ! »

Le regard de l’adolescent se durci, il attrapa la fillette par le col et la souleva pour qu’elle arrive à sa hauteur.

« - écoute moi bien, si je fais ça c’est pour protéger les gosses comme vous, que je fais ça ! Je fais partis du pensionnat Urushu Tsume, donc croyait moi, je ne suis pas comme c’est lâche du pensionnat de l’étoile rouge, je donne une chance à tous ceux qui le mérite. Et le type de tout à l’heure, il ne la pas saisi, donc, j’aimerai pouvoir travailler sans être embêter par des gosses, qui ne connaissent rien à la vie ! »

Il la lâcha d’un coup, et se remit en chemin pour l’hôtel. Il devait restait encore une semaine en Tanzanie, pour récupérée des informations capital pour leurs pensionnat. Bien sûr il devait faire tout ça dans l’anonymat. Il laissa échapper un grondement sourd, à cause de ces morveux, il avait oublié d’enterre le cadavre du type. Il se transforma en loup, et courut pour allez enterre le type. En arrivant sur place, l’odeur du cadavre lui prit au nez, il n’avait rien mangé de la journée. Peut être qu’une petite bouchée ne lui ferrait pas de mal. Il s’infligea une baffe mentalement, il lui était interdit de manger les cadavres, surtout que s’il le faisait son instinct de prédateur prendrai le dessus et qu’il en aurait encore besoin, encore et encore.
Semea, commença à creuser, il fallait que ça soit assez profond pour que le corps y entre en entier, et aussi pour pas que d’autre prédateur ne vienne le déterré. Mais il ne fallait pas que ça soit trop profond, car ça lui demanderai trop d’effort à le faire et à le reboucher, et aussi car il risquait de pas pouvoir remontait.
Il avait enfin atteint la profondeur voulu, il sortit sans mal du trou, et poussa le cadavre dedans, pour ensuite le reboucher. Le temps qu’il fasse tout ça, la nuit était déjà tombée, et il fallait qu’il rentre vite à l’hôtel s’il ne voulait pas dormir à la belle étoile, pour éviter de se faire bouffer par les bestioles qui y train. Sangsue, chauve-souris vampire, et pire que tout, les moustiques, ces affreuse bestioles qui vous pisse dessus, quand ils vous prennent votre sang. Et puis, il y avait aussi les kidnappeurs, justement, il a était envoyer en Tanzanie pour résoudre cette histoire de kidnappeur.
L’hôtel était à portait de vu maintenant, les portes allaient se fermer, il fallait qu’il se dépêche. Mais le propriétaire, en voyant le loup courir en direction de son hôtel, ne trouva rien de mieux que de fermer les portes. Semea, se les prit en plein dans le museau, dans un glapissement, il recula sonner. Il se transforma en humain, et mit sa main sur son nez, voila qu’il saigné, ces gosses lui avait vraiment faire perdre son temps. En plus de rien n’avoir mangé de la journée, il ne va rien manger de la soirée.

« - Super… Vive le camping ! » Râla-t-il en tournant les talons, les mains dans les poches.

Il réussit à trouver une bonne personne qui voulait bien l’héberger pour la nuit. Elle était très aimable.
Au matin, Semea, se réveilla de bonne heure. Mais la petite famille Tanzanienne était réveillée depuis puis longtemps que lui. Couche tôt, lève tôt, sont dingue ses gens. Se disait-il. Il était assis à la table, il lisait le journal, une tasse de café à la main. Il lut silencieusement l’article qui faisait la une des journaux.

« Dans l’après-midi, de la journée de Dimanche, une fille du pensionnat de l’étoile rouge - réputait pour être des tueurs sans merci au cœur de pierre - à était abattue par le célèbre chasseur de prime Math Locler. Il disait « Je l’ai surprise peu après qu’elle est abattue ce pauvre homme. En tant que bon citoyens, c’était mon devoir de le venger, et je peux vous assurez, que nous somme débarrassée de ce démon. ». M. Locler, dit la vérité, j’étais avec lui au moment des faits. D’après les papiers de cette fille, elle se prénomme Alyssia Stemphore. Jeune fille de la famille Stemphore qui avait fugué à se six ans, pour ne jamais être retrouver. La jeune fille, avait sur sa tête, une grosse prime qui était de cent mille dollars. Major du pensionnat de l’étoile rouge, elle était la meilleur élève, autant pour le meurtre que pour les études. Une étoile est morte hier après-midi. »

Il s’étrangla avec son café. Il grogna, et murmura pour lui-même.

« - Foutaise, c’est impossible de tuer quelqu’un comme cette fille, en plus ils osent se foutre d’elle, en plus se Locler n’est qu’un charlatan… »

Semea, déteste les mensonges, et encore plus quand on se fout de la tête d’une personne comme cette fille, même s’il ne la connait pas, il a de l’estime pour ces lâches de l’étoile rouge, au fond, ils faisaient la même chose qu’eux. Margaret, la femme qui l’avait accueillit, l’avait entendu, elle dit quelque mot en Anglais.

« - Cette fille, très gentille, dommage, pour elle… »

Semea fut un peu surprit, cette fille avait fait une mission ici, c’est très étrange, ceux du pensionnat de l’étoile rouge, préfère faire des missions plutôt en Amérique. Il demanda en Swahili.

« - Qu’a-t-elle fait pour vous ? »

Margaret, fut surprise de l’entendre parler dans cette langue, elle sourit et dit dans sa langue maternelle.

« - Elle à sauvée mon fils pendant une guerre civile. »

Il était encore plus surprit, une fille comme elle, sauvé un enfant pendant une guerre. Il aurait plutôt pensée qu’elle l’aurait tué. M’enfin, peut être qu’au fond, tout les pensionnaires de l’étoile rouge, n’on pas tous un mauvais fond. Il termina son café, et prit sa sacoche, il remercia, comme il le faut Margaret et s’en alla retourner à ses affaires.
La journée était déjà bien avancée, le soleil était haut dans le ciel, et il faisait très chaud, beaucoup trop chaud pour Semea, qui rester à l’ombre, mais il avait toujours l’impression qu’il fait aussi chaud. Le midi, le petit village était plutôt silencieux, les gens faisait la sieste à l’ombre, mais en tout cas, ils ne travaillaient pas les champs, n’y s’occuper du bétail, il fait bien trop chaud pour ça. Il se demandait, où il pourrait bien trouver l’homme qu’il chercher, peut être dans les docs, mais ça voudrait dire, qu’il faudrait traverser le pays pour y aller, car lui comme un con, il avait demandé à se qu’on le dépose à la frontière.
Il grogna à l’ombre, s’il devait traverser le pays, tout seul, sans aide, il risquait fort d’y laisser sa peau, et ça il était hors de question. Il soupira, il regarda le barman, qui nettoyait les verres, alors qu’il était plus nettoyer qu’il ne pouvait en faire. Il demanda.

« - Monsieur, comment je peux faire pour rejoindre les docs à l’est du pays ?
- En le traversant bien sûr. »

Il fit la moue, bien sûr ! Il savait qu’il fallait le traverser mais, de là à obtenir une réponse pareil. Il se retourna et regarda le barman dans les yeux.

« - Oui, mais comment je suis censée le traverser ! Y a pas d’aéroport, n’y de 4x4 qui circule, c’t’un troue perdu ici ! »

Deux têtes apparurent soudainement, entre Semea et le barman, Il avait tout les deux les cheveux noirs. En reconnait les enfants, d’hier, il soupira, c’était pire que des morpions. Le garçon lança.

« - Nous on sait comment rallier les docs !
 - Wouai ! Et même que vous, vous seriez capable de les rallié en moins d’une journée, M’sieur le loup ! »

Il tomba de son siège, ces morveux l’avait fait sursauter, en plus ils avaient dit haut et fort que c’était un loup. Il grogna légèrement en se relevant. Le barman lui dit, en lui tendant la main pour l’aider à se relever.

« - Ne les écouter pas Monsieur. Ils racontent de mythe à longueur de journée…
- Ah bon est quel genre de mythe ?
- Qu’ils font parti du quatrième pensionnat, qu’ils savent tous sur nous. Et tout plein d’autre connerie pareille… »

Semea était retombé, en entendant le nom du quatrième pensionnat. Ce n’était pas possible que des gosses comme eux, fasse parti du mythe de se pensionnat. Il se leva, posa les mains, sur le comptoir en bois, et regarda les enfants qui étaient derrière. Il dit sur un ton presser.

« - C’est vrai se qu’il vient de dire ! Vous faites vraiment partis du quatrième pensionnat ! »

La fille lui tourna le dos et mit les mains comme pour faire une balance. Elle dit en jetant un petit regard malicieux vers lui.

« - C’est bien toi qui avait dit, que nous n’étions que des gosses qu’il faut protéger ? Hun, et puis je ne verrai pas pourquoi je te répondrai, vu comment tu nous as attaqués hier. Et à quoi ça t’avancerai de le savoir ? »

Il se pencha encore plus derrière le comptoir, il regarda la fille et lui dis.

« - Allez s’il te plaît répond moi ! Je veux juste savoir ! Vous ne pouvez pas savoir comment, nous les élèves des pensionnats, voulons voir des élèves du quatrième, je croyais que vous, auriez le teint pâle, car d’après nos mythes, ils disent que vous restais enfermer dans une espèce de centre géant ! »

La fille se retourna, elle n’avait pas du tout le teint pâle, au contraire, sa peau était brunie, par les rayons du soleil. Le garçon dit doucement.

« On peut pas en parler en public… »

Semea ouvrit grand les yeux, il avait un grand sourire enfin ! Enfin il en avait vu ! Quand ses camarades apprendront ça ! Le garçon était caché derrière les jambes du barman. La fille s’approcha du garçon et lui murmura.

« - On lui fait passer le teste ? »

Le garçon hocha la tête, et les deux enfants partirent en direction de l’Est.

« - hé ! Mais attendez ! »

Il déposa rapidement deux dollars sur le comptoir et s’élança à leur poursuite sous sa forme de loup. Il les suivait grâce à leur odeur. Soudain leur odeur s’arrêta, il bondit, sauf, qu’il n’y avait plus de terre, ça se finissait part la mer… La mer ! Il n’y croyait pas ! Il avait fait tout se trajet en si peu de temps ! Il ne sentit plus rien sous ses pattes, le vide… Le vide ! Il avait sauté dans le vide ! Il était trop loin est puis, c’est impossible qu’il se retourne. Soudain, il sentit qu’on le prenait par les pattes arrière, et qu’on le propulser en arrière. Il réussit à se rattraper. Les pattes tremblantes, il se dirigea vers l’endroit. Où il voler y a quelque seconde a peine. Les deux enfants attendaient à côté.
Semea, se roula sur le dos, offrant son ventre aux deux enfants, le ventre était la partie la plus fragile chez un loup. C’était presque un signe de soumission. Le garçon, le caressa au niveau du torse. Semea, finit par se relever se secoua et reprit sa forme humaine. Il était tout plein de poussière. Il s’assoit en tailleur à côté des enfants et demanda.

« - Alors vous êtes vraiment du quatrième pensionnat ? »

Les enfants s’assirent à côté de lui. Ils étaient à l’ombre, pas de soleil, et la température était idéale. Un vrai bonheur cet endroit. Les enfants échangèrent un regard, et le garçon finit par dire.

« - Même si nous y étions nous n’aurions pas le droit de le révéler, c’est seulement si on est accompagné d’un supérieur.
- Donc vous y êtes déjà allés !
- Oui, mais on ne sait pas où il se situe.
- Purée ! Dire que je le pensais vraiment ! »

Il se laissa tomber en arrière, il mit son avant bras gauche sur ces yeux, pour empêcher le soleil de lui faire mal. Il ouvrit son œil gauche, il avait bien placée son avant bras de façon à ne pas avoir le soleil dans l’œil. Il scruta, le ciel d’un bleu infini, dont aucun nuage n’était là pour cacher cette vision, il y avait des oiseaux qui volaient dans le ciel. Semea finit par demander.

« - Vous, vous appelez comment au faites ?
- Moi c’est Alexandre, mais ma sœur m’appel Alex.
- Quand à moi, c’est Alexandra, et mon frère m’appel, Alex… »

Purée, pensa-t-il. Un frère et une sœur qui s’appel presque pareil ! Il se releva, il avait les idées, nettement plus clair, il fallait aller aux docs. Il regarda les deux enfants et dit.

« - Moi c’est Semea Otsama, vous êtes jumeau je suppose ?
- Exact, Mister loup ! Dit Alexandra
- D’accooooord… Je dois vous laissez j’ai une mission qui m’attend ! »

Il c’était déjà retourner qu’il entendit Alexandre lui dire.

« - Eh attend ! On ta aider, tu nous dois quelque chose !
-Ah ! Hé, euh quoi ?
- On t’a aidé à rejoindre les docs ! Tu nous dois quelque chose ! C’est une règle. »

Semea, grogna, il avait beau avoir reprit sa forme humaine, grogner était se qu’il faisait dès que quelque chose le déranger. Il se retourne et fit face au jumeau, et dit avec une mine boudeuse.

« -Vous voulez quoi ?
- T’aidez à finir ta mission ! Déclara Alexandra.
- Quoi ! Mais vous dingue ! C’est du sérieux se truc là !
- Oui justement, si on t’aide tu iras plus vite et tu déguerpiras plus vite de notre pays !
- D’accoord… Très sympa…»

Il se retourna, voila qu’en plus, il se retrouver avec deux gosses. Super… Il espérait simplement, qu’il n’aurait pas de problème, car franchement avoir deux gosse à charge, alors qu’il n’a que quinze ans, c’est abuser.

« - Bon bah, allons-y ! déclara Semea
- Les docs sont de se côté ! Dit Alexandre en pointant vers la forêt.
- Donc allons-y ! »

Les jumeaux éclatèrent de rire, à sa bêtise.

~ Les docs ~


Le port de Tanzanie, s’appel Dar es Salaam, qui veut dire Havre de paix, mais Semea n’y croyait pas vraiment. A cette heure ci, ils étaient déserts, à un tel point que ça vous filer des frissons dans le dos. Il y avait pas un bruit c’était plus silencieux qu’un cimetière. Pourtant, Semea avait l’impression d’être espionner, cet endroit ne lui indiquer rien de bon. Son rythme cardiaque c’était brutalement accélérée en entrent dans les docs. Ils se demander qu’est-ce qui avait bien put lui arriver pour qu’il aille, faire dans un endroit si sinistre. Si des kidnappeurs devait se trouvait quelque part, ça serait certainement pas ici.
Il prenait de grande inspiration, toute cette hauteur c’était bien trop… Trop grand pour lui.
Soudain, une explosion retentit, suivit d’un immense grincement, et soudain, tout les contenaire, qui étaient empiler les uns sur les autres, bougèrent dans une façon qui n’étais pas bon signe. Ça tangué de partout.
Semea, avait forcé les deux enfants à le suivre, pour se mettre à la vie. Pourtant, il n’arrivait à rien. A chaque fois, qu’il croyait trouver une sortis, un contenaire, s’effondrai, leur bloquant la rouge, manquant presque de les écraser. Semea, aurait du se fier à son instinct, il aurait du partir dès qu’il avait encore une chance. Maintenant ils étaient complètement bloquer.
Les jumeaux le suivait, mais ils n’arrivaient pas à suivre tout les mouvements de Semea, tellement il était rapide. Alexandra, s’arrêta toute essouffler. Alexandre, s’arrêta à côté d’elle. Sa sœur leva les yeux vers Semea, qui lui aussi avait dut s’arrêter pour reprendre son souffle. Une contenaire, était tombé, il allait se faire écraser. Alexandra réussit à crier.

« -Semea ! Fait attention ! »

Mais il était trop tard… Le contenaire lui était tombé dessus. Soudain, tout arrêta de bouger, comme si quelque chose avait fait contre poids. Alexandre, en rester bouche bée. Sa sœur, prit une grande bouffer d’air, et courut vers le contenaire, il était peu être tombait du bon côté. C’était possible ! C’était envisageable ! Elle tambourina, sur la paroi en fer, peinte en rouge.

« - Semea ! Semea ! Répond ! »

Rien… Absolument rien, aucun bruit. Le silence était total.

La douleur… Sentir le poids de choses invisibles sur vos épaules. Ne pas pouvoir bouger à cause de ce poids. Essayer tant bien que mal. Ne pas avoir de souvenir de se qui c’était passer quelque heure plutôt.
Le contenaire qui c’était écraser sur Semea, était remplis d’oreillers et de couette, surement de la contrefaçon.
Dans, se contenaire, tout était sombre, immobile et silencieux. Le silence total, rien qu’un calme apaisant. Quelque chose remuer, faisant bruisser un peu la soie sur la quel, la chose reposer. Soudain, un bruit fort, assourdissant, se fit entendre dans le contenaire. Le chose se mit les mains sur les oreilles et se recoquilla sur elle-même.

« - Semea ! Semea ! Répond ! »

Semea, garda les mains sur les oreilles et murmura.

« - Laissez moi dormir, il fait nuit… »

Mais pas assez fort pour se faire entendre. Le même bruit assourdissant refit son apparition, sauf qu’il dura encore plus longtemps que le précédent. Assez pour faire gémir Semea.

« -Allez répond ! Je sais que t’es pas mort ! Ce n’est pas possible ! »

Semea retrouva ses esprits. Cette voix, c’était Alexandra, il était enfermait dans quelque chose. Il n’y avait aucune lumière, tout plein de question se bousculer dans sa tête. On recommença à taper sur le contenaire, cette fois ci, il n’attendit pas que ça recommence et cria.

« -Arrêter ça ! Vous cherchez à me tuer ? Ce n’est pas drôle ! »

Un cri de joie se fit entendre de l’autre côté. C’était pire que quand on tambouriner sur le contenaire. Il essaya de se lever, mais il était complètement emmêler dans les draps, et couverture. Il lança.

« -Sortais moi d’là ! Ça sent le renfermer, et je suis emmêler dans des trucs doux et qui sentent bons ! »

Des éclats de rire se firent entendre de derrière. Finalement Alexandre dit.

« - On peut rien faire, tu as eu de la chance car les portes étaient ouverte, mais on a rien pour ouvrir le contenaire…
- Super… Vous avez mon téléphone sur vous ?
-O-oui, je l‘ai, pourquoi faire ?
- Va dans le répertoire et appel le contacte qui s’appel PUT, et tu attends.
- PUT ? T’es sérieux, qu'ils ne vont pas t’étrangler après ?
- Co-comment vous connaissez se que ça veut dire ? M’enfin bref ! Faite se que je vous dis ! ça commence à chauffer, là dans !
- Et on dit quoi après ?
- Faites comme vous le voulez, mais surtout, faites leurs bien comprendre que ce n’est pas une blague. »

[Le PUT, désigne le Pensionnat Urushu Tsume, c'est d'ailleurs ces initiales.]
Il posa son avant bras sur ses yeux, il était fatigué, et la température montais un peu, et l’air lui manquais. Il avait l’impression qu’il n’avait jamais dormir. Il ferma les yeux et se laissa bercer, par le son des vagues. Avant de s’endormir il entendit.

« -Semea ! Ils veulent te parler… Et tu m’entends ? Crétin, il ne faut pas que tu dormes ! Reste éveiller… »

Et plus rien…

Le son désagréable du fer qui se fait couper. Quel son désagréable, parmi se silence complet. Qui donc s’amuse à déranger son sommeil. Dire qu’il n’avait pas dormit aussi bien depuis des lustres. Mais sa tête lui tournait, il avait la bouche sèche, et avait besoin d’eau et d’oxygène. Il ne savait pas depuis combien de temps il était là.
Soudain, la lumière envahie le contenaire, ainsi d’une grande bouffé d’air. Il y avait de voix, qui criait des ordres, d’autre qui obéissaient.
Toujours obéir, ne jamais contester les ordres. Cette phrase passer en boucle dans le cerveau de Semea.
Soudain on le secoua, par les épaules.
Il ne réagit par, trop occuper à essayer de dormir.
Des mots lui parvenait mais, il ne les enregistrés pas, il souhaite juste qu’on lui foute la paix et qu’on le laisse dormir.
Une bouffé d’air, entra dans son cerveau, tout le dioxyde de carbone fut éjecter. Il ouvra soudainement les yeux.
Tout est trop lumineux, dans son endroit qui était si sombre tout à l’heure.
Tout est trop bruyant, dans son endroit qui était si silencieux tout à l’heure.
Soudain il se reçut deux paires de gifles. Il était complètement réveiller. Il aperçut le ciel, bleu, avec quelque nuage, et un oiseau qui tournait en rond, dans le ciel. Il se redressa d’un coup. Mais quelqu’un, le força à se rasseoir. Il lui semblait que c’était un vautour qui tournait dans le ciel.
Une voix, féminine, finit par s’élever.

« - Vous croyez qu’il faut, à nouveau le gifler, ou bien lui lancer de l’eau à la figure.
- Quoi ? Qu’est-ce que j’ai fais ? »

Il n’arrivait pas à retrouver complètement ses esprits, mais il lui semblait, être sur quelque chose de chaud. Et puis il avait se rêve étrange en tête. Il avait l’impression que la phrase qui disait, de toujours obéir, et ne jamais contester les ordres, avait disparut pour faire place à : « Tous les gens comme nous on deux « dons » c’est une chose innée ! ». Il avait aussi l’impression que venait de lui taper la tête contre un mur. Autant de lumière le déranger, il n’écouta même pas la réponse à ses questions.
Il se passa la main derrière la nuque, et ferma les yeux. La même voix que toute à l’heure dit.

« - ça va ? Pas trop sonné ? Passait huit heures dans un contenaire, ça m’étonnerai un peu que tu ne sois pas sonné. »

Huit heures ? Il n’aurait jamais pensé autant de temps, c’est surement pour ça qu’il à la bonne impression d’avoir super bien dormit. Il avait un étrange gout dans la bouche.

« -Argg, c’est quoi se gout ! »

Il sentit qu’on posa une main sur son épaule, et qu’on lui murmura à l’oreille.

« - Ne t’en fais pas, ça passera vite… Allez on rentre ! Quartier libre pour tout l’monde se soir ! »

On l’aida à se relever, qu’était-il advenue des jumeaux, es-ce que leur accord était terminer ? Il était encore sonné, quand il entra dans la voiture.

~ Quatre mois plus tard ~

Semea, sortit de sa chambre en s’étirant.
Quatre mois étaient passés, depuis l’incident au port de Tanzanie. Ça avait fait remue ménage dans le monde pendant plusieurs semaines. Il c’était aussi fait, sacrement engueulé, car dans son pensionnat, quand on exige de la discrétion, il faut le faire. M’enfin, il n’a pas très bien comprit se que le directeur lui avait dit, vu qu’il était encore dans les vapes, aux moments. Il lui a fallut une semaine, pour se rétablir. Huit jours avait dit les médecins, et la caporale c’était moquer de lui en disant que son sommeil était proportionnel au temps qu’il devrait passer au lit.
Il n’avait plus entendu parler du quatrième pensionnat depuis. Juste de nouvelle guerre qui c’était crée.
Le pensionnat de l’étoile rouge, essayait de résoudre certaine guerre civile en Amérique. Le pensionnat Urushu Tsume lui s’occuper plutôt de résoudre les problèmes, en Afrique et en Océanie. Tandis que Rosa Jura, s’occuper de toute l’Europe. La Terre était partagée entre trois pensionnats qui se faisaient la guerre. Et pour le quatrième, contrôle tout se beau monde, sans qu’ils le sachent.
Semea eu un peu de tristesse pour cette fille, Alyssia Stemphore, elle n’avait surement pas méritée se qui lui était arrivé.

La veille il en avait parlé avec le commandant de son unité. Elle lui avait répondu, que chaque être vivant mérité se qui lui arrive. Si cette fille, c’était fait abattre c’est parce qu’elle l’avait méritée. Puis elle lui avait ébouriffée les cheveux, et lui avait dit, qu’il ne fallait pas non plus croire tout se que disait les journaux, car la plupart de leurs news, n’était qu’un gros tissu de mensonge. Puis, elle l’avait laissé seul contempler la mer. Il y était resté un bon moment à contempler le vide. Cette phrase lui trotter pourtant dans l’esprit. Nous avons tous deux dons, mais pourquoi son supérieur ne lui en aurait pas dit quelque chose. Et quel serai son deuxième don ? Son premier c’était sa transformation en loup. Il avait beau tourner cette phrase dans tout les sens, il n’arrivait pas à le trouver. Peut être qu’au fond cette voix avait faux, peut être qu’au fond, il était le seul à n’avoir qu’un seul don.
Son cœur se serra, il avait peur, de ne pas être comme les autres. Peur de se faire rejeter car il ne possède pas deux dons.

« Dit donc ! Qu’est-ce que tu fais là toi ! Tu ne devras pas être en train de manger avec tes camarades ? »

Semea, leva la tête, c’était sa supérieur, elle abordait un grand sourire, tandis qu’il faisait plutôt la tête, il baissa les yeux, et dis.

« J’avais besoin de réfléchir… 
- Hun, réfléchir sur quoi ?
- Sur une phrase que j’entends à longueur de journée, et pourtant je suis le seul à l’entendre
-Dis la moi donc, au mieux de tourner autour du pot ! Dit son supérieur toute enjoué.
- Elle dit, que nous avons tous deux dons, est-ce vrai ? »

Pour poser sa question Semea avait leva les yeux vers sa supérieur, il avait prit un ton qu’il n’avait encore jamais utilisé, il à eu des frissons glacées, quand il eu dit la phrase.
Sa supérieur, avait le regard durci et sévère, elle avait complètement changé d’émotion. Le cœur de Semea, se serra, il n’avait pas de réponse. Elle finit par dire, d’une voix dure.

« - Je n’ai pas le droit de te répondre, oublie tout simplement cette phrase, ça vaudrait mieux. »

Il n’en revenait pas, comment ! Pourquoi, ne pouvait-il pas savoir. Son supérieur commencée à s’éloigner. Il se retourna et demanda.

« - Pourquoi je n’ai pas le droit de savoir ! »

Elle s’arrêta et lui lança un regard dur par-dessus son épaule.

« - Car certain réponse, ne t’apporterons rien de bon, crois moi… Maintenant, Oust ! Va manger ! » Rajouta elle avec un grand sourire.

Semea, savait qu’il venait de perdre la partie. Il grogna, et continua son chemin, le cœur encore plus gros.

~ Quelque jours plus tard ~


Une mission de routine, entre amis, c’est celle mission, qu’avait prit Semea, il voulait s’amuser un peu, surtout que cette fois ils allaient dans, le Sud de l’Afrique, ce n’était pas l’endroit le plus riche, mais au moins, ils étaient tranquille, sans kidnappeur, sans contenaire, et le meilleur c’est qu’ils avaient droit à une semaine de vacance après.

Donc Semea, n’avait pas du tout hésité quand ses amis lui avaient proposé de se joindre à eux, mais il fallait qu’un prof décide de venir avec eux. Surement un qui s’ennuyer au pensionnat.

Dans l’hélicoptère, ils c’étaient racontés tout pleins d’histoire, sur des requins, des pieuvres, des requins pieuvres. Et sortit tout un tas de conneries, qui avait bien fait rire leur professeur.
Leur mission consister à faire une simple patrouille, interroger les habitants, calmer ceux, qui prendraient leurs venue comme nocif. Et pour finir, essayer de voir s’ils pouvaient s’y trouver des enfants de ayant eux même un don.

Ils se trouvaient au Cap, ils avaient une belle vue sur la mer depuis leur hôtel. Dès fois, ils voyaient passaient des navires appartenant au pensionnat Rose Jura, et comme ils n’étaient pas en guerre avec se pensionnat, ils en profitaient pour saluer joyeusement l’équipage. Qui les répondaient en faisant exploser une capsule contenant des minis feux d’artifices.
En plus, ils avaient tous plein de chose à faire au cap, donc ils n’avaient pas le temps de s’ennuyer.
Mais quelque chose tracasser Semea, pourquoi, son supérieur, n’avait pas voulu répondre à sa question, et quelles sont ces vérités qu’ils ne vaudraient pas savoir. C’est comme si le monde entier lui cacher quelque chose.

Un jour, alors qu’ils rentraient d’une patrouille avec ses amis. Une troupe de gens, qui ressembler à des militaires attendez devant leur hôtel. Ils étaient armer, et pourtant ils ne dégageaient aucune hostilité. Leur professeur était avec eux. Quand le groupe de militaire les aperçurent, l’un d’entre eux se détacha du groupe, pour venir à leur rencontre. Quand il fut à leur hauteur, il demanda juste.

« - Vous êtes biens le groupe, du pensionnat Urushu Tsume, envoyer en mission ici, pour patrouiller ? »

Ils hochèrent la tête, mais rester silencieux. Comment ces gens les connaissaient-ils ? Celui qui c’était détacher du groupe, passa en revu les quatre élèves présent. Quand son regard se posa sur Semea, il arqua un sourcil, et dit, du même ton neutre que tout à l’heure.

« - Monsieur Otsoma, veuillez me suivre, s’il vous plaît. »

Semea, se contenta de le dévisager, comment ça le suivre ? Il ne le connait même pas, ils sont en temps de guerre, et ce type lui dit de le suivre tout simplement. Le monde est tombait sur la tête. Ou soit se type était complètement idiot. Voyant que Semea, ne réagissait pas, il dit d’un ton plus poser.

« - Veuillez me suivre, s’il vous plaît, je n’ai pas envie de perdre mon ton à discuter. »

Semea, c’était mit en garde, si se type voulait l’emmener il devrait le forçait. Le professeur de Semea, le força à baisser ça garde, et déclara, sur le même ton que l’autre.

« - Je ne vois pas pourquoi, je devrai laisser mon élève suivre un inconnu, qui dotant plus, ne se présente pas. »

Le type eu une grimace de mécontentement, il répondit comme pour défier le professeur.

« - Je suis le Sergent-major Rayane, et je suis chargée, d’amener Mr. Otsoma, au quatrième pensionnat. Les ordres sont les ordres, vous les discuteriez ?
-No-Non, bien sûr que non ! Mais qu’est-ce qui nous prouves que vous faites bien partis du quatrième pensionnat. Et même si vous y faites vraiment partis, il est hors de question que je laisse mon élève suivre des gens comme vous. »

Le Sergent-major Rayane, se pinça l’arrête du nez, et avec un soupire, il dit en relevant la tête.

« - Croyais moi, il vaudrait mieux pour vous que vous le laissiez venir avec nous sans discuter, je n’ai pas beaucoup de temps, et je n’ai aucune envie de continuer cette discutions. Alors Monsieur, je vous répète ma question : Oserez vous discutez les ordres ? »

Le professeur, fit un pas en arrière, il transpirait. Les élèves eux, restait de marbre, mais ils n’osaient rien dire. Semea, fini par avancer la tête basse.

« - C’est bon, je vais vous suivre, mais ne faite pas de mal à mes amis ! 
- Bien sûr, il se déplaça pour lui montrait la direction d’un 4x4, il se retourna vers la petite troupe et dit. Bonne soirée Messieurs. »

Le silence, rien que le silence. Semea, était complètement perdu, il avait l’impression qu’on l’avait anesthésié de tout ses sens. De plus, il n’a pas apprécié, quand les types du 4x4 l’on endormit, ils auraient tout simplement put lui bander les yeux, au mieux de l’endormir. Il renifla pour la énième fois de la journée. Il était enfermer quelque part, il ne pouvait pas bouger, ses pieds touchaient le sol. Ses mains était attachées plus haut. Et il y avait se froid glacial, c’était le même que le frisson qu’il avait ressentit quand il avait demandait à son supérieur la question sur les dons.

Il renifla une nouvelle fois, il n’était pas content, car il ne pouvait pas se mouchais. Il avait l’impression qu’il n’avait plus ses bottes, car le sol lui semblait tellement froid. À moins, qu’ils en ont profités pour geler le fond de ses bottes. Il ne voyait absolument rien, on lui avait bandée les yeux. Il savait qu’une autre personne était présente dans cette pièce, car par moment, quand il renifler un peu trop, elle se mettait à râler. Mais dès qu’il voulait engager une conversation avec la personne, elle se taisait.

Une personne, venait de temps en temps, leur apportait à manger et à boire. Il en déduisit que c’était matin, midi et soir.
Semea, s’ennuyer de se silence, ça devait faire des jours qu’il était là, il n’avait plus aucun repérer du temps. Même quand il essayer de savoir ça avec la personne qui venait, elle se taisait.
Le silence semblait faire règle ici.

Aujourd’hui, ça lui semblait étrange comme jour, car la personne qui était venu, avait déposé deux objets sur une table, au centre de la pièce. Elle leur avait ensuite demander, de dire ce que c’était est à qui ça appartenait. Elle c’était d’abord adresser à l’autre personne. L’autre personne avait réfléchit un moment interminable, pour dire.

« - Je dirai, que l’objet que vous avez posez en premier, serai des gants américains, qui a la place des pieux serait des griffes de loup…
- Qu’est-ce qu’il vous permet d’affirmait ça ?
- Et bien c’est le bruit que ça à fait quand vous avez posez sur la table. Les gants sans griffe de loup, font un bruit un peu plus aigue, et quand vous les avez bougé, on pouvait très nettement entendre, le bout de la griffe du milieu crisser sur la table… Et je dirai que ça appartient… A l’autre renifleur de l’autre côté de la pièce. »

Semea, en restait bouche bée, elle avait examiné la situation comme un jeu, mais comment se faisait-il que cette personne soit aussi douée même les yeux bandés. Il en déduit que c’était une fille, ça voix était fluide et douce, même s’il avait l’impression qu’elle avait un caractère de chien. Il se souvient brusquement que c’étais à son tour. Mais il n’avait absolument aucune idée de se que ça pouvait être. Il baissait la tête et avoua honteux.

« - Je ne sais pas… »

Aussitôt la voix de l’autre côté lança.

« - C’est pas étonnant qu’un pensionnaire d’Urushu Tsume, ne sait pas reconnaitre le bruit d’un Magnum. Ce n’est pas étonnant, vous prenez mêmes pas le temps de réfléchir avant de faire quelque chose, alors écouter des sons, pour savoir les reconnaitre après, c’est carrément gravir l’Himalaya pour vous ! »

La voix était arrogante, et cassante à la fois. Semea ne pouvait pas laisser passer une telle insulte.

« - Et alors ? Peut être que nous fonçons tête baisser dans certain truc, mais c’est mieux que de passer tout son temps enfermer dans une pièce, à élaborée, des plans, qui, si, le moindre petit insecte viendrai dérange, cet équilibre si fragile, ferrait tout échouer.
- Et ben, tu sais quoi, les insectes comme toi, je les écrase !
- Fermez là ! »

La porte de la cellule se ferma bruyamment, on pouvait entendre des gardes, qui ronchonner derrière. Semea, n’avait rien envie d’ajouter, et il lui semblait que la fille était repartit dans son sommeille.
Et ainsi, la cellule, fut à nouveau plongée dans le silence total.


Fin de la deuxième partie.
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MessageSujet: Re: Une histoire que j'écrie !   Une histoire que j'écrie ! EmptyMer 9 Mai - 11:00

Troisième partie : Isis Nightrive


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MessageSujet: Re: Une histoire que j'écrie !   Une histoire que j'écrie ! EmptyMer 9 Mai - 11:02

Nous devons nous plier aux ordres. Ne pas les contester, et les respecter. N’importe quels écart de conduites, sera sanctionner, en raison, de la faute que nous avons fait.
Nous avons, pour but, d’arrêter une guerre qui n’a plus lieux d’être, qui n’a plus aucun sens. Mais au fond, est-ce plus raisonnable, de vouloir crée une utopie qui s’effondrerai sous le moindre écart de conduite. Ça reviendrait à vivre en prison…

L’élève que nous allons suivre, s’appel Iris Nightriver. Élève au pensionnat Rosa Jura. Elle est la meilleure pour tenir en apnée, sa véritable histoire, ne commence qu’à Aniva en Russie.

Les fonds marins, étaient le paradis pour ceux qui arrivaient à les atteindre, et à remontait vivant. Iris fais partis des gens qui arrive à accomplir de tel exploit. Les gens comme Iris, était l’élite au pensionnat Rosa Jura, c’était le rêve de chacun des pensionnaires. Mais rare d’entre eux, pouvait y descendre, il fallait avoir un entrainement spéciale et acharné. Seul ceux, qui y voulait vraiment y parvenir réussissait.
Les fonds marins, de la baie de Aniva, était les meilleurs, ils n’étaient pas trop profond, on pouvait y voir des choses merveilleuse. Et puis quand on atteint une certaine profondeur, l’eau devenait chaude, c’était un phénomène inexplicable.
Ce jour-ci, la température de l’air descendait, sous les moins vingt degrés, tandis que celle de l’eau arrivait à presque moins vingt-cinq. Il fallait être dingue, ou complètement suicidaire pour le faire.
Une personne attendait, elle faisait les cents pas. Elle avait un chronomètre, et regardait de temps en la surface de l’eau. Elle tenait un manteau et une serviette. Au bout de vingt minutes, des bulles apparurent à la surface de l’eau. Puis une silhouette, et enfin, une personne apparut.
La personne qui tenait le chronomètre, l’arrêta de suite, puis se pencha pour aider la silhouette à monter. C’était deux filles, elle faisait la même taille, et surement le même âge.
La silhouette qui attendait patiemment, portait un manteau polaire. L’autre, la plongeuse, portait un maillot, qui maintien le corps à une température constante. Elle grelotait un peu quand, son amie lui passa la serviette. Elle leva la tête vers son amie et dit.
« - J’arriverai jamais à supportais le froid de cet endroit. En bas, ça me rappelais les températures près du Cap !
- Ne t’inquiète pas Isis, si tu n’as pas envie de revenir à la surface, tu as qu’a prendre une bombonne d’air et partir de cet endroit, et allez jusqu’à arriver à un endroit, où la température est plus haute. »

Elles éclatèrent toute les deux de rires, et rentrèrent à l’hôtel. Les rues étaient désertes à cette heure-ci. Il fallait plutôt plongée le matin, surtout qu’aujourd’hui ils entraient dans le solstice d’hivers. Les jours seraient plus long et les températures plus extrêmes. Elles étaient arrivées à l’hôtel. Isis, c’était installer dans un canapé bleu, juste à côté de la fenêtre. Elle chambre offrait une magnifique vu sur la mer. Isis demanda.

« - C’est quand, qu’on embarque pour le Mexique ?
- Ah ça ? Et ben ça doit être demain ou après-demain. Pourquoi cette question ?
- Comme ça ne peux plus supportais ses températures extrêmes. Dit Isis, en haussant les épaules.
- Ouai, mais faut pas oublier que nous seront en territoire ennemi.
- Ouai, mais qu‘importe tant qu‘on n‘embête personne et que nous nous tenions à carreau ça ira.»

Son amie se tourna vers elle. Au Mexique, elles seraient beaucoup plus en territoire ennemi. C’est le pensionnat de l’étoile rouge qui contrôler cette zone, et ils n’aimaient pas trop avoir des invités. Lilia, son amie, recommença à plier le linge et dit.

« -De toute façon, nous y avons droit d’y allez, car il on envoyé l’une de leur pensionnaire là-bas, elle n’y est jamais revenue.
-Hein ? C’est cette fille dans les journaux ! Attend… Elle s’appelait…
-Alyssia Stemphore.
-Ah ! Voila ! Moi j’y crois pas trop, car franchement, faudrait que se type soit suicidaire pour faire ça. Souvient toi de cette règle, qu’a le Pensionnat de l’étoile Rouge.
- « Ceux qui essayer de tuer un élève du pensionnat de l’étoile rouge, mérite la mort »… C’est une phrase tellement morbide, ça n’engendre que la haine et la mort après ! »

Lilia lui tourna le dos, ces parents avait étaient tuée part les élèves de ces pensionnats. Pendant une guerre civile. Soudain le bruit d’une cheminer d’un bateau retentit, les deux filles levèrent la tête. Prient leurs valises, et sortir en toute hâte de l’hôtel.

« - Tu n’avais pas dis que c’était pour demain ?
- Ils ont du avancer le voyage pour une raison précise ! »

Elles arrivèrent juste à temps pour embarquer. Le bateau Rosa Jura, est un bateau qui peut paraitre sombre et triste de l’extérieur. Mais une fois qu’on y entre dedans, on est comme dans une ambiance de faite. Il ressemble à un bateau de croisière, mais c’est un navire de guerre. Les murs, étaient vivement décorés. Et les cabines, encore plus. Mais les élèves n’avaient pas le temps de se reposaient. C’était eux même qui faisait tout le boulot à bord. Tout les pensionnaires de Rosa Jura, sont d’excellent Marin, et plongeur. Ils aiment faire dans la discrétion et le silence. Ils n’aiment pas le bruit, comme tous les pensionnaires des pensionnats.

Ils ont une ambiance très familiale, et ils s’habituent très vite, au point à nouer des amitiés fragile, avec des élèves d’autre pensionnat.
Isis, regardait le paysage, depuis la proue. C’était le calme habituel. Dès fois des hélicoptères passaient. Elle y voyait des élèves de l’étoile rouge. Bien sûr, ils ne la saluaient pas. Elle était un peu triste, car elle n’aurait aucune occasion de saluer des élèves du pensionnat d’Urushu Tsume, car eux au moins, ils sont sympathique et vous salue, même sans guerre.
Car eux, son plus dans les transports, voiture, camion.
Tandis que ceux de l’étoiles Rouge, c’était les moyens de transport volant : hélicoptère, avion, jet.
Et ceux du pensionnat Rosa Jura, avait tous droit au moyen de transport maritime, et parfois terrestre.
Mais ils avaient tous un point commun, sur les moyens de transports, ils aiment quand ça va vite.

Bref, Isis s’ennuyer sur la proue, elle ne pouvait même pas nager. Elle pensait à son don. Quand elle s’énervait, ses yeux d’un bleu profond, prenait la couleur du rouge sang, et elle n’avait plus aucun contrôle sur elle-même. Son adoration pour l’eau, lui venait de sa mère, et puis au moins, dans les fonds marins, elle ne risquait pas de s’énervée.

Il devrait accoster demain au Mexique. C’est que leur bateau allait particulièrement vite. Et puis d’après se qu’on lui avait dit, elle partira faire une mission avec ses camarades, dans les docs. Au moins, elle ne risquait pas de tomber sur des gardes armes, d’arme à feu. Non, elle, elle préférait les couteaux, et autre armes blanche. Tant que ça fait pas de bruit, et qu’on peut être sûr que ça va fonctionner ça lui plaisait.
Elle eut un crie de surpris, en voyant le corps sans vie, retourner, flottant à la surface. C’était un marin. Et puis plusieurs corps le suivit, tous sans vie. Isis fit un pas en arrière. Ses camarades qui avaient remarqué sa surprise, se dirigeai vers la proue pour voir, se qui avait surpris leurs camarades.
Isis serra les poings, c’était certain que c’était le pensionnat de l’étoile rouge qui avait fait ça. Un de leur hélicoptère, allez dans cette direction. Isis, avait horreur, qu’on pollue la mer avec des cadavres, et autre déchets. Elle serra les dents, il ne fallait pas qu’elle s’énerve.

Soudain un hélicoptère amorçait une descente vers eux. Elle dut reculer de quelque pas, pour éviter de se faire balayer par l’air soufflé par les palmes de l’hélicoptère. Dedans se trouvait quatre élèves et un professeur. Toujours pas équipes de cinq.
Le Contre-amiral Sarah, sortit de sa cabine, le regard dur. Ils avaient dut ralentir leur, vitesse pour laisser les intrus se poser. Isis, était la plus près de l’hélicoptère, les élèves n’osaient pas les regardaient, ils se contentaient de fixer le sol des yeux.
Le général de brigade Walker - Il est le plus connu, impossible de ne pas savoir qui c’est - descendit, de l’hélicoptère laissant son arme dedans. Il adressa un salut militaire, au contre-amiral. Elle se contentait de le fixer durement. Il finit par prendre la parole d’un ton des plus neutres.

« - Veuillez me pardonnez, d’avoir fait escale sur votre navire Contre-amiral. Mais je devais absolument vous prévenir, que plus au nord de votre position. Se trouve dix navires de pirates. Bien sûr nous, ne leur avons rien fais, car ils sont sur votre parti…
- Merci général de brigade, mais je suis sûr que nous aurions put nous débrouiller tout seul, sans votre aide, à vrai dire vous nous ralentissez plus que tout…
- Allez-vous faire escale aux docs du Mexique ?
- Oui, pourquoi cette question ? Pour nous attaquer en traitre ?
- Bien sûr que non, il faudra faire très attention dans cette zone, nous somme en train de la « nettoyer » des mafieux, donc vous pourriez avoir quelque problèmes, si nos patrouilles croisent certain de vos élèves. Et nous voudrions, éviter des conflits dans cette zone.
- J’y veillerai… »

Il fit demi-tour et l’hélicoptère reparti. Elle n’avait pas rêvé, un officier d’un autre pensionnat, les prévenait de faire attention. Quelque chose ne tournait pas rond, ils les auraient prévenu quand ils seraient arrivé, mais pourquoi maintenant. Isis repoussa une mèche derrière son oreille. Et pourquoi les auraient t’ils laissaient se débrouiller avec les pirates, alors qu’ils venaient d’en abattre, d’habitude, ils faisaient tout pour avoir un plus grand palmarès. Quelque chose ne tournait pas rond, Isis, en était sûr. Ils c’étaient parler sur le même ton neutre, ça en aurait fait froid dans le dos. Elle retourna dans sa chambre. Elle se sentait d’un coup extrêmement fatiguée. Le sommeil lui vint rapidement.
Le bruit des vagues traçant leur chemin, était une douce berceuse. Une berceuse, qui n’en finirai jamais, toujours le même air, l’océan semblait pleurer tant de mort. La pluie, sont les larmes de ceux qui ne sont plus parmi nous, et qui souffrent de voir leur amis triste. Dans certain endroit, il n’y a presque plus de larme à verser. Des endroits, qui en on le plus besoins, n’ont pas d’eau pour survivre, et ceux qui n’en n’ont pas besoin, en reçoivent trop. Pourquoi un répartissent si injuste.

Isis se réveilla brutalement, une mouette n’avait rien trouvé de mieux que taper contre le hublot de sa cabine. Elle soupira, sortit de son lit, et se dirigea vers le hublot, elle l’ouvrit, et l’oiseau s’envola. Elle en profita pour passer la tête dehors, l’air salée, lui faisait un bien fou. Elle ferma les yeux, et prit une grande inspiration. Elle referma son hublot, et parti sur le pont supérieur.
Le faible rayon de soleil, commençait à apparaitre malgré l’immense couche de nuage, ou de pollution. Tout semblait si paisible. Elle jeta un regard vers les docs. Les contenaires était empiler les uns sur les autres, comme si c’était des jouer. Ils y avaient une pile qui se démontrait de tous les autres. Elle faisait quatre à cinq contenaires en plus. Comme si c’était un jeu de faire la plus haute tour.
Elle sauta du bateau, et atterrie sur le quai. Il était en béton. Une forte odeur de poisson se dégager des docs. Les mains dans les poches de sa veste, elle se décida à exploré un peu les lieux dans se labyrinthe. C’est vrai, ils étaient là seulement pour reprendre des vivres et du carburants avant d’allez au cap.
Isis s’enfonça dans le labyrinthe géant. En passant près d’un hangar, elle entendit.

« -… Mais toi, tu fais comme si tu étais née avec cette arme. Les gens qui t’ont apprit à te servir de ton don, ne ton jamais dis que tu en avais deux ? Tout les gens comme nous on deux « dons » c’est une chose innée ! »

Elle ouvrit grand la bouche, comment ça on a deux dons. Ceux qui ont dit ça racontent n’importe quoi. Elle recula d’un pas. Et puis le noir total, elle se débit, mais elle avait l’impression qu’on lui avait mit un sac sur la tête. Elle se sentit soulever, et poser sur des épaules ou un truc comme ça. Elle se mit à donner des coups des poings, dans se qui semblait être le torse ou le dos, de quelqu’un. Puis elle fut brutalement jeter sur quelque chose de froid et dur.
Elle se réveilla, la main attachée derrière un poteau. Les yeux bandés. Il y avait le même calme, impossible de savoir où elle était n’y se qui se passait. Elle n’avait pas du tout froid, elle sentait le tissus de sa veste et de sa chemise, si elle bouger les doigts.
Soudain, des tirs. Des tirs et des cris de douleur. Il lui semblait être dans une salle a part. Elle avait envie de se boucher les oreilles, le bruit des douilles qui tombaient par terre, semblait avoir dit la fin de cette tuerie.
La porte de la salle s’ouvrit doucement, une M1911, passa le premier, c’était comme pour vérifié s’il n’y avait personne. Une voix résonna.

« - Secteur dégager, y a une otage, je la libère… Attendez… Elle à l’emblème de Rosa Jura sur sa veste, je fais quoi ? … Compris. »

Quel ordre, venait-il de recevoir ? Elle entendit, des bruits de pas venant vers elle, une main passa à côté de sa joue. Puis elle entendit, le craquement d’un os, c’était comme si la personne venait de se baisser. Elle commença à paniquer, qu’est-ce qu’il allait lui faire. Il finit par dire d’une voix distante.

« -Paniquait pas Mam’zelle, je vous détache. »

Finalement, il n’était pas si méchant que ça. Elle avait les jambes en coton. Les tirs de tout à l’heure, l’avait fait très peur. Elle se demandait comment il faisait pour ne pas avoir peur, quand il appuyait sur la gâchette. Au moment où la corde, fut enlever, elle eu l’impression qu’elle allait tomber. Mais le garçon, qui l’avait détaché la retient, avant qu’elle ne tombe. Il l’aide à s’asseoir au sol, et attendit qu’elle recouvre ses esprits. Elle enleva, le bandeau qui l’empêcher de voir. Elle réussit à se relever assez rapidement. Elle garda, la tête baisser, le général de brigade, leur avait bien dit qu’il ne fallait pas s’aventure dans les docs, même s’il ne l’avait pas officiellement dit, c’était presque comme une mise en garde.
L’élève, la regarde, et puis détourna brusquement le regard. Il dit dans son micro.

« - La fille va bien, je la ramène à son bateau ? Ok, je vais essayer. »

Essayer quoi, se demandait Isis. Elle leva, la tête vers le garçon, c’était un des élèves présent dans l’hélicoptère. Son groupe devait surement être en train de nettoyer la zone.

« -Allez viens, suit moi » déclara le garçon avec un grand sourire. 

Finalement, il était plutôt gentil. Peut être qu’au fond, nous somme tous pareille. Isis sortit un élastique de sa poche. Ramena ses cheveux en arrière, et les attacha tout en suivant le garçon. Il semblait connaitre les docs par cœur. Comme s’il y était né. Isis, elle, elle ne se rappelait même plus comment elle était arrivée au hangar, ou elle avait entendu là voix. Pourtant, elle se posait cette question « Es-ce vrai qu’on a deux don ? » mais elle, ne savait pas si elle devait la poser ou pas.

Ils arrivaient au quai, alors qu’il était bientôt quinze heures. Ils n’avaient pas beaucoup parlé pendant le trajet. Le garçon, avait baissait son arme, en passant la passerelle. En arrivant à bord du bateau, il c’était écarté pour laisser Isis passer. Tout le monde était resté muer. C’était la première fois qu’une chose pareille se passait. Un élève de Rosa Jura, raccompagné par un élève de l’étoile Rouge. Isis avait la tête baissait. Le contre-amiral Sarah, était arrivait rapidement, et toisait durement les deux élèves. Elle fit un signe de tête et le garçon, repartit. Le silence était revenue, il semblait attendre, que le garçon ai disparut du centre de vision de tout les élèves, pour que les murmures commence.
Isis, serrait les poings, elle n’avait pas envie de pleurée, mais elle savait que se qu’elle avait fait, était mauvais. Elle était partit sans informer quelqu’un, c’était une faute grave, surtout en territoire ennemi. Elle leva légèrement, la tête vers le contre-amiral. Son regard était encore plus dur. Elle aurait presque cru, qu’elle allait se faire étriper. Mais rien, le contre-amiral, lui fit juste le signe de la suivre.

Elle suivit le contre-amiral, jusqu’à son bureau. Son bureau, était luxueux, il y avait d’immense bibliothèque remplie de livre. Plusieurs bureaux sur lequel, étaient étendus, carte, rapport, compas, et tout le bazar maritime.
Le contre-amiral, l’invita à s’asseoir, et elle fit de même. Isis, regardait le bord du bureau. Elle n’arrivait à penser à rien. Puis la voix neutre de Sarah, la fit revenir sur Terre.

« - Alors ? J’attends des explications…
- Je ne sais pas se qu’il ma prit, je me suis réveil à cause d’un bruit, et j’ai voulu voir se que c’était… Je suis désolé, j’assume complètement ma faute.
- ça sert à rien de s’excuser, tu aurais put te faire tuer, tu as eu de la chance, que cet élève nettoyait la zone à se moment. Et pour te punir, tu serras, interdit de sortis, et de corvée de pomme de terre jusqu’à se qu’on arrive au Cap.
- Compris… »

Corvée de patate jusqu’à se qu’elles arrivent au Cap, c’était trop injuste ! Il y en a pour de jours ! Devoir rester enfermer dans un local, pendant toute une journée à éplucher des pommes de terre, c’est trop injuste !

« - Votre punition prend effet immédiatement, rompez… »

Le moral d’Isis, était plus bas que les températures, hivernal à Aniva. C’est plus d’un mois de corvée, car il allait devoir passer par le sud de l’Amérique, va savoir pourquoi.
Un hélicoptère se posa sur la plateforme du bateau de Rosa Jura, Isis, monta sur le pont supérieur, elle n’en pouvait plus des pommes de terres. Être enfermer dans se local, c’était horrible. L’hélicoptère était vide, il y avait seulement le pilote. Il descendit à la rencontre du Contre-amiral. Le Contre-amiral, appela plusieurs élèves. Isis en faisait partit. Elle leurs expliqua, qu’ils allaient partir pour une mission en Russie. Libéré, un élève de l’étoile rouge, enfermé dans une prison Russe. Isis n’osa même pas demander pourquoi c’était à eux d’aller faire se boulot.

L’hélicoptère filait à une vitesse impressionnante. Même le meilleur bateau de Rosa Jura, ne pourrait pas aller si vite. On leurs avait passé des casques pour les oreilles, qui étaient relier à des micros pour pouvoir discuter.
Ils ne discutaient pas trop, ils étaient plutôt en train de penser comment ils allaient faire pour le libéré, et aussi comment affronter des ennemis qui ont des snipers et de pistolet. Mais, ils, n’avaient pas le temps d’y penser qu’ils étaient déjà arrivaient.
La prison Russe, était super protéger, des fils barbeler empêcher de s’enfuir, des caméras de surveillance, était installer au moindre recoin, et des rondes se faisait presque toute les dix minutes. Alex siffla.

« - Et ben, ces Russe font pas le travail à moitié. »

Ils rigolèrent un peu. Le pilote annonça.

« Si vous voulez, réussir cette mission, il va falloir que deux d’entre vous aille coupez le courant et que les deux aille libérer le type. »

Alex, et Rachel se proposèrent à allez éteindre le courant. Donc il ne restait que Isis, et Marc pour allez le sauver. Le pilote alla d’abord déposer Alex et Rachel à côté du générateur, sur cet hélicoptère, il y avait un appareil qui le permettait d’être invisible et de ne pas faire de bruit. C’était un petit joué technologique. Il déposa ensuite Isis et Marc sur l’un des chemins de ronde, et il leurs dit qu’ils se retrouver dans une clairière qui surplomber la prison. Ils hochèrent la tête.
Isis sauta la première, et Marc le suivit. Pas de chance pour eux, deux gardes étaient en train de se soulager, contre le mur. Les pauvres gardes, eurent la tête fracassée. Marc levant un pied, dit totalement dégoûter.

« - Eurk, ils n’ont pas de chiotte ou quoi ? »

Isis, s’empressa de sortir de se qui restait de cervelle au garde, et essuya ses bottes dans la neige. Elle eu un frisson de dégout. Il fallait faire vite. Marc, reçut dans son micro.

« - Le prisonnier se trouve au deuxième sous-sol, grouillez vous, et faites attention au garde. »

Il fallait trouver un moyen de s’infiltré sans se faire repère. Marc, avait enlevé ses armes et son manteau à un des gardes, et il les brandissait vers Isis.

« - Je sais ! Je vais me faire passer pour l’un d’eux, et toi tu seras ma prisonnière. »

Isis réprimanda un frisson, s’il fallait qu’elle le fasse, elle le fera. Elle hocha la tête, c’est son ami qui allait en partir le plus, car les gardes possédaient des magnums, c’est-à-dire des armes à feu. Quand, il eu enfilé, les vêtements, il était le portrait craché du garde, la ruse était parfaite. Elle mit les mains dans le dos, Marc, les attrapas, et ils partirent comme ça pour le deuxième sous-sol.
Isis du contenir ça colère, plus d’une fois, en voyant que les gardes, n’avait aucun respect pour la vie, si elle ne devait pas jouer la prisonnière, elle aurait essayé de les faire avaler cette leçon depuis le début.
Ils arrivèrent rapidement et sans encombre le deuxième sous-sol. Les conditions de vie, là-bas, était deux fois plus durs. C’était à peine si les prisonniers étaient nourrit. D’après se qu’on leur avait dit, le garçon était attaché à un poteau, dans une cellule isolé des autres. Des cris des douleurs leur parvenaient depuis le fond. Ils s’y dirigeaient rapidement. Le garde avait laissé la porte ouverte. Les deux adolescents l’entrouvris légèrement pour voir se qui s’y passer.
Le garde, assène des gifles magistrales, au garçon qui ne voulait rien dire. Il avait craché à plusieurs reprises du sang, et des marques rouges étaient présentes sur ses joues. On pouvait voir sur son bras droit, la marque de l’étoile Rouge.
Le garde, lui hurlait des mots aux oreilles, et quand il ne répondait rien, il le giflait.
Isis, serra très fort les dents, sa colère montait, il n’avait absolument aucun respect pour la vie.
Soudain le garde s’accroupi, et regarda le garçon dans les yeux, il réussit à dire en Anglais, mais avec un fort accent Russe.

« -Où se trouve votre QG ! »

Comme réponse le garçon, lui cracha à la figure. Le garde qui n’a pas apprécié du tout, lui assena une gifle, qui lui fit tourner la tête sur la droite.
Isis, ne pouvait en supporter plus. Elle prit sa dague, et se faufila dans la cellule. Le garde qui avait le dos tourner à la porte, ne s’aperçut de rien. Il n’eu même pas le temps de dire « ouf » que Isis lui trancha la gorge. Elle laissa tomber le corps, et se dirigeai vers le poteau. C’était des menottes en fers. Elle soupira, et introduit le bout de la dague dans le troue pour la clé. Elle la fit coulisser lentement, jusqu’à, que le déclic de la victoire apparaisse. Elle retient un crie de joie. Le garçon allait tomber. Elle l’attrapa rapidement pas le bras, et lui dis à l’oreille.

« - Allez venez, suivez moi… »

Le garçon sourit légèrement. Et s’aidai d’Isis pour marcher. Pendant se temps là, Alex, et Rachel s’amusait à faire tourner les gardes en bourrique, un coup, ils coupaient le courant, il attendait qu’un garde arrive pour le remettre et après, ils le recoupaient. C’était un jeu dangereux, mais au moins ça occuper les gardes et ça permettes à Marc, et Isis de sauver le garçon.
Au bout d’un moment Marc, du hisser le garçon sur ses épaules, car il n’arrivait plus à marchait. Ils réussirent à sortir vivants de cette prison, et ils gagnaient l’hélicoptère. Marc, passa le manteau du garde au garçon, tandis qu’Isis, soignait ses blessures.
Pendant le chemin du retour, ils avaient plaisanté, et évacuée toutes la tension gagnée au cours de cette mission.
Quand ils arrivèrent sur le bateau, celui-ci faisait déjà cap vers le Cap. Ils devraient retrouver, des élèves du pensionnat de l’étoile rouge, pour leur rendre leur élève là-bas.
Ils seraient tous en territoire ennemis, car l’Afrique appartenait, au Pensionnat d’Urushu Tsume, et c’était très étrange, de voir les trois pensionnats réunit dans un seul endroit.
La veille de leur arrivait, Isis à finalement eu le courage de demander au Contre-amiral.

« - Contre-amiral, j’aurai une question à vous poser si vous le voulez bien.
- Mais bien sûr Isis, si c’est concernant ta punition, elle est levait vous avez fait un excellent travail.
- M-merci, mais ce n’étais pas sur se sujet.
- Et ben, pose la moi, alors.
- Depuis notre arrêt au Mexique je n’arrête pas de penser à une phrase que j’ai entendu, elle disait : Tout les gens comme nous on deux « dons » c’est une chose innée ! Es-ce vrai ?

Le Contre-amiral, ne dis rien, elle regardait le paysage que lui offrait l’océan. Elle se retourna, le regard dur et demande.

« - Pourquoi voudrais-tu savoir une chose pareil ?
- C-car, je veux savoir ! Je n’arrête pas d’y penser depuis que je l’ai entendu !
- De toute façon je ne te répondrai pas, ce n’est pas une question à savoir, et ça ne t’apporterai rien de bon, de savoir ça. »

Isis serra les poings, pourquoi les adultes, lui cachés toujours des choses. Ce n’est pas juste ! Si les gens disaient la vérité, tout irez beaucoup mieux ! Elle sortit du bureau, et alla se détendre sur le pont supérieur en observant, les vagues et les hôtels. L’air salée, la rassuré. Elle regarda un hôtel qui surplombait la baie. Il y avait des élèves du pensionnat d’Urushu Tsume, ils saluèrent le navire qui entre lentement dans la baie. Le sourire d’Isis réapparut. C’était bien de voir des gens si amicaux, même avec leur ennemi.
Pour leurs répondre, le capitaine, lança une capsule qui ressembler beaucoup à un feu d’artifice. Elle éclata de rire. La Cap semblait si joyeux, et puis l’ambiance pourrit qui régné ces derniers jours, à cause de l’élève du pensionnat de l’étoile Rouge, avait semblait disparaitre d’un coup.
En arrivant à quai, deux élèves du pensionnat de l’étoile rouge, attendait tranquillement, ils n’avaient aucune arme sur eux, signe qu’ils étaient venu récupérée leurs camarades, souhaitant aucun affrontement. Isis aida Rick - c’était le prénom du garçon - à descendre la passerelle, il était encore très affaibli, et les marques sur ses joues commençait à peine à disparaitre.
Les deux garçons qui attendaient, souriait en voyant que leurs camarade était encore en vie, pas en bonne forme surement, mais encore en vie.
Pour une fois Isis, eu l’impression qu’elle était comme eux, qu’ils étaient tous pareilles, et que c’est trois pensionnats n’en formaient qu’un seul. Chacun avait ses spécialités, chacun avait sa façon de plaisanter, mais ils restaient tous pareil. Elle se demanda encore, une fois, si c’est guerre avait vraiment lui d’être, si c’est n’était pas qu’une grosse dispute de grand gamin, qui son incapable de la régler tout seul. En voyant les eaux clairs de la baie du cap Isis se précipita d’allez demander au contre-amiral, si elle pouvait y plonger.
Elle lui autorisa, que si Lilia, venait avec elle. Les plongeurs, comme elle, ne devait jamais plonger, sans que quelqu’un les attende au bord. La raison, c’est qu’ils pouvaient se faire voler leur affaire, mais aussi se faire prendre dans une embuscade. Et puis il y avait un temps limité, elle ne devait pas rester plus de vingt-cinq minutes sous l’eau. C’était une obligation, car peut être que leurs poumons était plus développer et donc pouvait contenir plus d’air, mais personne n’était sûr de sa capacité donc, un délai de vingt-cinq minutes à était installer, même si la plupart des plongeur ne vont pas jusqu’à la limite…
Iris se jeta à l’eau, et partit lentement vers le fond de la baie, elle longea le long mur qui représentait le quai. A un moment, elle vit un trou. Un trou, dans le mur ? Intriguée, elle s’y dirigeai, ça ressemblait à une grotte sous-marine. Elle s’engouffra dedans, il y avait un espace où il y avait de l’air. Elle voulu, y partir, mais quelque chose, flottait. C’était un cadavre… Prise de panique Isis sortit rapidement de cette grotte, et remonta à toute vitesse à la surface. Lilia la voyant remontait à toute vitesse lui tendit la main pour l’aider à se stabiliser. Isis pointa le fond de l’eau et dit.

« - Y-y-y’a une grotte ! Une grotte sous-marine, il y a comme une bulle, sauf qu’on ne peut pas y accéder ! La surface est remplit de cadavre ! »

Une bulle, c’est le terme pour designer un espace, ou de l’eau et de l’air son présent, et que ça forme une rond.
Isis trembler, plonger dans une eau, où il y avait des cadavres, étaient interdit, pour la bonne raison que des bactéries, s’y développer et pouvait vous rendre malade.
Lilia, l’aida à remontait sur le quai. Elle lui passa sa serviette, et elles allèrent en informer le contre-amiral.
Elle ne semblait pas du tout contente, de la découverte, et surtout que Isis, y soit partit, elle aurait du remontait pour les informée de suite, au mieux d’allez l’explorée. Elle finit par dire.

« - Il faudra, juste en informer le groupe du pensionnat Urushu Tsume, c’est leur territoire donc, leur affaire. »

Isis, n’en croyait pas ses oreilles, comment leurs contre-amiral, pouvait dire ça aussi froidement. Elle serra les poings, et alla se changer dans sa chambre. Un pantalon noir, une chemise blanche et une veste bleue avec l’emblème de Rosa Jura dessus. Elle sortit de sa chambre, Alex lui lança.

« - Tu vas faire quoi ?
- Faire un tour dans les docs, je serai de retour avec demain. »

Elle descendit du bateau, les points toujours aussi serrée, ses yeux commençaient un peu à viré au rouge. Il fallait à tout prix qu’elle se calme.

~ Aux docs ~


Les docs du Cap, sont semblables à ceux du Mexique, sinistre et complètement emmêler comme labyrinthe. Isis, écoutait le triste chant des vagues s’écrasant contre le mur. Il commencer légèrement à pleuvoir, ça ne la déranger pas, même au contraire, ça la rassuré. Savoir que ceux d’en haut, pense toujours à la tristesse de ceux d’en bas, savoir que le monde n’est pas abandonner. Elle s’assit dans un coin à l’abri de la pluie. Et pleura tranquillement. Ça l’aider à évacuer ça colère. Et puis, un peu plus d’eau sur cette terre ça ferai pas de mal ?
Ses yeux redevenaient d’un bleu profond. Elle soupira, la pluie continue, ça allait être dur de rentrait sans trop se faire mouiller. Et puis elle n’avait plus aucune idée où elle se trouvait. Elle aurait mieux fait de ne jamais y aller.
Isis, soupira, elle c’était encore plantée. Elle allait encore se faire réprimer. Elle se releva, et épousseta son pantalon. Elle se mit à marcher au hasard suivant son instinct. Au mieux d’arriver sur la place principale, qui menait au quai, elle tomba sur les bords des docs. L’océan, était gris à cause des nuages gris. De la pluie y tombait. Isis repensait à la grotte qu’elle avait trouvée. Pourquoi tuer des personnes, ça n’a absolument rien de logique, pourquoi tuer des gens qui n’on rien fait !
Isis, serra les poings et fit demi-tour. Elle avait l’impression que les océans devenaient les égouts du monde. Ça la mettait en rogne.
En errant elle finit par arriver à la place principale, elle fut soulager, de la voir. Elle ferma les yeux, et laissa les gouttes des pluies tombaient sur son visage. Elle soupira, rouvris les yeux. Et avança sur le pavé, qui laissa bientôt place au béton des quais.
Elle monta rapidement sur le bateau. Le pond supérieur, était complètement inondée, mais l’eau circuler, elles ne restaient pas à stagner. Elle passa rapidement la porte qui séparait, le pont supérieur des cabines. Il y avait des serviettes justes à côté. Pour les élèves qui étaient partit faire un tour, et qui se seraient fait surprendre par la pluie.
Elle prit une serviette, et commença à s’essuyer les cheveux, puis elle se mit en route pour sa cabine.
Elle s’entendit sur son lit, au même moment un message, résonna dans tout le navire.

« - Nous resterons à quai, un peu plus longtemps, il y a eu un problème au niveau des moteurs et nous devons le réparée. »

Super, pensa Isis, restait plus longtemps, voulais aussi signifier plus de problème. Elle soupira, et se laissa bercer par le son des vagues.
Elle ne rêva pas du tout, juste le noir complet. A son réveil, l’activité sur le navire, commençait, elle n’avait pas trop dormit. Elle se mit rapidement à ses corvées. C’était comme ça, si on voulait manger, il fallait travailler.
En plus, chaque élève, avait droit à une chambre individuelle. C’était presque comme un navire de vacances où l’on travaille.
Isis, sourit en voyant que le ciel était redevenu d’un bleu parfait. Il y avait, de temps en temps, des oiseaux qui volaient par ci par là. Elle essaye de ne plus croiser le Contre-amiral. Elle n’arrêtait pas de s’énervait ses temps-ci. Elle qui ne le montrait jamais, pourtant elle avait dès fois, l’impression que les gens brillait de couleur étrange. Elle voyait ça, que quand elle s’énervait.
Un jour, alors qu’elle se baladait avec des camarades de pensionnats, dans une ruelle déserte. On y voyait bien que même si ça semblait mort, c’était plein de vie.
Des gens, armés, bloquait la sortit. Bien sûr, elles avaient pensaient à faire demi-tour, mais la personne qui semblait être le chef, les interpella.

« - Mesdemoiselles ? Vous êtes bien les élèves de Rosa Jura ? »

Isis, se retourna, il avait parlé avec un tel ton, qu’elle croyait qu’elle venait de se faire hypnotiser. C’est Clara qui prit la parole en première.

« - Oui, que pouvons nous faire pour vous ? »

Le type semblait content, que quelqu’un lui ai répondu. Il répondit sur le même ton que tout à l’heure.

« - Je suis le Sergent-major Rayane. Envoyer du quatrième pensionnat pour amener Mademoiselle Nightriver. Voudriez-vous bien me suivre ? »

Les filles, en restèrent muettes. Le quatrième pensionnat, c’était la première fois qu’elles voyaient des officiers. Ils n’avaient pas du tout le teint pâle, comme le raconte certaine légende. Mais, ils étaient bel et bien armée, de sniper et de mitraillette. Isis recula d’un pas, elle ne les avait jamais vu au paravent, et ils arrivent comme ça, et connaisse son nom de famille. Dans les pensionnats, seul les professeurs connaisse les noms de familles des élèves. Le Sergent-major Rayane, reprit la parole.

« -Voudriez vous bien, me suivre s’il vous plait, je n’aimerai pas utiliser la force pour vous y forcer. »

Son ton était à la fois autoritaire et menaçant, Isis recula encore une fois, il lui tendait la main. Des frissons la parcourait, que devait-elle faire, le suivre ou pas. Elle finit par réussir à articuler.

« - Et si je refuse ?
- Nous vous y forcerons… »

Isis, sentit un immense frisson lui parcourir, ce type… Il était effrayant. Elle avait encore moins envie d’y aller. Elle avait l’impression de sentir la paralysie de ses amies. Comment faire, elles ne pouvaient pas fuir, elle ne pouvait pas refuser. Elle y était obligée. Au fond, elle trouvait ces gens, très effrayant, ils n’avaient absolument rien avoir avec se qu’elle lisait. Elle réussit à articuler.

« -D’accord… »

Elle avança, la tête baisser, comment agir face à des gens pareils, leurs résister, serait du suicide. Le sergent-major se plaça un peu sur la gauche pour la laisser passer, et regarda une dernière fois les trois filles et dit.

« -Bonne journée… »

Et il ferma la marche.

~ Plus tard dans la journée ~


« - oh, mais tu vas te la fermer ! Ça fait des heures, que tu gueules comme un dingue ! Ils ne viendront pas !
- Ouai, bah mieux vos être dingue que complètement à côté de la plaque !
- Ils finiront par revenir, soit patient et arrête de gueuler ! Tu me brise les tympans !
- Raison d’plus pour continuer !
- La patience est une vertu ! Est encore plus si on patiente en silence !
- Nan, ça ne compte pas !
- Faites moi sortir ! Arrêter de me laisser seul avec se dingue !
- Haha ! Tu vois que toi aussi tu tiens plus !
- Vous pouvez vous taire s’il vous plait…
- Oh y a quelqu’un en plus ! Tu les a vues entré toi ?
- Très drôle gros malin, je te signale qu’on a les yeux bandait, on ne sait pas quand ils rentrent ou quand ils sortent !
- Y a le son de la porte, tu connais.
- Tu parle, vu comment tu gueules on n’a même pas du les entendre entrée.
- Sa fais longtemps que vous êtes là tout les deux ?
- Tu nous permets de finir notre discussion ? »

On tapa très fort contre la porte métallique, une forte voix se fit entendre de l’extérieur.

« -Ferme-là vous deux ! Ça fait trois jours que vous, vous disputer comme ça ! »

Un petit instant de silence, et ça recommença.

« -Voila tu as ta réponse à ta question ! Moi ça fait trois jours. Et l’autre râleuse, je n’en sais rien.
- L’autre râleuse ! J’te signale que c’est toi qui à commencer à râler car il revenait plus ! Et puis vu comment tu crie, ça ne m’étonne pas !
- Quoi tu veux dire que c’est ma faute ! Dis plutôt que c’est par ton caractère ! »

Le silence se réinstalla…
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MessageSujet: Re: Une histoire que j'écrie !   Une histoire que j'écrie ! EmptyJeu 10 Mai - 16:38

Quatrième partie : Rencontre explosif.


La lumière s’alluma dans la pièce, quelqu’un venait d’y entre. Trois murs étaient peints de différente couleur. L’un d’entre eux, était rouge, à droite du mur rouge, le mur était peint en bleu, et enfin à gauche du mur peint en bleu, le troisième était peint en gris.
Sur le mur Rouge. Une fille y était attachée, elle avait les cheveux noirs détachés, les yeux rouges, ses pieds ne touchaient même pas le sol

Sur le mur Gris. Un garçon y était attaché, il avait les cheveux argentés, les yeux d’un rouge, ses pieds touchaient le sol.

Et enfin, sur le mur bleu, une fille, y était attachée, elle avait les cheveux marrons, et les yeux d’un bleu profond. Ses pieds ne touchaient même pas le sol.

Enfin au milieu, se trouvait une table, avec dessus, un magnum, des gans Américain qui avait des griffes de loup acérés, et enfin un couteau.
Une personne refermer la porte d’un coup. C’était un garçon, il avait des cheveux marrons coupé court, et des lunettes carrées. Il soupira.
La fille sur le mur rouge, lança au garçon du mur gris.

« - Tu vois ! Je t’avais bien dis, qu’ils finiraient par revenir !
-M’Ouai, bah en attendait, on voit toujours rien, donc ça sert à rien de parler.
-… Et c’est toi qui ose dire ça ! Y a trois heures tu gueuler comme un dingue !
- Oooh, c’est bien, tu sais compter
- la ferme… »

Le garçon soupira à nouveau, depuis qu’il avait essayé de leur faire deviner les objets sur la table, ces deux là, n’arrêtaient pas de s’engueuler. Il appuya sur un bouton. Les câbles, qui maintenait les trois adolescents contre le mur se rétractée. Libérant les mouvements, et redonnant leur vu, au adolescent. Les deux qui se disputaient tout à l’heure, levèrent la tête vers la table. Ils s’y lancèrent d’un coup. Chacun attrapant son arme, qui était à l’opposer. La fille leva son magnum jusqu’au menton du garçon, il fit de même avec ses gants. Il avait tout les deux des regards farouches. Ils ne semblaient absolument pas déstabilisée par autant de lumière, ou ils ne le montraient pas du moindre.
La fille, ramena lentement son arme, vers son côté, sans lâcher des yeux le garçon devant elle.
Le garçon, ramena ses gants sans se préoccuper de la fille devant lui.
Finalement, le garçon à lunette soupira, il finit par dire.

« - Vous voudriez pas vous calmer tout les deux ? Les gardes se plaignent à longueur de journée de vos disputes. »

L’autre fille, les avait finalement rejoints. Le garçon aux lunettes, esquiva un sourire, au moins, elle, elle paraissait affecter par se changement brutale. La tension était très présente dans la pièce, surtout entre les deux qui se tenait juste devant.

« - Asseyez-vous… »

La tension, était montée d’un coup. Il eut presque l’impression que ces deux là, allaient essayer de se tuer dès qu’ils le pourraient. Finalement, se fut la fille qui lança.

« - Vous nous, avez emmené ici, juste pour s’asseoir autour d’une table. 
-Qu’est-ce que vous nous voulez à la fin ? »

Il toisa durement les deux, et dit d’un ton neutre.

« - Je ne vous direz rien, t’en que vous, ne vous serrez pas assit, et présenter. »

La jeune fille, murmura des insultes, tandis que le garçon grogna. Ils tiraient leurs chaises en même temps. Ils se ressemblaient tellement, et pourtant ils étaient insupportables et invivable. Quand à l’autre fille, elle était plus silencieuse qu’un tapis.
Se fut finalement, le garçon qui commença.

« -Semea Otsoma, élève au pensionnat d’Urushu Tsume. »

La fille à gauche de Semea répondit.

« - Isis Nightriver, élève au pensionnat Rosa Jura »

La fille à côté d’elle grimaça, et finit par répondre.

« - Alyssia Stemphore, élève au pensionnat de l’étoile Rouge »

Semea et Isis, eurent un sursaut, ils avaient tout les deux lus l’article sur Alyssia, quatre mois plus tôt. Alyssia, appuya son coude sur la table, et regarda en direction du mur bleu. Elle était en présence, d’élève des deux autres pensionnats. Ce n’est pas étonnant, qu’elle s’engueule avec eux. Elle avait mal à la tête à cause de la lumière. Et puis le garçon à côté d’elle finit par dire.

« -Moi, je m’appel James Timberland, et c’est moi qui m’occuperai de se programme.
-Quel programme ? »

Il ne leur répondit pas, il se contenta de leur tendre des brochures. Les trois élèves, en prit une chacun. Ce fut Alyssia, qui réagit la première.

« - Arrêter les guerres ! Mais vous êtes dingue ! Même si vous les arrêter il y en aura toujours ! Il est impossible de crée une Utopie, elle s’effondra un jour ou l’autre !
- J’suis d’accord avec elle, c’est complètement dingue !
- Mais pourquoi nous trois ? »
Pour une fois, il avait chacun prit la parole quand leur tour était venu. Mais, il savait qu’ils allaient le prendre comme ça. Il finit par dire calmement.

« - Vous trois, car vous avez fait connaissance directement, ou indirectement, avec certain de nos élèves, et que vous avez eu l’impression, d’avoir un deuxième don, et c’est le cas… »

Les trois élèves, n’en revenait pas, ils avaient un deuxième don. La remarque de James, avait même réussit à détendre l’atmosphère. Ils c’étaient tous les trois mis à le regardaient en même temps. Il semblait s’amuser de leur surprise.

« - A-a-attendez ! Vous, vous foutez nous !
- Pas du tout très chère !
- M’appeler pas comme ça ! »

Elle se laissa glisser, sur sa chaise, alors c’était vrai se que racontait Sam et Sami.
Semea, lui, il se contenait d’ouvrir grand la bouche, Alexandre et sa sœur Alexandra, ils faisaient vraiment parti du quatrième pensionnat. S’il les attrapées, ils verront se qu’il le ferra.
Isis, se contenta seulement de hochait la tête, elle n’avait fait qu’entendre une phrase, elle n’en n’avait rencontré aucun, et en plus elle ne se sentait pas à l’aise avec les deux autres élèves. Semea lança en premier.

« - Si c’est vrai se que vous racontez, alors dites nous, quel est notre deuxième don ! A supposez bien sûr que nous en avons un. 
- Je suis désolé, mais je ne pourrai rien faire t’en que vous n’aurez pas accepté…
-Accepter quoi ? Demanda Alyssia
- Se que je vous ai proposé, arrêter les guerres faites entres vos pensionnats, vous devrez renoncer à jamais de retournait parmi eux…
- Jamais ! Dirent les trois adolescents en même temps.

Quitter leurs pensionnats, reviendrai à les tuer. C’était leurs familles, leurs amis. Car ils étaient tous les trois orphelins.

Les parents d’Alyssia, elle ne s’en souvient plus, elle a perdu la mémoire à ses six ans, et avait fait la connaissance d’un membre du pensionnat de l’étoile rouge, il était devenu sa seul famille. Il avait était assassiner, pendant une mission en Afrique par un pensionnaire d’Urushu Tsume.

Quand aux parents de Semea. Ils les avaient perdus alors, qu’ils passaient des vacances sur un navire de croisière. Le navire avait était coulé par un navire de Rosa Jura, qui l’avait prit pour des pirates. Semea à était le seul survivant, et il avait rejoint les côtés Africaine, et après il avait fait la connaissance d’un membre d’Urushu Tsume, qui l’avait proposé de les rejoindre.

Quand à ceux d’Isis, ils avaient était froidement abattues par des pensionnaires de l’étoile rouge.

Alyssia fut la première à reprendre la parole, après un long silence. Son ton, était rempli de tristesse.

« - On a combien de temps pour accepter ?
- Autant que vous voudrez, mais vous ne pourrez pas refuser.
- Po-Pourquoi ? Hoqueta-t-elle.
- Car vous savez que vous avez un deuxième don, et que celui-ci c’est déjà réveiller en vous, mais il ne c'est pas encore activer. »

Elle eut un soupire, qui n’avait rien de fluide, il semblait avoir du mal à passer. Les deux autres avaient gardé la tête baisser, surement remplit de tristesse. Les yeux d’Alyssia, commençait à s’embrumer. Elle ne pouvait pas refuser, elle ne voulait pas accepter, elle ne voulait plus vivre, elle ne voulait pas vivre sans sa famille.
James avait mal au cœur de voir ses adolescents devoir supporter ça, quitter sa famille était très dur, surtout quand on ne pouvait pas refuser, qu’on était obliger d’accepter. Jusqu’à se moment, ils avaient tous étaient très forts, même si, pour le montrait ils s’insulter mutuellement, mais c’était mieux que de les voir remplit de tristesse. Il finit par dire.

« - Je vous laisse un jour pour décider, un garde vous amènera à votre chambre. »

Il sortit de la pièce, et laissa les trois adolescents attablée autour de la table réfléchir. Il avait reprit leurs armes, c’était juste pour le montrai qu’il n’était pas des prisonniers. Six gardes, entrèrent dans la cellule juste après. Deux d’entre eux, aida Alyssia à se relever et la dirigèrent vers sa chambre. Deux autres, s’occupaient de Semea, qui n’arrivait pas à reconnaitre ça. Et les deux restants amenèrent Isis dans sa chambre.

Alyssia c’était de suite lancer sur le lit. Ses habits, qui avaient était lavés, et repassés, étaient poser sur le bureau. Elle avait serrait le plus fort qu’elle pouvait le coussin, et avait ensuite pleurée, jusqu’à se que quelqu’un entre et dépose un plateau sur le bureau, elle ne s’en était pas préoccuper. Alyssia, c‘était rapidement endormit par la tristesse, elle c‘était réveiller à une heure du matin à cause des grondements de faim, de son ventre.

Semea c’était laisser glisser contre la porte jusqu’à attendre le sol. Il c’était mit les mains sur les yeux, pour essuyer les larmes qui coulait, il allait devoir les quitter. Et pourtant il le refuser à l’admettre. Il n’avait laissé personne rentré, dans la chambre. Il bloquait l’entré, en s’appuyant contre la porte. Il finir par s’endormir en boule dans un coin de la pièce.

Quand à Isis, elle avait pleurée longtemps, avant de s’endormir, elle regrettera, les douces berceuses que faisait les vagues en s’écrasant contre la coque du navire, le bercement du navire par les vagues. Mais plus que tous ses amis.

Les trois adolescents, était bercer par la tristesse, comment se résoudre à quitter un monde au quel ils appartenaient, pour en découvrirent un tout nouveau. Et qui plus est, avec des gens qui auraient put être leurs ennemis, un peu plus tôt.

Le lendemain, James, se dirigea le cœur gros vers la chambre d’Alyssia. L’un des gardes dormait, tandis que l’autre surveiller. Il salua tristement le garde encore réveillé, et toqua deux fois puis entra. Il trouva Alyssia, assise sur son lit, elle contempler le carrelage, qui était mouillé par les larmes. Il prit la chaise du bureau et la plaça pour être en face d’Alyssia. Il demanda tristement.

« -Tu es prêtes ?
- Non, mais à quoi bon ? Autant le faire, que de retarder les choses. »

Elle tendit son avant-bras gauche vers lui, il y avait une étoile rouge, avec deux fusils à pompe qui former une croix devant. C’était l’emblème du pensionnat de l’étoile Rouge. Elle avait placée, son avant-bras droit sur ses yeux. Il n’avait même pas encore commençait qu’elle pleurée déjà sans pouvoir se retenir. James posât l’appareil au centre du tatouage, et il appuya. Cet appareil neutralisa les ondes, que faisait la puce dans son poignet. Cette puce permettait d’identifier un élève à son pensionnat, malheureusement il est facilement copiable, et il n’est plus sûr. Alyssia pleurée encore plus après avoir reçut la mini décharge. Le tatouage s’effaça lentement, Alyssia se laisser tomber, et continua de pleurée.
Il sortit avant que le tatouage soit complètement effacer. Il regarda, comme s’il avait le meilleur boulot au monde. Il tendit légèrement l’appareil vers lui, mais le garde fit non de la tête. Faire ça, c’était presque comme effacer leurs rêves d’un coup.

James soupira, et prit une grande inspiration, il se dirigea vers la chambre de Semea. Il avait peur qu’avec Semea ça soit plus dur. Au fond il pouvait se transformer en loup et donc, son instinct de prédateur pouvait prendre le dessus. En arrivant devant la porte de sa chambre, il voyait que les deux gardes dormaient. Il donna un léger coup de pied dans une chaise, et sourit au garde qui c’était réveillé en sursaut. Il essaya d’ouvrir la porte, mais elle ne voulut pas s’ouvrir. Il regarda le garde, celui-ci haussa les épaules et dis.

Garde : « - Il c’est endormit contre la porte hier soir, depuis il n’a pas voulu bouger… »

James, hocha la tête. Il allait devoir forcer, pour le faire. Il tourna la poigner de porte, et donna un grand coup d’épaule dedans. L’adolescent se réveilla à cause du coup. Il grogna et s’éloigna de la porte, laissant ainsi le champ libre pour entre. James, entra en se frottant l’épaule. Il n’est pas costaud, et pourtant, il reste un as en informatique. Semea c’était assit sur son lit. James était resté à l’entré, il voyait bien qu’il se retenait de pleuré. Il le remarqua. James remonta ses lunettes et demanda.

« - Pourquoi tu te retiens de pleurer ? »

Semea, leva les yeux vers lui, ils étaient remplit de larme. Il dit d’une voix tremblante.

« - Ch’ui sur que l’autre, elle n’a pas pleuré du tout.
- L’autre ? Alyssia ? Si, c’est elle dont tu parles, tu te trompe complètement, elle à pleurée comme une baleine, son tatouage doit toujours être en train de s’effacer… Alors prêt ? »

Il eut un triste sourire, mais au moins il lâcha coulait ses larmes. James, se dit, que c’était bien que lui, il n’est pas se truc de fierté. Il avait vu ses amis mourir à cause de leur foutu fierté. Son tatouage, était à l’épaule gauche. Le sien, c’était le haut d’un loup gris, qui avait les yeux fermer, les oreilles rabattu, et qui hurler, derrière il y avait une lune, avec les initiales UT, qui signifier Urushu Tsume. Le tatouage, ne disparaissait pas entièrement, il restait, mais il était petit.
Semea, hocha la tête, il pleurait en silence, comme le chant désespéré d’un loup, pour rester parmi les siens. James, s’approcha de lui, et appuya l’appareil au milieu du tatouage, et il appuya sur la détende. Une micro onde, traversa le corps entier de Semea, il pleura encore plus. Voila que son dernier lien, entre sa famille disparaissait.

James sortit avec un sourire. Ça c’était mieux passait qu’avec Alyssia, il espérait que ça se passerai comme ça avec Isis. Il faut dire, que si c’est trois là, devait former une équipe, ça risque d’être galère avec les Semea et Alyssia qui se disputeront tout le temps.

En arrivant, devant la chambre d’Isis, les deux gardes commençait à se réveiller, faut dire qu’il était presque dix heure. Il les salua, et entra dans la pièce. Mais il n’y avait personne, on entendait le bruit de l’eau couler. Soudain une basket vola et atterrie sur son pied. Une voix provient de la salle de bain.

« -Sortait j’ai bientôt finis ! »

Il sortit à toute vitesse de la chambre, en rougissant. Les gardes le regardèrent étrangement.

Garde n°2 « - Qu’est-ce qu’il y a ?
- Elle se lave, dit-il en pointant la chambre et en murmurant »

Les deux gardes, ricanèrent. Tandis que James, commençait enfin a arrêtait de rougir. Il n’aimait pas les filles, n’y les garçons, il ne se sentait pas attiré, peut être que c’était normal, au fond il n’a que quinze ans. Ce n’était pas drôle pour lui de rentré là de dedans, il aurait du s’en douter, en entendant le son de l’eau. Cette fille faisait partit de Rosa Jura, elle était synchroniser à l’eau, elle plongée dans des endroits presque inaccessible, donc entendre le son de l’eau coulé, aurait dut le mettre sur la piste. Il soupira, pourquoi il n’y avait pas pensé dès qu’il avait entendu, l’eau coulait, il se sentait nul de ne pas y avoir pensé…

« -Voila vous pouvez entré… »

James, rougit encore plus, il se faisait des idées. C’était un garde qui le fit retourner sur terre, en le poussant légèrement.
Il entra dans la pièce, de la vapeur, planait légèrement au plafond, une douce odeur de lavande. Elle tendit son bras gauche, la marque de Rosa Jura y était, c’était une rose sur la mer. Des larmes coulaient sur son visage mouillé, il eut un triste sourire. Elle était la pluie courageuse, mais si elle avait prit une douche c’était surement pour une bonne raison. Il appuya au milieu de l’emblème, la micro onde la parcourut. Elle se retourna juste après, il sortit, il n’avait pas envie d’attendre la suite. Il sortit et ferma la porte. Il se baissa vers l’un des gardes, et lui dit.

« - Dis aux gardes, qui surveillent les adolescents, de les amener à la salle des balles, à quatorze heure.
Garde n°2 - Comprit ! »
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MessageSujet: Re: Une histoire que j'écrie !   Une histoire que j'écrie ! EmptyDim 13 Mai - 15:41

~ Quatorze heures ~


« - Mais qu’es-ce qu’ils font, ils devraient déjà être là !
??? - Les gardes ont surement du mal à les faires sortirent de leurs chambres… Ou bien, ils se sont croisées dans les couloirs, est les deux qui n’on par arrêter on du recommencer à se disputer, au point de rendre fous leurs gardes…
- Tu penses que c’est possible ?
??? - Oui je viens de les avoirs, ils se sont bien rencontré, c’est la folie, ils n’arrivaient pas à les calmer.
-S’pèce d’enfoiré ! Pourquoi tu me la pas dit avant ?
??? - Tu t’étais pas encore plains… »

Il râla légèrement, se garde l’accompagner souvent, donc ils avaient finir par s’engueuler entre eux. Il passa dans un couloir, et vit les trois groupes arrivés. Il soupira. Alyssia, avait les mains derrière la nuque, et elle marchait tranquillement, il avait l’impression qu’elle n’avait jamais du faire le choix.
Quand à Semea, il était boudeur, et avait un œil au beurre noir. Il avait les mains croisées sur son torse, et regard ailleurs que devant.
Quand à Isis, elle avait la tête baissée et les suivait sans rien dire.

Il soupira, Semea avait du l’insulter, et connaissant le caractère d’Alyssia, elle à du répliquer avec les poings. Il croisa les bras, et dit.

« - Vous êtes en retard…
garde - C’n’est pas d’notre faute, c’est ces deux là ! Si ce n’est pas par la parole c’est par les poings…
- Eh ! C’est lui qui ma chercher !
- Oui mais ce n’était pas une raison pour le frapper.
- Maaais ! Je ne l’ai pas frappé, c’est son œil qui est venue se cogner contre mon poing ! »

Le garde qui était derrière elle, lui donna une légère claque derrière la tête, ça allait être dur, de les faire coopérer. James se pinça l’arrête du nez, et ouvrit la porte de la salle des balles.

« - Allez, entrez là-dedans… Mais pas vous ! »

C’était les gardes qui les avaient suivit. Il fallait vraiment tout leur expliquer.

La salle des balles, c’était une immense salle, avec une table et un bouton dessus. Il y avait, des troues, beaucoup. James dit.

« - Le but, c’est de toucher le bouton au milieu de la phrase, il faudra faire un travaille d’équipe.
- Quoi ! Moi faire équipé avec cette dingue là ! Impossible.
- Facile ! Même pas besoin de son aide ! »

Au moins, ces deux là, étaient d’accord sur le même point, ils se détestaient. La table s’agrandit soudainement, il était impossible à Alyssia ou à Semea, de l’attendre, même en sautant. Ils avaient tout les deux un truc qui faisait qu’ils devaient toujours être meilleurs que l’autre. Les balles commencèrent à volait dans tout les sens, même au sol il y avait des troues. Pour Semea c’était beaucoup plus difficile, il était plus grand et plus massif, donc il pouvait se prendre beaucoup plus des balles.

Alyssia, s’élança avant les deux autres. Semea en voyant ça, s’élança en faisant du mieux qu’il pouvait pour se prendre le moins de balle. Soudain une immense, ombre surgit, et appuya sur le bouton pour atterrie de l’autre côté de la pièce, l’immense ombre, avait laissé place à Isis.

Alyssia était tombé à terre, l’ombre l’avait surprise. Semea, lui c’était arrêter, impressionnait. Les deux n’en croyaient pas, même dans la cabine, ils n’y croyaient pas. Iris, avait révéler son deuxième don plus vite que les deux autres.
Isis, regardait ses deux mains depuis l’autre côté de la salle. Les balles avaient cessé de se jeter.

Isis, c’était énerver à les voir se disputaient. Ses yeux était devenu rouge, pendant le chemin, et puis elle avait vu comme quelque chose autour d’eux, et elle avait eu une soudaine envie de les dépasser, et comme ça, elle c’était transformer en cette chose. Le silence avait fait place à plus qu’autre chose. Isis clignait des yeux, elle n’y croyait pas non plus. Elle se retourna, sa colère avait disparut contre Alyssia et Semea.
James, avait coupée le son entre la cabine et la salle, il discutait avec le garde, il n’avait jamais vu un tel don. Enfin si, mais il ne pensait pas qu’une autre personne avait un tel don. Il remit le son et dit :

« -Allez ça repart ! »

Cette fois ci, il n’y avait plus de concurrence d’un coup. A chaque fois, qu’ils se prenaient une balle ils éclataient de rire. A un moment, Alyssia et Semea se trouvait dos à dos, James à crut qu’ils allaient s’étriper. Mais au mieux de ça Alyssia se baissa, et laissa Semea prendre toute les balles, ça avait occasionné une séance de fou rire.
James, était content de voir qu’ils riaient à la place de pleure. Pourtant, il avait l’impression qu’un truc n’allez pas avec Alyssia, elle se déplaçait étrangement.
C’est quand ils devaient regagner leurs chambre, qu’il en eut la preuve. Alyssia était tombé, et avait prétendu avoir trébuché. Mais il y avait du sang sur son pantalon au niveau du genou. C’est en consultant sa fiche qu’il sut. Elle c’était prit une balle dans le genou, par un chasseur, qui l’avait ensuite accrochait en haut d’une pile de contenaire, pour s’assuré qu’elle n’y survivrait pas. Mais pas d’chance, pour se chasseur, elle a réussit à survivre, et c’est comme ça qu’elle avait fait la connaissance, de ses deux envoyées, il faut dire qu’ils faisaient un super boulot les deux jumeau !



Alyssia, c’était réveiller pendant la nuit, ça jambe gauche lui faisait atrocement mal. Elle dut s’y prendre à plusieurs fois pour réussir à attraper sa ceinture. Il y avait un petit endroit, qui servait à mettre par moment des douilles volantes, ou usagé, mais, elle l’avait nettoyé pour y placer des antidouleurs. C’était se que lui avait conseillé le médecin au pensionnat, elle en prit deux, et replaça sa ceinture au même endroit. Puis elle se faufila dans son lit, et ferma très fort les yeux, en pensant à sa famille qu’elle venait d’abandonner.

Le lendemain, quelqu’un entra dans sa chambre et ouvrit grand les rideaux, laissant passer la lumière. Alyssia grommela, se retourna et plaça son oreiller sur sa tête en disant :

« - Laisser moi dormir… »

La silhouette enlever sa couette d’un coup, l’obligeant à se capituler. Alyssia, grogna, et finalement, prit ses vêtements et se dirigea vers la salle de bain. La voix fit.

« - Vous avez trente minutes pour vous préparez. »

Elle s’habilla en vitesse, au dernier moment, elle remonta son pantalon jusqu’à un peu plus haut que le genou gauche et l’observa à un moment. On voyait bien le trou fait par la balle, les jumeau n’avait pas réussit à l’enlever, et elle n’a pas voulu en parlée, au pensionnat. Du coup elle avait l’impression que ça c’était infecter. Quand le docteur au pensionnat lui avait demandé se qu’elle avait, elle lui avait d’y qu’il lui arrivait d’avoir très mal au genou par moment. Elle se demandait si elle n’aurait pas mieux fait de dire la vérité. Elle prit des pansements et des bandages. Elle se fit rapidement un pansement, et prit d’autre antidouleur, et rabaissa son pantalon. Elle avait les idées un peu plus clair, mais elle n’arrivait pas à se réveiller.
Elle avait retrouvé, James, Isis et Semea, dans la pièce où ils c’étaient tous rencontré pour la première fois. Elle avait posé le coude de la main gauche sur la table, et l’avait mit sur ses yeux pour essayer de se calmer, car la douleur faisait quand même effet. Elle n’écoutait que vaguement se que disait James, elle avait l’impression de dormir.

Elle se demandait, pourquoi elle n’avait aucun souvenir avant ses six ans. C’est comme, si elle avait l’impression d’avoir fait une apparition brutale, comme si on lui avait effacée ses souvenirs pour une bonne raison. Soudain quelque chose la secoua par le bras. Elle leva soudainement la tête, c’était James, qui venait de la réveiller, elle avait du s’endormir sans, sans rendre compte. Il finit par demander.

« - ça va ? Tu n’as pas l’air très en forme…
-ça va très bien ! Répondit-elle froidement »

James ne la comprenait pas, il se montrait gentil, et elle, elle restait froide, comme si quelque chose d’immense les séparés. Peut être que c’était une mauvaise idée, de vouloir faire ça. Elle se leva d’un coup et sortit. Elle mit les mains derrière, la tête et prit une grande inspiration et la lâcha, elle se dirigea vers sa chambre. Elle l’avait rapidement apprit. Être debout, et marchait était devenu des défis maintenant, la douleur était presque insupportable. Elle devait serrait les dents pour marcher, et encore juste en faisant dix mètre, elle se sentait déjà essouffler. Les gardes qui la surveillaient l’avaient bien remarqué, et en plus elle dormait beaucoup plus…

Semea, se sentait beaucoup plus chez lui ici, qu’a son pensionnat. Pourtant il le regrettait. Il avait l’impression que les lumières, d’ici n’était pas naturel. Mais il ne faisait rien. Le jour qui suivit, il voulut attraper quelque chose, qui était trop haut pour lui, il n’y avait aucune chose, pour l’aider à l’attraper. Il avait alors grognait de mécontentement, il ressaya, et il se transforma en un bête, mi homme, mi loup. Elle faisait deux mètre cinquante de haute, une carrure immense, des poils bleus. Il c’était ensuite retransformer en humain quand il c’était surprit. James, avait fait tomber son café, tellement son pouvoir était étonnant. Il c’était ensuite transformait plusieurs fois, en imitant des gens célèbre, en faisant le pitre, ils avaient bien rit à se moment là. Il était content, car il avait réussis à découvrir son deuxième don avant Alyssia, ça lui donnait une raison de plus pour se moquer. Pourtant quand il était venu se moquer, elle n’avait fait qu’un geste évasif, elle lui avait semblait ailleurs.

Quand à Isis, elle était toute contente d’avoir découverte son deuxième pouvoir. Mais quand James, lui avait expliqué en quoi il s’agissait, elle n’avait pas voulu y croire. En faite, son deuxième don, utilisai sa colère envers certain personne ou acte, pour qu’elle se transforme en une chose au hasard et qu’elle réussisse à en finir. Elle n’aimait pas entré en colère, donc si en plus son deuxième don, se servait de sa colère pour régler les choses, rien n’y aller. Mais, elle ne se sentait pas à l’aise avec quand Semea et Alyssia étaient à côté. Mais elle avait drôlement changée, depuis qu’Isis avait découvert son don. Elle semblait beaucoup plus ailleurs, et plus passive, elle se contentait de faire un geste évasif quand Semea venait l’embêter. Isis, avait réussit à parler avec Semea, ils discutaient de temps en temps, riait jouer et plaisanter. C’était comme si rien n’avait changé.

Il faisait nuit, Alyssia se réveilla brutalement. Ça jambe recommençait à lui faire mal, elle ne savait plus quoi faire, chaque jour la douleur devenait de plus en plus forte, et les antidouleurs, semblait ne plus faire effet. Elle réussit à se lever malgré la douleur, elle chercha sa ceinture sur son bureau. Ils n’avaient pas de devoirs, donc elle l’utilisée pour déposée ses vêtements dessus.
Elle la chercha, elle n’y était pas, quelqu’un avait prit sa ceinture. Elle prit une bouffée d’air, elle se sentait de plus en plus mal, elle trembler de froid, alors qu’il faisait chaud. Elle réussit à se dirigeai vers la porte, elle appuya sa main dessus et y posa sa tête. Elle toqua deux fois pour réveiller le garde, ils leur étaient interdits de sortir la nuit.

« -Quoi ? Fit la voix ensommeiller du garde.
- Elle est où ma ceinture ?
- Confisquer…
- Pourquoi !
-Car James à dit que vous ferriez mieux de parler, maintenant elle dormir il est deux heures du matin… »

Alyssia tremblée encore plus, pourquoi il lui avait fait ça. Elle serra les pans de son pyjama rouge. Elle ne comprenait plus rien. Elle retourna dans son lit, elle repensa à son pensionnat, des larmes coulèrent à cette pensée, pourquoi avait elle accepter ça. Elle se serra sous ses draps.
Le lendemain, la même personne revient la réveiller, voyant qu’Alyssia ne réagissait pas. Elle s’approcha du lit, et mis ça main sur son front. Il était brûlant. Elle sortit de la chambre, dit au garde.

« - Appelez le médecin, elle est fiévreuse. »

L’un des gardes hocha la tête, et partit le cherchait. Le médecin, arriva rapidement. Il s’appel Habert, il est grand et porte presque tout le temps un long manteau noir, il à aussi une grande barbe, blanche, il était aussi vieux. Il était seul avec Alyssia dans sa chambre, elle était allongé, on voyait bien qu’elle était fiévreuse, elle transpirée et elle était assez rouge au niveau des joues. Il mit ses mains, juste au dessus de son front, un froid apaisant se rependit sur l’adolescente. Il l’a vit ouvrir un œil et murmurai doucement.

« - Vous avez le même pouvoir que Sam… »

Il sourit tristement, en se disant que si elle avait rencontrée Sam et Sami, c’était qu’il lui était vraiment arrivé quelque chose. Le docteur Habert, dit d’une voix douce.

« - Ne t’inquiète pas ça va allez mieux…
-Mon genou gauche, il fait mal… »

Il remonta, lentement son pantalon jusqu’à à son genou. Il était infecter, c’est n’est pas étonnant qu’elle a de la fièvre, et qu’elle n’arriva plus à marcher. Il soupira, il ne comprenait pas pourquoi, elle n’avait rien voulu dire. Il rabaissa son pantalon, et dit doucement à un des gardes.

« -Aidez, moi à la transporter à l’infirmerie. »

Elle garde hocha la tête, et entra à la suite du docteur. Il l’a prit et l’amena à l’infirmerie.
A son réveil, Alyssia, ne savait pas où elle était, mais elle n’avait plus mal au genou, et se sentait beaucoup mieux. Elle se redressa légèrement, pour observait l’endroit. C’était d’un blanc immaculé. Il y avait plusieurs lits, elle était dans un au fond de la pièce. Il y avait un immense bureau, avec plusieurs ordinateur, qui semblait indiquée des capteurs de santé. Elle passa sa main gauche, dans ses cheveux, elle avait l’impression que le monde tangué.
Soudain, le docteur arriva par un côté avec une barquette et des boulettes dedans. Alyssia leva la tête intriguée, elle avait faim, elle avait l’impression d’avoir dormit depuis des lustres. Le docteur tourna la tête vers Alyssia, il avait un grand sourire. Elle détourna le regard, il prit une chaise et s’installa à côté de son lit.

« - Alors on dirait que ça va mieux.
-Oui ça va beaucoup mieux ! Merci ! Je suis désolée d’avoir rien dit…
- On ce n’est pas à moi qu’il faut s’excuser, c’est à James, d’ailleurs je crois qu’il arrive.
- Oh non ! »

Elle se rallongea, et glissa sa tête sous la couverture, quand elle entendit la porte s’ouvrir. Habert, éclata de rire, tandis que James arrivait, en se dirigeant vers le bureau. Il finit par dire.

« -Allez debout ! Je sais que tu es réveillée !
-…
-Bon, tu l’auras voulu. »

Il appuya sur une touche, sur le clavier. Une décharge parcourut le dos d’Alyssia, qui la força à se relever d’un coup. Elle fit la moue, et lança son oreille sur James, qui le rattrapa sans mal. Il déclara avec un grand sourire.

« - Même malade, tu es toujours comme ça ?
- Désolée… dit-elle en regardant le sol.
- Désolée de quoi ? D’avoir rien dit ? D’avoir retarder votre entrainement ? D’avoir crée des soucis chez tes amis ? »

Elle ne dit rien, elle se contenta de fixer le sol d’un triste, elle se mordit la lèvre inférieur. Il avait ses amis, elle n’y croyait pas, elle savait qu’ils ne pensaient pas à elle. Le silence c'était installé. Elle regarda, le docteur avec un nouveau regard et lui demanda.

« - Vous pensez que je pourrai reprendre quand l’entrainement !
- Hun… Vu l’état de ton genoux, je dirai deux semaines, mais après il faudra de la rééducation… qui prendra au moins deux mois…
- Jamais ! J’me passerai de cette rééducation !
- Tu ne peux pas…
- Qui vous dit ! Quand on y croit fort, on n’y arrive ! »

Elle avait un grand sourire, et pourtant elle pleurée. James, eut un triste sourire, faire de son mieux, pour ne pas pénaliser, ses amis, croire pouvoir y arrivait même si ce là était impossible. Il lui ébouriffa les cheveux et sortit.
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