Il était tard et la lune était pleine, se qui me motiva à ne pas aller me coucher. Je montai sur le toit pour me posé dans un coin, où je m'assis. La lune était tout simplement sublime, parfaitement ronde et si brillante qu'on aurait dit un diamant. C'est donc dans cette idée que je tendis la main en direction de l’inaccessible bijou. D’ailleurs le tableau de la nuit me faisait assez pensé a moi: comme les étoiles embellissant la nuit , moi j'avais mes amis, il y avait aussi cette effet sombre et de froid, comme mon coeur et enfin la lune qui pouvait représenté ce que personne n'avait jamais découvert chez moi: mes souvenirs. Je soupirai et fermai les yeux.
Soudain quelqu'un entra. Prise de peur, je me transformai en chat et me fis toute petite, dans mon coin sombre. Un garçon venait de faire son entrée. C'était sans aucun doute un élève, alors que venait-il faire ici ? Je le fixai de mes yeux félin, il avait l'air tourmenter, mais je n'aurais su dire par quoi... Il s'assit au bord de la barrière et se mit a contempler le paysage. A ce moment la il avait l'air totalement subjuguer par sa vision. Dans un certain sens je le comprenais, c'était si beau. Puis soudain je repris mes esprits et redevint humaine. Que devais-je faire? S'il me voyait, il me prendrai surement pour une voyeuse et la fuite m'était impossible. Je n'avais donc qu'une solution. Je pris une grande bouffée d'air et m'avançai vers lui en annonçant:
- Pas encore coucher monsieur ? On proftite du paysage?
Sans encore voir sa réaction, je compris qu'il allait surement être surpris. alors j'accelerai le pas puis arrivé à sa hauteur je lui tendis la main.
- Désolé si je vous ai fait peur... Mon nom est Alice Akumu, je suis psychologue.
Je le regardai et par stupéfaction on aurait dit que ses yeux seuls représentaient une nuit étoilée à moin que se ne soit leur reflet...Quoi qu'il en soit ses yeux me déconcentrèrent se qui me fis baisser le regard. Pour ne pas le faire remarqué je m'assit dans la meme position que lui, éloigné de 10cm environ. Puis soudain je ne pensai à plus rien, sauf au spectacle devant mes yeux. Je pense que si je pouvais, mes yeux auraient été rempli d'étoile du à la fascination de cette vision.
-C'est beau!