Presentation Kobato Kashiwami

Fiche de:

??Kashiwami Kobato??





†Nom:[/b] Kashiwami

†Prénom: Kobato

†Sexe: Femme

†Sexualité: Hétéro

†Age: 18

†Classe / Emploi: Classe B

†Niveau d'étude: 2ème

†Pouvoir:

La porte coulissante s'ouvrit doucement des pieds enchausseté posèrent gracieusement leurs plantent sur le tatami de la chambre sans bruit dans des gestes parfaits il se dirigèrent vers une armoire là encore la porte coulissa doucement révélant une vingtaine de kimono surtout des yukata au motif joyeux plein de couleur. Une petite main à la peau douce s'aventura à l’intérieur et attrapa un furisode plus terne rouge et noir (cf l'image).

Doucement et toujours aussi silencieusement les pieds se dirigèrent devant un grand miroir, quelque froissement se fit entendre et une jupe de lycéenne descendit le long des fines jambes blanches auxquelles appartenait les pieds quelques bruits de bouton plus tard une chemise blanche tomba vint rejoindre la jupe à terre s'ensuivit pour finir, un soutien gorge blanc. Dans le miroir se révélait maintenant le corps svelte de la jeune filles de 18 ans un corps frêle et doux. Elle commença à faire le hosei autour de sa taille puis sur ses seins, à la fin ça ne changeait pas grand chose elle avait déjà la taille fine et les seins peu développés. elle enfila ensuite son furisodejuban. Elle commença enfin a mettre son furisode le pliant pour atteindre la bonne taille ce qui ne fut pas très dur car ces mesure était parfaite de plus elle n'était pas très grande, vint ensuite le obi et les différents accessoires qui l'accompagne elle le noua assez rapidement.

Puis vint le tour des chaussettes qu'elle enleva doucement libérant de petits pieds qu'elle refit disparaître sous des tabi au-dessus desquelles elle chaussa ses zôris. Ses mains sortirent sa trousse de maquillage d'un tiroir de la commode juxtaposant le miroir, elle posa lentement un fin trait rouge en dessous de ses yeux bleus puis elle en dessina le contour au crayon noir, et enfin elle colora ses lèvres d'un rouge vif. Elle enleva l’élastique qui retenait ses longs cheveux noir soyeux et entreprit de les arrangé en chignon grâce à ses Kanzashi (Cf avatar). C'était parfait, mais elle ne sourie pas, elle regarde juste cherchant la moindre faille n'en voyant aucune, elle sortit à petit pas de la chambre elle marcha à travers la grande maison traditionnelle japonaise.

Kobato arriva devant une porte s'agenouilla et l'ouvra puis se leva entra et se ragenouilla cette fois-ci en baissant la tête, un vieil homme se tenait debout il sourit, elle se releva et commença a faire glissé son furisode le long de ses bras dévoilant son dos elle entreprit de dénouer son hosei libérant sa poitrine puis alla se coucher sur le siège allongé en cuir qui trainait au milieu de la salle. Le vieil homme s'approcha et avec son expérience de 70 ans et de milliers de tatouage il commença à dessiné les dragons asiatiques de la famille Kashiwami sur le corps de la jeune fille, un sur le dos, un sur la jambe, un sur le bras elle resta de marbre même si de larmes sortirent de ses yeux inexpressif.

Kobato est une femme forte, malgré son corps frêle elle a appris les arts martiaux et le combat à l'arme blanche ainsi que le maniement des armes à feux, elle est fortement traditionaliste et suis les morales des yakuza de l'ancien temps très anciens, un peu comme l'idéalisation qu'on ce fait des samurais, malgré tout ça est très récent même si avant lorsqu'elle était encore qu'une lycéenne normal elle respectait un peu maintenant elle suit à la lettre le code de l'honneur, elle ne parle pas avec n'importe qui n'importe comment, le respect de la hiérarchie est absolu, si vous êtes impolis en face d'elle il n'en faudra pas longtemps pour que ça insupporte et qu'elle vous remettes dans le droit chemin. Ne pas croire pour autant qu'elle est timide, elle ne rigole pas devant n'importe qui c'est tout.

Deux enfants assis au milieu d'un bac a sable au centre d'un jardin, une fille, un garçon l'un d'eux est Kobato Kashiwami.

-Hey Jim, tu sais mon papa il est mort la semaine dernière. Dit la jeune fille, tout en continuant a joué avec le sable

-Ouai. dit il en restant concentrés sur la construction de son château.

-Avant je l'ai vue faire une promesse avec un membre de la famille tu sais celui qui porte toujours un pistolet sur lui. Tu veux faire une promesse avec moi ?

-D'accord quelle promesse ?

Kobato sortit un couteau de sa poche et le sortis de son étui et entailla le bout de son pouce, elle fit une petite grimace de douleur. Elle tendit le couteau à Jim. Puis sa main.

-Promet moi de ne jamais mourir.

Jim prit le couteau et se coupa au pouce tout en souriant et colla son pouce sur le sien.

-Je le promet.

-Kobato! La mère de Kobato déboula furieuse dans le jardin attrapa d'une main sa fille et la giflant avant l'autre puis la traina dans le jardin jusque dans sa chambre et l'enferma à l’intérieur


-Chisa qu'est-ce qui ce passe ? Pourquoi à tu fais ça, Koba...

-Mère! fait en sorte que cet enfant ne reviennent plus jamais ici, et demain nous commenceront la formation de Kobato pour la société.

-Mais

Chisa, la mère de Kobato lança un regard noir à la grand-mère qui s’arrêta immédiatement et partit. La mère de Kobato était devenue la chef de la famille Kashiwami qui était autant matriarcale que patriarcale. Kobato fut formé pour succédé à sa mère, du maniement des armes à feux à la cérémonie du thé en passant par les armes blanches et le port de kimono. Elle alla tout de même au lycée tout en ayant des professeurs privé. Vint le jour fatidiques, juste a la fin d'un cours un homme de la famille vint la cherché elle compris tout de suite, sa mère était morte et elle devait prendre une décision. Elle suivit en silence l'homme jusque dans la voiture, qui l'emmena chez elle, durant ce trajet elle y pensa un peu, pas longuement après tout elle était préparé à tout ça, elle prendrait la succession. Arrivé chez elle, elle se prépara pour la cérémonie (Cf description physique)

Trois mois plus tard, les affaires allés mal, un gang plus ambitieux, moins traditionnelle, plus adapté au monde de maintenant, commencer à se répandre, justement ce jour un homme de ce gang vint et essaya de négocier avec Kobato des parts du territoire nettement en désavantage pour la famille Kashiwami

Comment dire vous voyez maintenant on est plus à la protection de petits paysans, il faut vendre de la drogues des armes, vous êtes complétement dépassé et puis il y a la vente de femme n'est-ce pas, Koneko-chan.

Il était debout adossé contre le mur habillé avec un costard sans cravate ouvert au milieu une chaine en or qui pendouillait, elle était assise dans un somptueux furisode, l'air noble les cheveux tenus grâce à une magnifique pince, plus elle l'écoutait plus elle le trouvait abject comment osé-t-il se présentait ici, ce sale porc, plus il parlait plus elle bouillonnait. Mais à la fin de la phrase l'avait-il menacé, était-ce une menace? Ce regard pervers qu'il lui avait lancé, ni une ni deux elle desserra discrètement son furisode et le temps qu'il mit la main dans sa veste pour prendre son pistolet il avait un couteau planté dans son ventre, elle avait fait comme on lui avait appris un coup n'importe où dans l'abdomen pour déstabilisais/choqué l’adversaire puis coupé la carotide pour une mort rapide, mais au lieu de la carotide elle visa le foie et tourna le couteau a l’intérieur, une mort lente et sanglante où on baigné dans son sang noir, une mort de porc, une gerbe de sang éclaboussa Kobato, la dernière chose que voyait cet homme était les yeux méprisants de Kobato et son visage ensanglanté. Le kimono qui c'était envolé pendant la course de la jeune fille virevolta doucement par terre ainsi que le corps de l'homme qui convulsait de douleur tandis que son sang imbibé le tatami.

Trois jours plus tard le gang avait apparemment compris la leçon rien n'était mieux que de faire comme l'ancien temps, ils lancèrent un raid sur la maison Kashiwami pour tuer tout ses habitants et leurs partisans, ils voulaient surement faire un exemple un bon carnage pour montré qui était le boss. Kobato ce prépara pour ce battre, lorsque soudain deux hommes rentra dans la pièce

Kashiwami-sama!

[i] Le temps qu'elle se retourna l'homme foncé droit sur elle, il maîtrisa sa main qui tenait le couteau et avec son autre main il appliqua un chiffon enduis de chloroforme. Il était trop fort pour elle, elle se débattit pendant quelques secondes avant de sombré. Elle se réveilla dans une voiture devant le pensionnat avec une lettre de sa grand mère.