Aya Tsubaki

Aya possède une longue chevelure rouge, cette dernière toujours nouée à l'aide d'un ruban noir de jais, ainsi que des yeux de la même couleur que ses cheveux. Son visage est toujours orné d'un sourire tout ce qu'il y a de plus chaleureux. Pour ce qui est de ses goûts vestimentaires, vous ne verrais jamais la jeune fille porter autre chose qu'une jupe ou une robe (à froufrou de préférence!). La jeune fille à néanmoins quelques cicatrices, l'une étant dans son dos, et l'autre sur sa hanche droite, toute deux provenant d'une brûlure qu'elle s'est elle même infligé quand elle découvrit son don de pyrokinésiste.

Aya est toujours souriante et chaleureuse, et ce pour une raison très simple: Elle souhaite profiter du moment présent dans la joie et la bonne humeur, pouvant ainsi avoir de meilleur souvenir. Car c'est son passé qui l'a poussé à devenir celle qu'elle est à présent. La jeune fille ne pleurera jamais devant qui que ce soit sans bonne raison, de peur d'attirer la pitié des autres, chose qu'elle déteste au plus au point! Malgré cela, Aya à un caractère bien trempé. Elle est certes gentille et chaleureuse, mais si on l'ennuie d'une quelconque manière, elle vous le fera comprendre plus ou moins subtilement... ou s’énervera, tout simplement.

[Entre guillemets sont des "extraits d'articles" parlant d'Aya. L'histoire est peut-être écrite à la première personne, mais mes post de RP sont écrit à la troisième personne. Bonne lecture!]
« ''Une enfant a était retrouvée en ce matin d'hiver devant le portail de la famille Tsubaki, évanouie. Nous n'avons pas encore pu l'interroger sur ses origines, mais nous le ferons dès son réveil.'' nous a rapporté l'un de nos journaliste, Mr. X. »
Personne ne savait comment j'étais arrivé à cet endroit. A vrai dire, j'ai était moi-même incapable de l'expliquer à mon réveil. Il faut dire que je ne comprenais pas tout ce que l'ont me disait...

« La petite fille se nommerais Aya et serais âgée de 6 ans. Elle ne semble pas se souvenir de quoi que ce soit d'autre la concernant, mais cela n'est pas étonnant. […] Lors de l'examen de ce matin, de multiples écorchures ont était découverte sur les jambes et les bras de l'enfant ainsi qu'une brûlure au dos. Cela est sûrement lié au fait que ses vêtements soit déchiré. Il est préférable de ne pas tenter de connaître son passé. Cela risquerais de la blesser d'avantage, et elle est bien trop jeune pour endurer de nouvelle souffrance. »
Mes souvenirs revenaient petit à petit, et en plus de mon prénom et de mon âge, je me souvenait de ce qui s'était passé la veille, il est donc vrai que j'ai menti ce jour-là. Mais je peux à présent avouer cela: Je ne suis pas déçu de l'avoir caché.
Voulez-vous en apprendre plus à mon sujet? Bien. Je viens d'une petite famille qui vivait en paix. Jusque là, rien de bien spécial. Sauf qu'un jour, un incendie se déclara chez nous, et je fus la seule à en sortir vivante. Quand je le compris, les larmes commencèrent à couler le long de mes joues. Je ne comprenais pas pourquoi j'étais la seule survivante (je ne devais pas le savoir avant un moment), et mon cœur était si serré que j'en souffrais. Puis je commença à errer dans les rues, jusqu'à la nuit, tombant à multiples reprises. Et enfin, j’arrivai devant le portail de cette famille du nom de Tsubaki, m'évanouissant devant leur portail.

« La noble famille Tsubaki a décider d'adopter la jeune Aya, retrouvée il y a maintenant un mois. »

Comment ai-je découvert que j'avais un don de pyrokinésie? Ce fut simplement par hasard. J'avais 8 ans quand cela se produit. Je regardais simplement un feu dans la cheminée du salon quand je commença à souhaiter que les flammes exécute certaine figure. A ma grande surprise, elle s’exécutèrent, mais difficilement. Ma surprise fut telle que je me brûla par inadvertance à la hanche (la flamme s'y étant dirigée). J'ai d'ailleurs toujours la marque de cette brûlure ainsi que de l'autre qui me rappelle tant de mauvais souvenir... Et me déprime plus qu'autre chose.
Vous connaissez à présent la partie la plus importante de mon passé. La suite est beaucoup moins intéressante , et je vais donc vous en parler dans les grandes lignes: Ma famille adoptif ne connut jamais le secret de mon passé, et était encore moins au courant au sujet de mon don! Puis le jour de mes seize ans, ils m'accordèrent le droit de quitter le « nid familiale », comme ils se plaisent à l’appeler, et je fut inscrite au pensionnat.