Une douche interessante[PV Floyd][NC-16][Terminé]

L'eau coulé au dessus de ma tête. Où j'étais ? Dans les douches communes au beau milieu de la nuit. A cette heure-ci, je ne risquais pas de croiser quelqu'un et je pouvais donc soulager mes joues du travail quelles devaient sans cesse accomplir. Même dans ma chambre je devais encore sourire au risque de me faire prendre par mes charmants colocataires. Je caressais mon visage, fermant les yeux et savourant l'eau chaude qui tombait sur ma peau. Je rouvris les yeux, jetant un coup d’œil un peu plus loin. Mes gants étaient au dessus de la pile d'affaire, un regard meurtrier, je n'avais qu'une envie les bruler même si je savais très bien que je ne pouvais faire ça. Je ne pouvais donc que rester sous l'eau, profitant du plaisir de ressentir la sensation du liquide entre mes doigts. Mes cheveux étaient détaché, me caressant le dos à chaque fois que je bougeais la tête. Mes meilleurs moment étaient lors de la douche et lorsque je pouvais jouer de la musique. Je me laissais le plaisir de vaquais dans mes pensées, me détachant de la réalité. La journée avait été ennuyante, j'avais donné trois cours puis m'étais enfermé dans la salle de musique le reste du temps. Les dernières choses qui avais eu la capacité de m'amuser... C'était quoi déjà ? Ah oui ! Cette rencontre avec l'étrange surveillante du nom de Morigane, un charmant morceau je devais bien l'avouer ! De plus, j'avais pu assez m'amuser avec elle... L'image du bibliothécaire me revint en mémoire et je me figé.

Le regard de l'homme qui c'était posé sur moi... Me captivant d'une telle manière que je ne pouvais l'oublier. Il m'effrayer. J'avais l'irritable sensation que cette personne serait mon bourreau, celui qui finirait par bel et bien m'achever. Peut-être me trompais-je, je n'en savais rien mais j'avais appris depuis longtemps à me fier à mes instincts. Je voulais me divertir avec son corps mais j'avais en même temps un mal fou à me dire que j'avais le droit de m'approcher. Un nouveau visage apparu dans ma tête, pourquoi ceux qui me faisais le plus souffrir étaient-ils si présent en moi ? Je revoyais les beaux cheveux blond platine de ma demie sœur, inspirant profondément l'odeur du savon qui m'apparaissais comme la sienne. Mais la triste vérité reprit bien vite ses droits et je me retrouvais là, seul sous l'eau chaude qui léchée chacune de mes courbes. Les gouttelettes qui parcourais mon corps me rappelèrent bien vite les caresses de mon ancien compagnon. Je sentis mon cœur se serrer, j'étouffais dans cet espace clos. Prisonnier entre quatre mur, je suffoquais rapidement mais il ne me fallu pas longtemps pour comprendre que si je ne pouvais respirer, ce n'était pas à cause de la chaleur mais à cause de la douleur. Je me laissais alors aller, me laissant croire que l'eau qui coulait le long de mes jours n'étaient pas des larmes mais plutôt le jet de la douche. Quelques pas en arrière et je sentis mon dos toucher le mur froid auquel je me laissais lentement glisser le long de la parois. Lorsque je fus à terre, je ramenais mes jambes sur moi même et les entouré de mes bras, cachant alors mon visage dedans.

Le temps me sembla durer une éternité, ou peut-être est-ce moi qui resta là, sans bouger et dans le plus grand des silences pendant longtemps. Chose est sur, c'est que je savais que je devais maintenant sortir. Arrêtant l'eau chaude, je pris une de mes serviettes pour sécher négligemment mes cheveux. Oui, une habitude que certains pourrait trouver étrange mais qui était normal pour moi, je prenais deux serviette. Une pour les cheveux et l'autre pour le corps. Je passais mon autre serviette autour de ma taille, l'attachant assez solidement pour qu'il n'y est pas de mésaventure en route. Oui, ça serait dommage si le tissu cédé et que je me retrouvais nu devant des gens pas vrai ? Je sorti de la cabine, la serviette pour mes cheveux sur la tête avec une main dessus toujours en train de frotter doucement. Un bâillement traversa mes lèvres et je pris mes dernières affaires en sortant. Enfin... Jusqu'à ce que j'entende du bruit. Je m'arrêtais peu de temps après avoir entendu du bruit, cherchant la source de ce dérangement. Quelqu'un était là ? Je ne l'avais pourtant pas entendu rentrer... Avec précaution, je pris rapidement mes gants et me préparé à les enfiler si quelqu'un était bel et bien là mais avant cela, je guettais, voulant connaitre qui était le fauteur de trouble. Et oui ! Curiosité quand tu nous tiens !

Mais qui voilà ? Notre beau bibliothécaire, l'homme que je voulais le plus voir mais celui que je craignais le plus de voir maintenant aussi. Pourquoi tant de contradiction dans mon esprit ? Je n'eus pas le temps d'y réfléchir car voilà déjà le charmant Floyd en train de faire une cascade et de s'écraser contre les parois d'une cabine sous mon regard ébahis. Mes bons réflexes faillirent me faire bondir à ses cotés pour voir s'il allait bien mais je réussi à me retenir au dernier moment. Tandis que celui-ci avait la, tête passée à travers le mur, je ne pu retenir mes yeux baladeur de regarder ce magnifique corps qui s'offrait à moi. Je ne saurais dire ce qui me pris, et par chance, je repris mes esprits avant que ma main ne le touche. Je m’interdisais cet acte et pour ne pas éveiller la bête qui dormait en moi, je détournais la tête, me mordant la lèvre inférieur au passage. Lorsque l'homme pu enfin bien se relever, je m'accordais de nouveau le droit de le regarder avant que je ne me rappelle que mes mains étaient à nue. J'aurais pu me retrouver seulement string devant l'employé que je me serais d'abord inquiété de vêtir mes mains et non le reste ! Après tout... Ça serait une occasion pour qu'il réchauffe mon corps non ? Je du avouer toutefois que de le voir dans cet état était vraiment excitant... Même un homme aussi parfait que lui pouvait se gameler, c'était comique. Mais même ce moment de rigolade ne pu détourner mon attention de sa musculature. Une terrible et irrésistible envie de m jeter dans ses bras m'habiter... Même s'il n'y avait rien eu après, le simple fait de ce souvenir de son passé pouvait déstabiliser n'importe qui... Et c'était mon cas. Mais c'était justement cette même image qui me poussais à fuir le bibliothécaire.

- Et bien, Yuki... ça fait plaisir de vous revoir aussi vite.

Se revoir ? Oui c'est sur que nous nous revoyons mais bon... Il comptait vraiment taper la discute ici ? Il n'y avait vraiment qu'un homme comme Floyd West pour parler de retrouvailles dans les douches. Un peu d'amusement dans ma vie me ferais du bien. J'étais même très étonné de voir que l'homme avait si facilement réussi à me faire rire intérieurement et franchement. Je ne me forçais pas, comme avec cette jeune fille du nom de Sali. Une bonne petite... Je failli éclater de rire en voyant l'adulte à mes cotés garder la bouche ouverte. Avais-je quelque chose sur le visage pour qu'il reste comme ça ? Pourtant, un soudain malaise m'envahis, comme si je me doutais déjà de ce qu'allait être ses paroles. Comment diable pouvais-je le savoir d'abord ?!

- Est-ce que ça va ? Vous... N'avez pas l'air très en forme... Vous voulez peut-être en parler, même à un inconnu... ?

Cette phrase me fis l'effet d'une douche froide et bien que la salle était particulièrement chaude, je me sentis frisonner. Je baissais les yeux et la tête, tentant bien que mal de reprendre mon calme. Je ne devais laisser personne voir mes sentiments alors pourquoi ? Pourquoi lui, je lui laissais voir mon vrai visage, à deux reprise déjà. Il arrivait comme ça et chacune de mes barrières s'effondrait. Il ne me fallu pourtant pas longtemps avant qu'un sourire ne vienne décorer mon jolie minois. J'avais un grand self-contrôle, autant m'en servir. Je fis quelques pas en avant, m'approchant de l'énergumène. Ma main se posa sur sa tête, je lui caressais les cheveux mais c'était certainement plutôt pour les lui remettre bien. A moins que je ne m'en serve un peu comme excuse pour pouvoir le toucher ? Je lui fis l'un de mes plus beaux sourires avant de prendre la parole.

- Ça serait plutôt à moi de m’inquiétez pour vous, il faut dire que vous venez de faire une chute magistral, sans votre pouvoir je ne donne pas chère du mal de crâne que vous auriez !

J'enlevais ma main de sa tête, jugeant que je devais peut-être le déranger avec tant de familiarité. Je n'avais pas répondu à sa question mais que répondre de toute façon ? Je lâchais un petit soupir avant de poser mes affaires à un endroit sec. Nous risquions de parler quelques instants alors autant ne pas s'encombrer inutilement pendant ce temps. Le dos tourné à lui, je décidais qu'il était temps de répondre de plus, celui-ci ne pourrait pas voir mon visage à ce moment là, je n'aurais donc rien à craindre.

- C'est gentil de vous en faire pour moi mais je vous rassure il n'y a rien. Parler ne change pas les choses et ce qui est fait est fait.

Je ne pu retenir un léger tremblement, serrant les poings et refusant de verser ne serait-ce qu'une larme de plus. Deux ou trois minutes s'écoulèrent pas plus avant que je ne me retourne pour lui faire face, un nouveau sourire aux lèvres. Posant mon regard sur son torse, je salivais dans mes pensées sur son corps. Je lâchais un rire cristallin tout en continuant à le reluquer.

- Je suis jaloux de la personne qui sera votre compagne ! Elle aura bien de la chance. Je relevais les yeux sur son visage, plongeant mon regard doré dans le sien... Ils étaient si semblable... Je m'excuse d'ailleurs pour le baiser de la dernière fois, ça n'a pas du vous plaire qu'un homme vous embrasse.

- Allez donc voir ces jolies minettes et demandez leur ce qu'elles en pensent avant de dire ça. A chaque fois que l'une d'entre elles a découvert que je suis un salaud, c'est la débandade. C'est juste d'une stupidité sans borne. Si elles veulent un mari parfait, qu'elles se jettent sur un gentil petit bonhomme au lieu de sauter sur un mec plein aux as pour en gratter la fortune. Faut être logique.

Je haussais un sourcil, j'avais eu des soupçons, je savais depuis le début quel genre d'homme il était mais je le trouvais incroyablement franc pour me sortir ça comme ça. Je me demandais pourquoi je n'avais jamais essayé de faire ça, surement parce que j'avais peur de me retrouver seul mais n'était-ce pas pire de se retrouver seul par erreur ? Je ne savais pas vraiment ce qui m'avais rendu de la sorte mais en ce moment même je me fichais d'être un bon samaritain, un enfoiré de première catégorie ou une prostituée qui écarté facilement les cuisses, quoique... La dernière hypothèse aurait été la plus intéressante vu notre situation. Je me rendis soudain compte qu'il n'avait pas fait allusion au baiser... Surement un de ces hétéros qui ne préféré pas trop rentrer dans ce petit jeu, espérant s'en tirer l'air de rien. Dommage pour eux je n'étais pas dupe et beaucoup avait penché de l'autre coté de la balance une fois que j'en avais fini avec eux. Un mouvement attirais mon attention et lorsque je repris pleinement conscience de la réalité, le bibliothécaire était presque collé à moi. Je sentis chacun de mes désirs s'éveillaient, se préparant à une chasse déjà conquise... Mon corps me supplier de faire ces derniers pas pour être collé à lui et je du faire de gros effort pour ne pas lui bondi dessus. Son visage si près du mien, je sentais son souffle sur moi et cette odeur de cigarette qui lui convenait tant. S'il avait été n'importe qui, j'aurais pris cette occasion pour le faire mien mais le problème c'est que c'était lui. Je n'arrivais pas à être le dragueur, pervers et salopard qui couchait puis qui se barrait. Je savais que je n'y arriverais pas et j'en étais terrifié.

- Quand à ce fameux baiser, homme ou femme... Vous n'avez rien fait de mal, bien au contraire... Si vous n'aviez pas fait le premier pas, je vous aurais peut-être sauté dessus sans prévenir pour goûter à vos lèvres... Le contact de son doigt sur mes lèvres me procurais un nouveau frisson d'excitation et l'envie de me frotter à cette main fut irrésistible mais je tins bon. ça aurait été dommage que vous preniez peur devant ma... Sauvagerie...

Mon regard plongé dans le sien, à cette distance tout aurait pu se passer mais la peur me tétaniser. Je me sentais prisonnier, tel une souris coincée entre les griffes du chat. J'avais toujours été un prédateur pour les gens mais avec lui c'était très différent... Je ne comprenais pas et je voulais hurler et demander quel était mon problème. Il ne me fallu pas longtemps pour comprendre que son regard était certainement ce qui était le plus effrayant et le plus envoutant chez lui... Sans crier gare, Floyd m'embrassa, ce fut très court mais sentir ses lèvres contre les miennes me lancèrent une décharge électrique. Il m'en fallait plus mais sans que je ne sache pourquoi, il s'arrêta. Était-il un si gros salopard que ce qu'il prétendait ? Venait-il de se rendre tout simplement compte qu'il ne voulait pas aller plus loin ? La crainte et le désir étaient mélangés certes mais après ça, avec nos corps presque nu aussi proche même ma plus grande peur n'aurait pu me faire reculer. Le passage de sa langue sur mes lèvres ne me suffisait plus. Il venait de commencer ? Et bien je continuerais. Fermant les yeux, j'emprisonnais sa bouche contre la mienne, l'embrassant avec passion une nouvelle fois. Avec hésitation, mes bras passèrent autour de sa nuque et je me collais contre lui. S'il ne voulait pas de moi, il me repousserait et je craignais aussi qu'il le fasse. Pourtant je ne pu stopper ce désir ardent qui me contrôler en cet instant précis. Je mis un terme au baiser, lui mordillant la lèvre inférieur avant de l'embrasser de nouveau. Un défilement d'image passa devant mes yeux et j'agrippais plus fermement encore l'homme auquel j'étais collé. Je craignais qu'il s'échappe et disparaisse sans rien dire. Je ne voulais pas le perdre, pas maintenant. Mais je fus pris de panique, n'étais-je pas en train de le comparer à mon ancien amant ? Ne voyais-je pas en lui la même personne qu mon compagnon ? Non... Je le voyais plus encore que lui... Une fois ce baiser fini, je laissais ma tête glisser pour se poser sur son épaule. Je lui murmurais alors quelques mots qui me brulèrent la gorge à leurs passage.

-Je veux vous sentir contre moi...

Je détournais légèrement la tête, espérant qu'il ne pourrait pas voir mon visage légèrement rougis. Non je n'étais pas timide, d'habitude... Mais cette fois-ci, je ne savais pourquoi, rien que de dire ce genre de parole me faisais souffrir. Certainement que mon subconscient avait comprit que je ne pourrais plus jamais lâcher Floyd après ça. Je ne désirerais alors plus que son corps musclé, quémandant sa voix et ses sourires, ses yeux de fauves et ce caractère de séducteur. Notre deuxième rencontre et pourtant je le savais... Je commençais à aimer cette personne dont je ne connaissais rien... Et pour rien au monde je ne voulais le garder à mes cotés mais aussi m'en séparais.

Peut-être que la peur m'envahis lorsque je ne le sentis pas bouger, sa tête était posé sur la mienne, son odeur m'envoûté mais son manque de réaction m'effrayer de plus en plus. Jusqu'à ce que j'entende les battements de son cœur, je ne les entendais pas très bien mais je sentis que comme moi, quelque chose se passait en lui. Je du me retenir de ne pas le repousser ou bien même de ne pas me tortiller dans ses bras pour m'évader de la prison qui était en train de se refermer sur moi. De plus, ça ne ferait que gêné l'homme lui aussi, devoir s'enticher à quelqu'un alors qu'on est un vrai coureur... C'est pas le top ! Pourtant, sans que je ne sache pourquoi, il décida qu'il était temps de bouger, me plaquant contre le mur. La peur me tenaillais mais l'excitation était bien plus présent que le reste. Le lobe de l'oreiller... Ah une partie si érogène chez moi que l'homme mordilla provoquant chez moi une réaction humaine. Peut-être que le désir que j'éprouvais pour le bibliothécaire y était aussi pour quelque chose. Ses lèvres dans mon cou me firent frissonner une nouvelle fois et je relevais la tête, fixant le plafond pour me retenir de gémir. Je ne pu détourner mon regard ne serait-ce qu'une seule seconde de la créature qui s'offrait à moi. Sa beauté était tout simplement enivrant, j'étais plutôt le genre de personne qui contrôler les autres, celui au dessus de tout et qui prenais ce qu'il voulait de son compagnon mais cette fois-ci c'était très différent... Son imposante silhouette qui me dominer par sa hauteur mais certainement aussi par ses muscles avait prit rapidement le dessus. Pourtant, chose que je trouvais étrange, ça ne me dérangeais pas le moins du monde car je n'espérais qu'une chose, devenir sa marionnette pour cette soirée. Lorsqu'il m'attrapa les mains, je ne pu retenir un léger soubresaut, craignant que le tissu de soit pas assez épais pour empêcher mon pouvoir de fonctionner. Il l'était, je le savais mais comment ne pas devenir craintif à cette idée dans un tel moment ? Parce que oui, ça serait plutôt gênant d'effacer la mémoire de Floyd, imaginez si celui-ci reprenait conscience presque instantanément, en plein en train de pilonnais mon mignon petit derrière... Il y a mieux je peux vous le garantir. Il mordit légèrement l'un de mes doigts juste après avoir déposé un baiser sur le dos de main main. Les yeux rivé sur ses lèvres, je du mordre les miennes pour ne pas me jeter dessus, goutant de nouveau directement à sa saveur. Même cet arrière gout de clope ne me dérangeais pas, rien n'aurait pu me déranger à part la peur et même elle commençait à devenir inefficace petit à petit.

- Un jour... Il faudra que tu m'expliques ce que tes mains ont de si spécial...

Une question toujours aussi dérangeante et qui réussi à calmer mes ardeurs. Enfin, seulement pendant quelques secondes... Je baissais la tête, évitant de le regarder en face, fuyant tout ce qui tenter de me rappeler mes crimes. Mais je du lui refaire face bien vite car sa bouche dévorer de nouveau me lèvres et lorsque nos regards se croisèrent, je ne pu de nouveau détourner le regard de ce fauve. Je passais mes mains dans son dos, le caressant pendant que lui était plus sauvage et me griffé. Au final, j'aimais faire face à ce genre d'animal, celui qui prenait ce qu'il voulait... N'étais-je pas comme ça moi même ? Si, mais au contraire de ce que je pensais, j'aimais ça, peut-être était-ce parce que celui qui était pareil que moi c'était Floyd ? Sans que je ne m'en aperçoive, l'une de ses mains avait quitter la peau de mon dos pour titiller mon membre. Je lâchais un gémissement en m'agrippant d'autant plus à lui, les jours rouge. Je fini par trouver la foie de lui répondre, murmurant mes paroles entre deux gémissement.

- Ça n'a pas d'importance, ne les enlèvent pas et tout ira bien... Mais surtout ne touche pas mes mains...

Pourquoi se compliquer avec des explications futile dans un tel moment ? Je n'en voyais pas l'intérêt et le mettre en garde avait suffit pour me faire oublier le danger que pouvait valoir un de mes toucher. Pourtant... Que j'avais envie de le sentir contre mes doigts, de parcours son corps de la main en sentant sa chaleur... Je portais mes lèvres au cou du bibliothécaire, déposant de doux baiser dans celui-ci avant de le mordiller faiblement. Mes lèvres remontèrent tout le long de sa mâchoire avant de l'embrasser une nouvelle fois avec passion, pénétrant sa bouche avec ma langue pour une nouvelle danse avec la sienne. Je comptais bien m'abandonner à lui mais je l'emporterais dans ma folie, durant cette nuit, il ne se souviendrait que de mon nom et non pas de ses autres conquêtes. Je serais le seul qui habiterait ses rêves, au moins pour cette nuit... Cette serviette qu'il portait étant en trop, je voulais tout voir de lui. Une de mes mains glissa le long de son dos jusqu'à attraper le tissu sur lequel je tirais doucement, la laissant tomber à nos pied. Je me mordis la lèvre en voyant cette partie de lui qui me faisais tant envie, j'en salivais et pour la première fois, me dire que je serais en dessous de quelqu'un allait vraiment être agréable s'il savait s'y faire...

Floyd m'attrapa les mains, entremêlant nos doigt au passage avant de les mettre au dessus de nos tête. Prisonnier, contre le mur, je ne e sentais pas si prisonnier à cause du peu d'espace que j'avais en ce moment mais plutôt à cause de son regard de fauve. Il avait changé, il avait quelque chose de bestial dans le regard... Quelque chose de plus excitant encore que ce que j'avais vu de lui jusqu'à maintenant. Je ne demandais qu'une chose, qu'il m'écrase violemment contre le mur et qu'il me prenne avec rage... Je préféré mettre les gens à genoux mais cette fois-ci se fut l'inverse, je voulais qu'il me mette à genoux et qu'il me fasse crier comme je ne l'avais jamais fais. Je passais ma langue sur mes lèvres, essayant de calmer cette fièvre qui commençait à me contrôler. Je ne devais pas sombrer dans un tel désir mais c'était impossible de lui résister. Cependant, l'homme me maintint loin de lui, me faisant languir, chose que je ne voulais pas en ce moment. Je ne me plaignis pas pourtant, parce que je voulais être son jouet ce soir. Ce n'était pas tout, en plus de vouloir ça, je voulais aussi qu'il ne pense qu'à moi et je comptais bien moi aussi le faire attendre et patienter comme il était en train de me faire.

- Tu as dis que tu voulais me sentir contre toi... Alors dis moi "S'il vous plait, Floyd"

Demander quelque chose n'était pas dans mes habitudes et je ne dis pas un mot pendant quelques instant, laissant alors régner le silence dans la pièce. Même fiévreux de désir, je refusais à me soumettre de la sorte et cette scène me revins alors de nouveau. Ce que je vivais là, j'avais fais la même chose... Je fus parcouru d'un terrible frisson d'excitation mais aussi à une envie de vomir. Je trouvais ça excitant de me faire dominer de la sorte quelque part mais savoir que j'avais fais ça me donnais la nausée. Je ne pouvais bouger, je ne pouvais fuir et même si j'avais pu je ne l'aurais pas fais. Alors que je comptais fermer les yeux, j'affrontais une nouvelle fois son regard et je ne pu me contenir d'avantage. Je soupirais en signe de soumission, j'étais vaincu par le bibliothécaire.

- S'il... Vous plais Floyd... Prenez moi...

Oui, j'avais bel et bien rajouter quelque chose après ce qu'il m'avait demandé mais je n'en pouvais plus d'attendre et vu le regard suppliant que je me mis à lui lancer, il du le comprendre très rapidement. Mes joues étaient maintenant légèrement rougis et j'entrouvris faiblement les lèvres... J'hésitais à laisser ces paroles s'échapper mais je le fis au final, m'abandonnant à lui...

- Faites moi votre...

Faites le moi oublier... Je me retins de dire ça et pendant quelques seconde, mon regard devint celui d'un enfant effrayer et perdu. Parce que oui, j'avais peur, pas de l'homme qui se trouvait en face de moi... J'avais peur de moi, j'avais peur de perdre Floyd comme j'avais perdu les deux êtres que j'avais le plus aimé au monde.

Ses mains glissantes sur mon corps, je retins un autre léger gémissement, me promettant de ne pas succomber tout de suite. Les hommes perdaient si vite leurs repaires lorsqu'il était question de sexe. On étaient capable de faire n'importe quoi pour ne serait-ce qu'un infime moment de plaisir. Floyd avait quelque chose de très animal et bestial dans son comportement mais aussi une part de félidé... Par chance, les félins étaient mes animaux préférés et je ne pu que trouver ça mignon la manière que l'homme avait de frotter son nez contre mon épaule. J'avais envie de le câliner mais une part en moi savait qu'il était vraiment comme un chat... Il viendrait demander des câlins de temps à autre mais ce n'était pas pour ça qu'il m'appartiendrait un jour, au contraire, il n'aurait aucun remord à aller se nourrir chez un autre et je sentis une pointe de douleur se répandre dans mon cœur. Je venais de me faire transpercer par la flèche de Cupidon mais celui-ci avait mit sur la pointe un poison lent qui ne me détruirais que petit à petit... À moins que je ne trouve le remède qui était aussi dur à avoir qu'une souris pourrait vaincre le chat.

Lorsque je sentis ses doigts se refermer lentement sur mon membre, je ne pu retenir une plainte et un léger sursaut. M'agrippant fermement à ses épaules, je fermais les yeux, les joues en feu en sentant son autre main parcourir mon derrière. Pourquoi fermer les yeux ? Parce que même si ceux-ci étaient grand ouvert, tout me paraissais flou, le plaisir m'empêcher de voir correctement tout comme il m'empêcher de penser au conséquences de ces actes. Pourtant, mon dos se mit à plat contre le mur, m'empêchant de m'enfuir. Pour rien au monde je n'aurais quitter la salle et abandonner l'homme qui était face à moi mais pour une raison que j'ignorais, j'avais une certaine honte à le laisser voir ce coté de ma personnalité. Il arrivait à me rendre faible et incertains, je ne voulais pas qu'il voit cette faiblesse en moi et qu'il l'exploite. Il prit ma main, la posant sur son sexe et je la regardais avec les joues qui rougirent d'autant plus vite. Mais son gémissement me fis relever brutalement la tête pour le dévisager avec incompréhension. Et s'il était comme moi ? Perdu, sans savoir ce qu'il devait vraiment faire. Cette pensée bien que stupide, eu le don de me faire sourire et de me donner un espoir, même le plus petit. Je le laissais capturer mes lèvres, l'embrassant moi aussi sans jamais m'arrêter. Je ne voulais pas que ce moment s'arrête, je commençais à l'aimer et je le savais. Mais je n'étais pas encore près toutefois à une relation sérieuse...

- Tu es à moi... Prends soin de moi toi aussi...

Je ne savais pas vraiment ce qu'il voulait dire par là mais je ne pu retenir une larme couler le long de ma joue. Surement que j'aurais bien aimer un jour qu'on me dise ça car après tout... Jamais personne n'avait su me rendre de la sorte. Sa main reprit ses activités, me faisant haleter de nouveau et pourtant, cette fois-ci je n'allais pas fuir ni rester sans rien faire. Du bout des doigts, je le caressais tout comme il était en train de faire, parcourant de mon autre main, sa joue et déposant une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes. Une autre larme poursuivis la route de sa congénère et je me promis intérieurement que jamais plus je ne pleurerais devant cet homme après cette soirée. Il ne me verrais que souriant, fourbe ou timide, mais jamais je ne laisserais les pleurs l'emporter sur le reste. Pourtant, même si ses larmes portait la tristesse que je gardais enfouis depuis trop longtemps déjà, elles étaient aussi mélangées à un sentiment de joie. Jamais je ne relâchais ses lèvres, l'embrassant avec fougue et réduisant mes gémissements sous silence. Lorsqu'enfin je leurs rendis leurs libertés, je posais ma tête sur l'épaule du bibliothécaire, inspirant sa magnifique odeur, m'imprégnant de se parfum que je ne voulais pour rien au monde oublier, laissant les gouttelettes glisser sur la peau de l'homme. Ma main qui était auparavant sur sa joue passa autour de sa taille, le serrant contre moi pendant que l'autre jouée avec le membre de mon compagnon. Mes cheveux lâchées me cacher légèrement le visage et j'en étais assez rassuré à l'idée que Floyd ne puisse pas voir l'air qui c'était emparé de mon visage. Mes gémissements étaient faible mais pourtant bien distinct et la distance à laquelle mes lèvres étaient de son oreille lui permettait à coup sur de les entendre parfaitement. Le plaisir était trop grand pour moi et le mouvement de ma main se faisait moins fluide et rapide qu'avant, je tremblotais même légèrement, tentant bien que mal de rester debout sur mes jambes. Je fini par réussir à trouver le moyen de prendre la parole mais celle-ci était à peine audible et elle se mélangé à mes gémissements.

- Floyd... Je n'en peux plus... Je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps... Fini en... Je veux te sentir en moi...

J'avais fini par le tutoyer... Parce que oui, une fois que tu couche presque avec quelqu'un tu peux te permettre ça je pense. Mais il y avait une autre raison derrière ça... Je voulais être plus proche de lui, être même le plus proche de lui que n'importe qui d'autre.

Je ne fis rien pour empêcher cet homme de faire ce qu'il voulait de moi. Docilement, je m'allongeais sur le sol comme le voulait le bibliothécaire, les joues en feu. Je n'aimais pas ça, une marionnette qui obéissait au moindre des désirs de son interlocuteur, bien que j'étais celui qui lui avait demandé de me procurer du plaisir, j'avais l'impression de l'abandonner à lui, je ne pouvais le supporter... C'est ce qu'il se serait passé en temps normal et en ça, j'étais d'autant plus frustré de voir à quel point m'imaginer être sa chose m'exciter.

- A tes ordres, Chaton.

Lorsque je sentis son corps contre le mien, je ne pu m'empêcher de passer mes bras autour de Floyd, profitant de ses mordillements pour inspirer profondément son odeur, j'avais voulu qu'il ne pense qu'à moi, je ne savais si c'était réciproque mais une chose était sur, mes pensées n'allaient plus que pour la bête.

- Chaton, si ça te fait mal au dos d'être trop longtemps contre le sol préviens moi, on pourra toujours essayer plein d'autres positions...

Un simple murmure qui avait suffit à me faire ressentir plusieurs palpitations entre les jambes, lorsque je pris enfin pleinement conscience de ses paroles, je me mis à rougir sévèrement et je m'abstins de tout commentaire. De justesse, j'avais réussi à empêcher une remarque coquine de se glisser entre mes lèvres, bien que j'avais extrêmement envie de cet homme, je n'avais pas l'intention qu'il me prenne pour une bête de sexe habitué à avoir des amants... Pourquoi ? Je n'en savais rien, peut-être parce qu'au fond, bien que j'avais envie de lire de la jalousie sur son visage, je n'avais pas envie d'interrompre un moment aussi intense entre nous. Pas une seule fois je ne baissais le regard, sentant que si je regardais nos position, je ressemblerais bientôt à un pervers digne des mangas hentai. Je m'étais souvent demandé si quelqu'un pouvait vraiment saigner du nez à la vue d'une partie de jambe en l'air... Et pour être franc, je n'avais pas envie de prouver qu'on pouvait bien avoir l'air d'un voyeur ! Ma peau me brulait, chaque endroit que Floyd touchait devenu aussi chaud que de la braise et le plaisir que me procuré son toucher me fis me cambrer, demandant au bibliothécaire de me caresser plus qu'il ne le faisait déjà. Un corps de dévergondé, voilà à quoi je me faisais penser, mais était-ce ma faute si face à l'homme je n'avais plus aucune barrière ? Mes ongles s'enfoncèrent dans la paume de ma main pendant que je retenais ma respiration en sentant que bientôt, la pièce serait comblée par nos gémissements entremêlé... Jusqu'à ce que je le vois. L'animal se retourna lui aussi pour identifier la source de bruit et fini bientôt par faire face à un élève. Les larmes me montèrent aux yeux mais certainement pas autant que la honte, j'étais rouge pivoine, l'excitation n'y était plus pour rien, seul les yeux du rouquin qui parcoururent mon corps du regard eu le don de me faire me mordre la lèvres inférieur. Quelques secondes plus tard, ce fut au tour du fauve d'être dévisagé et je n'avais plus qu'une envie, me cacher sous terre et ne jamais revenir !

- Saleté de gamin ! Marmonnai-je avant de me pencher vers mon beau Yuki. J'en ai pas finis avec toi Chaton, t'inquiètes pas. Mais pour ce soir, ça ne va pas être possible. J'aime pas les spectateurs, il n'y a que moi qui ai le droit d'entendre tes cris de jouissance.

Je n'eus pas le temps de répliquer, les poings fermés, je m'apprêtais à lui en coller une pour qu'il me lâche lorsque celui-ci se releva en m'abandonnant sur place. Je fulminais de rage, contre Floyd mais aussi contre moi même. Lorsqu'enfin je pu prendre un minimum de distance avec le bibliothécaire, je pris ma serviette et la posa sur moi après avoir rejoins le mur, assis à même le sol. Adossé contre le mur devenu glacial, les jambes repliée contre moi même, je me cachais le visage dans la serviette en priant pour que le fauteur de trouble reparte aussi vite qu'il était arrivé.

- Alors gamin, on ne respecte pas le couvre-feu ? Les douches sont interdites d'utilisation la nuit. Dégage avant que je m'énerve.

Encore une fois, je m'abstins de justesse de lui faire part du fond de ma pensée qui n'aurait en rien défendu notre cause face au garnement. Après quelques secondes de réflexion, il prit la fuite et tendit que je m'apprêtais à en faire de même, le bel homme revint me voir. Ma plus grande envie ? Le piétiner jusqu'à la mort ! Pourtant, quelque chose en moi ne voulais pas de ça, quelque chose en moi avait envie de le fuir tandis que l'autre voulait que je tende les bras pour l'attraper, cette même partie voulait se blottir auprès du donjuan et le supplier de ne pas le laisser seul de nouveau... Cette partie, je la connaissais, il s'agissait de celui qui était blessé et qui ne voulait pas être seul. Une personne froissé qui avait cru qu'avec Floyd, tout serait de nouveau possible, mais cette pensée fut futile et ne prit que quelques instant pour sombrer dans la triste réalité. Personne ne viendrait me sortir de ma souffrance et surtout pas ce fauve qui n'attendait qu'une chose : une prostituée qui écarterait les jambes pour lui. Une partie de moi fut profondément blessé tandis que l'autre murmurait que je le méritais. Le visage caché dans mes mains, les paupières closes, je sentis bientôt un malaise s'emparait de moi, pire encore, je me sentis devenir aussi froid que de la glace, en peu de temps, la chaleur que j'avais acquis avec le petit jeu entre Floyd et moi avait disparu en quelques instants. Je relevais la tête subitement en entendant un bruit sourd, la tête penchée légèrement sur le coté, je regardais avec surprise le membre du personnel qui semblait curieusement assez... Énervé. *Repousse le !* C'est ce que j'avais pensé très fort en voyant le bibliothécaire revenir auprès de moi, alors pourquoi je n'en fis rien lorsqu'il m'embrassa tendrement ? Au contraire, ce fut un baiser partagé et encore une fois, j'en fus agacé de voir à quel point j'avais envie d'être posséder par cet homme.

- Désolé Chaton, je vais y aller. La prochaine fois, continuons dans un endroit plus... Privé. Je te laisse ramener ses affaires au gosse.

Son sourire raviva quelque chose en moi, une chose qui fut très courte mais que je ne voulais pas perdre. Il se releva et commença à partir, je ne voulais pas, alors je fis ce que toute personne désespéré aurait fait, je tendis le bras vers lui pour l'arrêter, mais je ne le pus. Il n'était pas encore trop loin mais ma main refusa de s'accrocher à lui, mes lèvres étaient entrouverte et bien que je ne désirais qu'une chose, lui demander de rester fut impossible pour moi. Mes lèvres bougèrent mais aucun sons ne voulurent en sortir et je ne compris que trop tard que j'étais déjà bien trop blessé pour demander à quelqu'un de rester à mes cotés. Je n'en avais pas le droit, j'étais un monstre. Lorsque Floyd se retourna une dernière fois, je fus soulagé de constater que j'avais eu le temps de reprendre ma position initial, ainsi, le beau mâle n'aurait pas à voir la détresse, je n'aurais pas à lui faire pitié.

- Ah, au fait ! J'ai adoré t'entendre gémir... Très sexy... J'en attends encore plus pour... Oh ! Pourquoi pas demain ?

C'est idiot, c'est abruti, non même, ce connard ! J'avais eu un mal fou à dissiper la gêne présente quelques instants plus tôt et voilà qu'à cause de son petit jeu stupide je virais une nouvelle fois au rouge tomate. J'avais attrapé ma serviette pour lui jeter dessus mais l'homme avait déjà quitté la salle de bain. Je regrettais de n'avoir rien de plus lourd à porté de main car après tout, jeté une serviette lorsqu'on était énervé était loin d'être calmant... Au contraire, elle était tombée avec une telle douceur que j'en étais venu à pousser un cri de rage avant de me mordre violemment la main. Le temps s'écoula lentement et pour une raison inconnue, je ne voulais pas quitter la pièce humide. Lorsque je compris enfin la raison de mon acharnement, plusieurs larmes coulèrent le long de mes joues et je retins un léger hoquet en enfouissant mon visage dans mes mains. Recroquevillé sur moi même, bientôt le silence prit fin, on aurait pu croire au bruit d'un enfant perdu, mais c'était moi. Je me permis de pleurer un peu plus fort, je me permis de taper du poing contre le mur auquel j'étais adossé, je me permis de rester assis là à pleurer toutes les larmes de mon corps.

- Imbécile...

Je ne pouvais pas quitter cette pièce, tout simplement parce que parmi les douces odeurs de savon, une autre odeur était bien distinct... La raison pour laquelle je ne quittais pas la pièce ? Parce qu'il y avait toujours l'odeur de Floyd et pour aucune raison, je ne voulais perdre la seule chose qui me laissais m'accrocher à lui...