Mitsuaki Itagaki, Créatures des Enfers

Mitsuaki est né d’une famille assez aisée et d’un mariage arrangé. Sa mère n’a jamais réellement aimé son mari pourtant elle lui donna un fils, Mitsuaki. Rien d’autre que lui. Son mari n’aimait pas la campagne comparé à elle, alors il lui acheta une maison secondaire pour qu’elle puisse vivre au calme et donner une bonne éducation à son fils. Ils ne se virent presque jamais car travailler dans une entreprise mondiale lui prenait tout son temps libre. La fille n’était pas aussi soudée qu’aurait pu croire le monde.

Mitsuaki ne connu que sa mère. Il l’aimait tant. Si douce et si gentille, il n’aimait pas quand elle était triste, son doux regard couleur bleu océanique s’assombrissait pour ne plus être que noir. Son sourire perdait de l’éclat dans ses moments là et il n’aimait pas sa. Alors quand ils sortaient de son école et qu’elle lui demandait pourquoi il était tous sale, il lui disait simplement que c’était parce qu’il avait trop joué avec ses amis. Toujours une raison pour ne pas voir son sourire s’assombrir. Mitsuaki était un peu bouboule quand il était petit, ainsi il était le gamin frappé qui se taisait le martyre de tout le monde…

A cinq ans sa mère mourut, d’un accident de voiture alors qu’elle venait le chercher. Il resta quatre heures à l’école avant que son père vienne le chercher. Il avait été seul pendant des heures ne comprenant pas ce qui lui arrivait car sa mère était toujours à l’heur, jamais une fois elle fut en retard. Il resta seul tous ce temps et compris qu’il ne la reverrait surement pas. Dans la même semaine ou fut le décès de sa mère, il reçu un présent de sa mère au cas ou elle décèderait, c’était un talisman avec un animal inconnu dessus. Le lendemain Mitsuaki se fit traquer sans relâche par ses camarades, il devenait la proie de tous les élèves et se fut lors d’une récréation qu’il réagit. Un groupe d’enfant de son âge arriva, une dizaine surement, sur lui. Il se recroquevilla sur lui-même silencieux. Il avait peur, il savait ce qui allait lui arriver. Les coups, les attaques sur sa mère, les insultes à répétition. Il eut peur voulu appeler à l’aide. Il murmura :

- Maman ou es tu ?

Ses camarades rigolèrent, ils étaient déjà arrivés à sa hauteur. Le plus grand des garçons poussa Mistuaki du pied et lui ricana au nez :
- Elle est morte parce qu’elle te trouvait trop gros !

Tout le groupe éclata de rire, Mitsuaki ne fit que sangloter. Tous lui donnèrent des coups de pied. A la limite de la mort, le plus chef du groupe arriva pour l’achever et lui dit d’une voix remplie de haine et féroce :

- Ta mère devait avoir honte de toi pour se suicider.

Il se prépara a lui tirer le coup de pied final, Mitsuaki lui prit la cheville. Il resta la tête baissé en direction de ses genoux et de regarder qu’un collier. Le gamin furieux de s’être fait arrêter par un gamin de la trempe de Mitsuaki lui cracha à la gueule et se prépara pour lui donner un coup de pied avec son autre jambe libre. Il la leva genou en direction du ciel, il allait lui donner un coup radical sur la colonne vertébrale. La main lâcha la cheville du garçon et disparu. Mitsuaki avait entièrement disparut. En moins de deux secondes il n’était plus là. Tous le groupe fut choqué par ce moment, un gamin de cinq ans avait disparut de la planète en moins de 2 seconde. Un temps trop court et à la fois trop longue. Un bruit derrière le jeune chef, trop tard. Le chef de la bande était entrain d’être étranglé à 20 centimètre du sol plaqué contre le grillage. Il suffoqua, appela à l’aide. Mitsuaki se retourna, un garçon essaya de le frapper, souplement il l’évita et l’envoya bouler sur le goudron. Tous se reculèrent. Mitsuaki se retourna sur sa proie et dit :

- Ma mère ne c’est pas suicidé !

Son ennemi ne le lâcha pas du regard et essaya de se débattre de toutes forces. Personne ne comprenait comment Mistuaki pouvait être aussi fort, alors qu’il n’était qu’une boule de graisse et bien plus petit que son ennemi. Un maître de classe arriva en courant avec quelques élèves derrières lui. Mistuaki relâcha l’élève et s’en alla comme si de rien n’était. L’élève cria sur l’instituteur et pointa le doigt en direction de Mistuaki.

- C’est lui ! Il m’a étouffé !

L’instit courut après Mistuaki. Au final, il fut viré de l’établissement et amené chez ses grands parents maternels. Son père l’abandonna ainsi.
Son grand père, un homme très intelligent, était un ancien samouraï. Un peu cliché, on peut penser mais vivre avec un grand père qui ne supporte pas les américains par leur cliché de personne obèse, c’est un peu compliqué quand vous avez un peu de surpoids. Un dur entrainement fut pour Mistuaki, qui entrainer pour devenir un homme bienveillant, gentil et droit envers les principes de son grand père. Sa grand-mère lui apprenait toutes les joies de séduire les dames, d’être le plus aimer et ce n’est pas parce que les conseils venaient de sa grand-mère, donc une génération d’avance qu’ils étaient impossibles à appliquer. Ainsi pendant deux ans personne ne vit le petit garçon joufflu du nom de Mistuaki.

Mistuaki essaya de comprendre le jour ou il avait eu cette vitesse surhumaine et cette force. Il essaya tant bien que mal à se rappeler des sentiments qu’il avait eus ou des pensées. Il se rappela seulement qu’il voulait partir le plus rapidement comme le martinet était le plus rapide du monde. Le talisman de sa mère brilla et il comprit comment l’activer. Mais maintenant il devait se renseigner sur tous les animaux du monde pour ainsi avoir toutes leurs capacités. Ainsi pendant des jours et des jours, il achetait des livres pour s’enfermer dans sa chambre et connaitre le plus sur les animaux.

Mitsuaki déménagea dans la ville de son père. Son père avait décrété que la campagne lui avait fait du bien et que ses études pouvaient recommencer. Il s’installa ainsi chez son père, il devait aller au collège quand il déménagea en été. Il se fit des nouveaux amis et eu une grande popularité. Un blond aux yeux bleus était rare là bas d’après ce qu’il comprit. Ainsi il fut très populaire par son physique mais aussi son comportement de gentleman et pour défendre les personnes qui furent comme lui dans le passé, des personnes faibles et qui ne disent trop rien. Plaisant à ces dames et le justicier des faibles personnes pouvait ne pas l’aimer étant un ange.

Il n’était ni le meilleur ni le plus faible de sa classe pourtant son comportement n’aidait pas ses notes, il se battait tous le temps et c’est souvent à cause de ça qu’il rentrait bleus et cocard sur lui. Son père ne comprenait réellement pas pourquoi son fils adorait se battre tout en ruinant la réputation de son père. Personne ne le comprenait réellement pourquoi il se battait, si ce n’était que pour se venger même si personne ne sans douter réellement. Il s’entrainait avec son pouvoir tout en se battant contre ses gens qui ne servaient à rien à ses yeux. Plus les années passaient plus il comprenait comment l’utiliser mais plus elles passaient plus le symbole du bracelet disparaissait et la flamme moins flamboyante pourtant il n’avait pas de problème avec le pouvoir. Il ne comprenait pas, puis un jour le bracelet disparut sans laisser de trace. Il trouva à la place une lettre de sa mère. Il l’a lu et compris. Le bracelet avait disparu car il s’avait tous sur le pouvoir. Il le contrôlait entièrement. Mais au final de ses années il avait compris qu'il ne pourrait jamais avoir des sentiments pour quelqu'un car il perdait son self control au près d'une personne qu'il aimait.

- A partir de maintenant tu te débrouillera tout seul. Je ne te payerai plus rien, tu seras assez grand pour savoir ce que tu veux faire de ta vie et te débrouiller seul. Tu m'as attiré bien trop d'emmerde.

- Bien père.

Voilà ce que lui dit son père le jour de ses dix neuf ans. Il devait trouver un boulot le plus vite possible. Une pancarte, quelques mots dessus. C'était simple. * Je serai surveillant dans ce lycée * . Il regarda la pancarte le nom du lycée était Black Rose, un pensionnat. Logé et nourrit en plus de bosser c'était très bien pour lui