mon retour dans mon jardin {ouvert a tous}

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Je sortais enfin de l'infirmerie. j'étais encore dans un piteux états mais je voulais voir mon jardin. Je sentis dès que j'entrais dans mon jardin que pendant mon absence, tout avais poussé... surtout les mauvais herbes. Je fut désolé de voir a quel point mon absence fut douloureuse pour mon jardin. je décidais donc de réparais ma faute. Je fit venir de l'eau au dessus de toute la périphérie du jardin et arrosa ainsi toute les plantes. Ensuite je décidait de déraciner les mauvais herbes mais sa aller être long. et dans mon état je n'avancerai pas vite mais je commençais donc a retirer tout sa. En avançant doucement dans le jardin je vit que les mauvais herbes n'était pas mes seuls soucis... Il y avais des champignons sur les arbres, les roses avais trop d'épine et commençais a mourir, les bonzaï avais trop de racine dans leur pot ce qui les empêchais de vivre. En voyant sa je décidait de ne plus partir du pensionnat sans aucune raison. Je continuais donc le déracinage des mauvais herbes. Je me fatiguais vite et je devais faire de longue pause. et j'avais la crainte que l’infirmière sache que j'étais entrain de travailler alors que je ne devrai pas. je me demandais dans combien de temps aurais-je fini ce travail pour m'occuper ainsi des bonzaï mais je ne pouvais y répondre. il faillais que je réanime toute les fleurs qui commençais a dépérir, a déraciner un peut les bonzaï, que j’arrache les mauvais champignon des arbres, ce qui me fit penser qu'il faudrait que je fasse un potager pour les cuisiniers. des légumes et fruit frais ne ferais de mal a personne. En avançant je trouvais la place rêver pour le potager. Il y avais un énorme carré vide et le soleil donne en plein dessus. Mais... Il y avais encore plus de mauvais herbes que dans tout le jardin ce qui est gigantesque. Je fut vite découragé. Mon eau continuais a tombé et je me demandai si quelqu'un verrai sa ou non.

Comme à mon habitude j'étais encore dans le jardin à me détendre, j'avais besoin de la nature pour me revitaliser et j'aimais cet endroit si paisible, si calme, ces derniers temps il avait l'air à l'abandon et ça lui donnait un coté sauvage et mystérieux, mais certaines plantes en étouffaient d'autres et quelques fleurs commençaient à faner et se confondre avec les mauvaises herbes, à ce moment je sentis des goûtes me tomber dessus.

- Oh il pleut? Mais il y avait pourtant un beau soleil comme c'est étrange...

Je marchai alors rapidement à la recherche d'un abri où me réfugier, ça devait être une averse, je vais attendre ici le temps que ça s'arrête. Même sous la pluie ce jardin est tout aussi beau! quoique le soleil à le don de raviver les couleurs et les faire briller, je m'accoudai sur une barrière et posai ma tête sur mes mains tout en regardant le jardin dans son ensemble, je remarquai que la vue était belle d'ici et donc que cet abri n'a pas été construit là par hasard. Je remarquai une tache au loin et je plissai les yeux pour arriver à discerner ce que c'était.

- C'est une personne... accroupie

Ah elle se relève, euh "il" plutôt, c'est une silhouette d'homme, malgré la pluie qui tombait encore je décidais d'aller a sa rencontre. Après avoir contourné un buisson, j'avançai doucement dans son dos sans faire de bruit pour ne pas le déranger, je jetai un bref coup d'oeil en penchant la tête sur le coté enfin je me mis à son niveau.

- Bonjour, vous êtes le jardinier n’est-ce pas?

Je sortai du bâtiment des salles de cours, pour une énième journée d'école buissonière. Mais le coeur n'y était pas... Il n'y était pour ainsi dire jamais... Je marchai tranquillement, trainant des pieds, me moquant totalement que l'on me prenne entrain de sécher. Car si on m'arrêtait, je recommencerais. Je me dirigeai en sifflotant un air improvisé vers le jardin, m'apprétant à sortir du pensionnat en sautant le mur qui se trouvait au fond. OK... On ne m'empècherait pas de sécher, mais je préférais prendre mes précautions. A peine avais-je posé un pied dans le jardin, que la pluie vint me mouiller lentement. Mais qu'est-ce qui se passait... Je ne voyais d'arrosage automatique nulle-part... J'avançai doucement, protégeant mes armes de la pluie avec mon long manteau. Je me dirigeai vers le muret quand mon regard capta un mouvement sur ma droite. Une sorte d'éclair rose. Je me figeai et regardai, curieuse. C'était une jeune femme aux cheveux roses qui observait un homme penché sur les plantes.

- Bonjour, vous êtes le jardinier n’est-ce pas?

Le jardinier ? N'était-il pas absent depuis un bon moment ? Je me reculai sans bruit, le pas aussi léger que celui d'un oiseau. Je n'allais pas les déranger alors que j'avais d'autres choses à faire. Surtout que si cet homme était bien le jardinier, je n'avais pas intéret à le croiser, vu que j'étais l'auteur de tous ces arbres éventrés par des balles... Enfin, si on devait se parler, ce n'est pas comme si j'allais me dénoncer mais bon... On sait jamais... Je me retournai vers ma destination initiale et me remis en route, avec la souplesse et le silence d'un... CRAC !

-Merde ! jurai-je en murmurant.

Je ne bougeai plus, espérant que l'on ne m'ai pas entendu.

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- Bonjour, vous êtes le jardinier n’est-ce pas?

je sursauté méchamment et me préparé a recevoir une attaque ou un truc dans le genre. Je fut rassuré quand je vit que ce n'était qu'une jeune femme, une étudiante surement ou alors une professeurs du pensionnat.

-bonjour. Oui je suis le jardinier. je m'était absenter quelque temps et je le regrette amèrement vue l'état de mon jardin. Et vue mon état il ne sera pas restaurer avant un long moment. Mais que puis-je pour vous ma demoiselle?

C'est sur la fin de cette phrase que j'entendis le craquement d'une branche. je me mit en position de combat dans la direction du bruit et me mit a parler dans le vide

-Sors de la qui que tu soit et tout de suite ou j'écrase tout avec mon pouvoir. Une seul vague devrait suffire vue l'état du jardin.

malgré mes paroles prétentieuse et menaçante je tremblai. je ne voulais pas retomber sur les même personne qui m'avais mit dans cet état et j'avais peur que ces deux la soit venus dans le pensionnat pour finir ce qu'ils avaient commencés.

Il me ficha une de ses trouille à sursauter comme ça j'ai cru qu'il allait m'attaquer, je fis quelques pas en arrière et le regardai avec de grands yeux étonnés, en me voyant il abaissa sa garde, je soufflai de soulagement et me rapprochai de lui pendant qu'il me répondait.

-bonjour. Oui je suis le jardinier. je m'était absenter quelque temps et je le regrette amèrement vue l'état de mon jardin. Et vue mon état il ne sera pas restaurer avant un long moment. Mais que puis-je pour vous ma demoiselle?

Je voyais bien qu'il n'était pas au top de sa forme, il avait l'air de revenir d'une bataille et il était paniqué et à l’affût du moindre bruit.

-...

Je n'eu pas le temps de répondre qu'il entendit un autre bruit, un craquement de branche, je me demandai ce qu'il se passait encore, pourquoi est-il autant sur ses gardes, je commençai vraiment à m’inquiéter, il se mit face au bruit et le menacer, je ne savais plus quoi faire et plus ou me mettre, je posa alors doucement ma main sur son épaule en m'abritant derrière lui, il tremblait et je me rendis compte qu'il avait encore bien plus peur que moi, voulant le rassurer je mis ma deuxième main sur son autre épaule et murmurai maladroitement à son oreille.

- dis, il ne va rien nous arriver ici on est quand même à l'abri et puis on est pas seul.

-Sors de la qui que tu soit et tout de suite ou j'écrase tout avec mon pouvoir. Une seul vague devrait suffire vue l'état du jardin.

Pour ce qui était de la discrétion c'était raté... Non seulement on m'avait repéré, mais d'après la réaction des deux adultes je devais leur avoir foutu une frousse du diable. D'ailleurs je ne voyais pas vraiment pourquoi. Ils étaient dans un jardin et l'ambiance était assez paisible je ne voyais pas en quoi le craquement d'une branche pouvait être inquiétant. En attendant cette satanée pluie sortie de nulle part commençait à me pomper l'air, surtout que je devais faire attention à ne pas laisser rouiller mes armes. Et maintenant j'avais aussi à gérer deux paranoïaque... Je soupirai intérieurement et m'avançai lentement, les mains en l'air, après avoir protégé du mieux que je le pouvais mes Magnums avec mon manteau. Je n'avais pas peur de ce petit jardinier et de sa posture toute tremblante de défence mais des gens terrorisés pouvaient être plus dangereux qu'un homme entrainé. J'apparus lentement devant eux et annonçai d'un air blasé en les regardant avec indifférence.

-Cool l'ami des fleurs ! Je vais pas vous manger vous savez. Je suis juste une élève de ce pensionnat et je cherchais à sécher en toute discrétion. Donc détendez vous et recommencez à respirer. C'est mauvais de retenir sa respiration comme ça vous pourriez vous évanouir...

Je baissai les bras parce que je me sentais conne comme ça puis les posai par réflexe sur mes Magnums cachés sous mon manteau, attendant la réaction de ces deux petites choses tremblantes...

Invité

-cool l'ami des fleurs! je vais pas vous manger vous savez? Je suis juste une éleve de ce pensionnat et je cherchais a sécher en toute discrétion. Donc détendez vous et. recommencez a respirer. c'est mauvais de retenir sa respiration comme ça vous pourriez vous évanouir...
je me calmai peut a peut. une fille du pensionnat. kyra qui plus est. je sentis les battement de mon coeur et je me rendis compte a quel point j'ai frisée la crise d'apoplexie. il faut que j'apprene a me calmer et a ne plus avoir peur du moindre bruit.
désole mesdemoiselle mais je suis sur mes gardes depuis ce qu'il m'ai arrive il y a quelque temps. j'ai été longtemps absent et l'état du jardin le montre mais je suis rentrée au pensionnat en très piteux état. je me suis fait attaquer en chemin par deux personne et... elles m'ont mises en piteux état. c'est pour sa que je suis très comment dire euh tendu.
en parlant de l'attaque je montrait mes cicatrices sur mon flanc: trois belles marques blanche. comme si une bête m'avais griffai sauf que c'était trop net pour que ce soit une marque de griffure d'un animal
-les deux personne qui m'ont attaque avais tout deux des pouvoirs. l'un sortait des griffes de ses mains et c'est lui qui m'a fait cette blessure. l'autre lançait des cartes tranchante a une vitesse inouïe. il contrôlait la trajectoire de ses carte. j'en ai reçut une dans le dos. je remercie esmeralda et Alice de m'avoir trouve et ramène ainsi a l'infirmerie. mais maintenant je décide de nettoyer le jardin mais sa va etre très long.

planquée derrière Fire, les mains sur ses omoplates, je me sentais soulagée de voir que ce n'était qu'une élève du pensionnat, il m'a flanqué une sacrée trouille à flipper pour si peu, j'appuyai ma tête contre son dos en soufflant puis me décalai sur le coté quand il prit la parole pour nous expliquer la raison de son état en nous montrant ses blessures, ce n'était pas joli a voir, mais pourquoi s'est-il fait attaquer? qu'est-ce que ces personnes voulaient? cette histoire ne me rassurait pas du tout et j'espérais que des élèves n'allaient pas subir le même sort, il va falloir les retrouver s'ils représentent une menace pour le pensionnat.

- vous pensez qu'ils vont revenir? pourquoi ont-ils fait ça? je regardai Kyra, elle avait l'air forte mais ce n'est pas le cas de tout le monde à commencer par moi. Il va falloir sécuriser le pensionnat et lancer des recherches pour les retrouver on ne peut pas risquer une nouvelle attaque et ils nous ont peut être localiser.

Fire n'était pas encore remit de sa mésaventure, il ne pouvait pas encore nous aider ça serait trop risquer.