Elève non volant et verre brisé [Sali Cruise] :

Célia sauta à bas du bus et s’étira. Le véhicule avait transporté en tout et pour tout cinq personnes. Elle, le chauffeur, une jeune fille et deux jeunes hommes. Célia avait d’ailleurs passé le voyage à polluer les rêves de l’un d’eux. La raison ? Déjà elle s’ennuyait et en plus au moment de monter dans la navette il l’avait bousculé et lâcher un "Oh ! Désolé petite je t’avais pas vu. " Elle le regarda s’éloigner, le pauvre avait l’aire pâle il devrait passer à l’infirmerie, elle lui donnerait à boire quelque chose qui n’aurait aucun effet mais dons le gout exécrable restait des heures collé sur la langue… En faite il ferait mieux de ne pas passer à l’infirmerie. Célia passa une main dans ses cheveux pour chasser cette idée, passer à l’infirmerie elle s’en occuperait demain pour le moment elle souhaitait poser ses affaires dans sa chambre et prendre une douche. Puis ensuite peut-être qu’elle vaquerait un peu dans les alentours pour voir ce qui avait changé depuis son départ. Du moins c’est ce à quoi elle pensait en trainant sa valise vers l’entrée du bâtiment jusqu’à ce qu’un élève ne passe par la fenêtre. Il eu le bruit un bruit de verre cassé, un cri puis l’élève s’écrasa dans au sol. Célia pensa qu’il avait eu de la chance de ne tomber que du premier étage. Après un bref silence, le temps que tout le monde se rende compte de ce qui venait de se passer, les personnes présentent commencèrent toute ou presque à converger vers l’élève à terre. L’infirmière hésita un instant entre passer en ignorant ce qu’elle avait vu et aller prendre une douche ou intervenir. Prendre une douche semblait très tentent. Vraiment tentant… Mais il y avait de grande chance pour que quelqu’un débouler dans sa chambre pour lui demander d’aller soigner le crétin qui avait tenté de voler. Elle laissa donc sa valise et se dirigea vers la masse grouillante des élèves qui s’épaississait rapidement.
« - Poussez-vous ! » Dit-elle aux élèves devant elles.
Un seul se retourna, lui lança un coup d’œil puis s’en désintéressa rapidement. Elle lui décocha un coup de pied dans le nerf sciatique au niveau du creux poplité ce qui eu pour effet de la faire tomber puis se faufila dans la foule.
« - Écartez-vous ! » Lança-t-elle en arrivant au niveau du blessé.« - Poussez-vous !! »
Mais personne ne l’écouta. Elle saisi alors deux mains au hasard et les propriétaires chancelèrent avait de s’effondrer, les autres élèves préférèrent reculer. Célia s’agenouilla près du planeur. Il avait des morceaux de verre dans les bras mais à condition qu’ils ne soient pas enfoncés trop profondément ce n’était pas bien grave, il gémissait donc il était vivant. Elle passa sa main derrière le crâne, il était intact. Il avait les bras replier autours de la tête ce qui était inquiétant, un morceau de verre dans l’œil c’est vite fait.
« -Fais-moi voir ton visage. » Réclama-t-elle et comme précédemment elle n’obtient aucun ne résultat. « Je suis Célia Somey, la nouvelle infirmière et si tu veux que je t’aide il faut que je vois si tu es blessé ou pas. Alors laisse-moi voir ton visage. » Ou bien crève en silence au moins.
Elle saisit le poignet du jeune homme et l’écarta. Elle constata avec soulagement que son visage n’avait rien.
« - J’ai besoin d’aide pour le transporter jusqu’à l’infirmerie.
-Je peux la téléporter. »
Célia leva la tête vers la jeune fille qui venait de parler.
« - Si tu métrise correctement ton pouvoir on se retrouve à l’infirmerie mais je ne veux pas vous voir en pièces détachés. »
La jeune fille hocha la tête, agrippa le blesser et ils disparurent. Célia retourna à sa valise et se dirigea vers l’infirmerie. Arrivé devant elle poussa la porte et se redit compte que celle-ci était fermée, bien sûre elle n’en possédait pas encore la clé.

Ah la la que des gros crétins c'est garçons... Tien d'ailleurs c'est pour se surnom complètement stupide que j'en ai encore balancer quelqu'un par la fenêtre... Ah c'était quoi encore... "La lanceuse" ou bien "la voltigeuse" ou c'est "la briseuse"... Bon bref ! C'est idiot mon bien énerver avec leurs stupide chansonnette... Bref, j'ai envoyer leurs boss rencontré la fenêtre puis le sol. Bref, les autres on vite compris qu'il fallait arrêter de m'embêter... Et par la même occasion je doit arrêter de dire "bref". Je regarde par la fenêtre briser, l'élève que j'avais défenestrée, semblait quelque peu mal en point, un peu comme tous ceux que je jettes par la fenêtre. Je n'ai pas de pitié pour ceux là ! Il ne mérite même pas ! Et puis, il ne fallait même pas me cherchais. Quand je regarde les autres "gogo" de sa bande, je me dis *Ils n'en valent pas mieux que leur clown de chef* bon c'est vrai, dès fois je fais un peu allusion à des personnes du cirque, mais c'est vrai ! Même avec leur pouvoir ils sont même pas fichus de savoir se défendre ! Ils ne savent même pas se battre et ils se prennent pour des gros dures ! Ils me font bien rires ses clown, mais bon ça devient énervant à longueur de journée ! La dernière fois... J'en tenait un au dessus du vide, il a pas arrêter de crier "au secour ! Au secour ! Je veux ma maman !" ah j'vous dis pas comment je me suis bien amusée ! Sauf qu'en il crie ça pendant deux minutes non stop, en plus ses copains sont même pas fichue de le protéger...

Bref ! Je m'étale un peu trop sur les détails. Je soupira en regardant les autres clown avant de dire d'un sourire sadique.

- Alors... A qui l'tour ?

Bon au moins ça à fait le bon effet, ils sont sortir en trombe, tellement il essayer de passer il n'y avait plus de place. Mais ils ont quand même réussi à me foutre le camp ! Je soupira une nouvelle fois... En posant ma main sur mon cahier... Qu'es que j'y avait noté... Ah oui mes notes de musique. Je sentis une petites douleur, ah merde ! J'avais poser ma main sur un énorme bout de verre... ça fait un de moins pour l'autre défenestrée. J'enleva rapidement ma main du cahier, et essaya de repérais le bout de verre... Et merde ! Faillait qu'il soit grand et qu'il me rentre complètement dedans...

Je sortis de la pièce tout en retenant les gouttes des sangs avant qu'elle ne tombe à terre, je chercherai un truc pour les faire disparaître... Manquerez plus qu'on essaye de trouver à qui appartient le sang. Je'arriva rapidement dans le hall et je demande à la concierge.

- Je pourrais avoir la clé de l'infirmerie s'il vous plais ? dis-je tous en gardant ma main derrière mon dos.

Elle me la donna sans un mot, super, je me voyais mal lui expliquer pourquoi. Je sillonner rapidement les couloirs remplie de porte et de fenêtre. En arrivant vers l'infirmerie, je remarqua une gamine qui était accroupie près du type que j'avais défenestrée et une autre fille qui était avec eux... J'aillais encore une fois devoir jouer un rôle que je déteste, celui de la gentille petite élève... Bon à en voir les personnes, je dirai que la gamine qui est accroupie est l'infirmière vue la façon qu'elle tien le poignet du garçon et l'autre une simple élèves. Je soupira intérieurement. Je présenta la clé tous en gardant ma main caché derrière mon dos.

- Euh, j'ai la clé, je peux vous aidez ?

Encore un "vous"...

Célia soupira et jeta un coup d’œil aux deux jeunes gents. La fille semblait fatiguée mais au moins ils semblaient être arrivés intacte. Etrange pouvoir tout de même qui ne permet pas de se téléporter à travers les portes fermés. Elle s’accroupi de nouveau près du jeune homme qui commençait à vouloir se relever et lui saisit le poignet.
« - Bouge pas. Je vais chercher la clef et je reviens. »
« - Euh, j'ai la clé, je peux vous aidez ? »
A ces mots le jeune homme se réveilla tout à fait écarquillant les yeux. Célia se retourna et observa la jeune fille, elle cachait un bras derrière son dos et semblait légèrement crispée.
« - Oui, merci de me l’avoir apportée. »
Elle prit la clé et ouvrit la porte puis aida le jeune homme à se lever.
« - Merci pour ton aide. Tu devrais aller demander aux cuisines de te donner un truc sucré. » Dit-elle à la téléporteuse qui hocha la tête et s’éloigna.
Puis elle conduit le jeune homme à l’intérieur.
« - Entre donc comme ça je pourrais jeter un coup d’œil à ta blessure aussi. » Maintenant qu’elle était à l’infirmerie un ou deux blessés ça changeant pas grand-chose. « Et s’il-te-plais apporte ma valise à l’intérieurs. »
La valise en question était posée dans le couloir, juste à côté de la porte. Elle demanda au jeune homme d’enlever son haut, tira le rideau puis se dirigea vers le fond de l’infirmerie à la recherche de ce qui lui serait utile.

A peine j'avais prononcer mes mots que le voltigeur se réveilla en écarquillant les yeux... C'est bien qu'il met reconnue, je pourrais lui foutre une autre racler la prochaine fois, enfin si il na pas retenue la leçon. J'avais bien raison concernant la gamine, c'est elle l’infirmière.
Elle me remercia, je pensa "au même pas la peine de me remercier, si tu savais pour quel raison c'était tu le dirai même pas" c'est tellement bien de pouvoir se moquer de gens en le pensent. Tant qu'elle est pas télépathe ça va ! Elle me prit la clé et aida le voltigeur à se relever. Puis elle ordonna à l'autre fille d'aller prendre un truc sucrée, elle devait surement être une téléporteuse pour pouvoir arriver avant moi.
Elle conduit le voltigeur (c'est décider à partir de maintenant je l’appellerai comme ça) dedans avant de me dire de venir pour qu'elle jete un coup d'oeil à ma blessure...
Wouah c'est une devin ou quoi ! J'ai rien montré et pourtant... Les gens du pensionnat n'arrêteront pas de m'impressionner même si j'en ai vue des belles depuis mon arrivé. Elle ajouta aussi de lui amener sa valise. Ah elle venait de rentré d'un long séjour alors ! ça doit faire une drôle d'impression de partir longtemps et revenir chez soi, car, disons la vérité, Black Rose et la maison de beaucoup d'élève.
Je fis venir sa valise en la faisant léviter pour qu'elle rentre toute seule. Je maintenant toujours les gouttes de sang en suspension, bah oui... Où les jeter... Dans l'évier ! Je jeta rapidement le sang en suspension dans le trou de l'évier, n'y vu, n'y connue, un peu comme un voleur quoi... Je regarda dans le fond de l'infirmerie, les seules fois où j'y était entré c'est quand on avait du amener cet incapable d'hurkisho, après c'est Damon qui à étais tabasser pas la bibliothècaire et pendant le virus, mais bon je mettais un peu habituer au endroit ou se trouver les médicaments.

- Euh, tu as besoins d'aide, je sais un peu ou se trouve les bandages, aiguilles et cætera (si tu préfère "etc")

J'ai juste marre de dire "vous" surtout qu'a force de toujours demander poliment c'est devenu un peu chiant, et puis j'aime pas les petits train d'habitude.

L’infirmerie était constituée de deux pièces. La salle principale contenant les lits et au fond un bureau. Une large fenêtre séparait les deux pièces, pour le moment les rideaux étaient tirés. Célia observa du coin de l’œil la jeune fille faire flotter sa valise et jeter son sang dans l’évier.
« - Non merci. Je sais où Irène range tout ça. » Déclara-t-elle en ouvrant l’armoire à coté de la porte.
Irène était l’ancienne l’infirmière qu’elle avait remplacée et qui exerçait déjà à BlackRose lorsqu’elle y étudiait. Elle l’avait souvent aidée donc elle était déjà habituée à l’organisation de l’infirmerie. Elle trouva sans difficulté ce dons elle aurait besoin pour soigner le jeune homme puis revient vers ses patients et posa le matériel sur le lit à côté de la jeune fille. Puis se baisa pour ouvrir sa valise d’où elle sortit une blouse, parsqu’elle n’avait pas envie de tacher ses vêtements, qu’elle posa également sur le lit avant d’aller se laver les mains.
« - Fait moi voir ta blessure. » Demanda-t-elle en se revenant.
Elle enfila la blouse et pris l’élastique qui se trouvait dans une des poches pour s’attacher les cheveux.

- Non merci. Je sais où Irène range tout ça.

Irène ? C'est qui celle la ? Surement l'infirmière a fait son apprentissage, son mentor quoi. Je soupira, dire que quand on à essayer de soigner Hurkisho ils nous à fallut une bonne dizaine de minute avant de trouver se qu'on chercher. Et puis soupiré me fait un bien fou ! C'est comme si j'évacuer presque tous le stress, mais au moins je me sent mieux. Je m'étais assis sur un lit loin de l'autre qui semblais encore plus déranger d'être seul avec moi, de peur que je le rebalancer, bah c'est que si il m'emmerde encore. C'est dingue comme un petit morceau de verre peut faire mal, d'ailleurs pourquoi je l'ai pas enlever avec mon pouvoir ? Ah oui j'avais pas de bandage pour évitez que ça saigne. Je regardais par la fenêtre, les nuages commencer à grossir de plus en plus, la pluie va encore tomber... Même si ça risque d'être plus des grêlons que de la pluie, du coup je vais m'emmerder encore plus... Elle sortis une blouse de sa valise et des gants...

Euh... Elle compte pas me charcuter la main ? C'est juste une petit bout de verre qui y est entré (pas si petit que ça). Et puis elle à pas intére à me la charcuter, ça serai plus drôle quand je voudrais en jeter un par la fenêtre.

- Fait moi voir ta blessure.

Hum, d'ailleurs pourquoi j'y suis obliger ? C'est pas sympa. Je lui tendis la main qui était presque entièrement ouverte sur la longueur. J'aime pas quand quelqu'un s'occupe de moi, quand j'étais petite presque personne ne sait occuper de moi a part ma mère. Elle à surement du avoir une petite vie sympa...

Je détourna les yeux pour regarder le ciel, les nuages arriver de plus en plus, j'ai jamais aimer quand il pleut, ça me rend triste... C'est bien l'une des choses qui me rende le plus triste...

Ah ! Quand même, elle ne s’était pas loupée. Le morceau de verre lui traversait toute la main et il n’aurait pas pu passer à côté de la veine, non il s’était planté en plein dedans. A côté de ça le type qui avait traversé la fenêtre avait eu de la chance.
« - Je vais m’occuper de ton camarade. Je n’en n’ai pas pour longtemps. »
Célia se dirigea vers le jeune homme elle observa ses bras, la plus par des morceaux de verres avait été bloqué par les manches de son haut et ceux qui restaient n’étaient pas allé se planter bien loin. Elle les retira assez rapidement, désinfecta les plais et lui bandit les bras. Pour le reste il aurait sans doute des bleus là où il avait heurté le sol mais rien de grave. En faite ils avaient eu plutôt de bon reflexes durant sont vol plané, il s’était protégé le visage avec ses bras qui eux même étaient protégé par ses manches et il avait réussit à ne pas amortir sa chute avec ses bras sans quoi les morceaux de verre se seraient enfoncé dans sa chaire. Au final il avait été plus sonné qu’autre chose. Pendant qu’elle le soignait Célia tenta de lui parler, elle réussit à obtenir son nom mais quand elle lui demanda comment il s’était fait ça il marmonna un "Je suis tombé." Bien sûre, il était tombé assez fort pour traverser la fenêtre et planer sur plusieurs mètres. Où bien il s’était plutôt battu avec quelqu’un de la classe D qui l’avait accidentellement ou non projeté contre la vitre. Et sans doute même que la fille qu’il observait avec insistance avait observé ou participé à la scène.
« - Repasse après demain pour que je vois comment ça évolue. » Demanda Célia avant que le jeune homme ne quitte l’infirmerie.
Puis elle se dirigea vers la jeune fille.
« - Bien à toi maintenant. Comment tu t’appelle ? »

Je prêta même pas attention à se qu'elle me disait, de toute façon ça ne me concerne pas... Bon c'est sûr j'ai vraiment pas eu de chance cette fois si. Normalement j'éloigne tout les bouts de verres qui ont voler avant de m'appuyer sur quelque chose. Manque de bol, j'ai souhaité brûler les étapes... ça m'apprendra à brûlé les étapes...
Je jeta un regard désintéresser au garçons que j'avais envoyer voler. L'infirmière venait tous juste de lui demander comment il c'était fait ça. Il a tous de suite compris qu'il n'avait pas intérêt à dire la vérité. Finalement il inventa le mensonge qu'il était tomber... Bien... Je détourna le regard pour de nouveau regarder le ciel. Il commencer à grêler, le prochain qui risque de m'embêter risque franchement de passer par la fenêtre. De plus avec ces grêlons ça va faire encore plus mal... Elle dit au jeune voltigeur de repassé la revoir demain pour voir comment ça évolue... Enfin s'il ne passe pas entre mes mains entre temps. Elle finit par venir me voir et me dire.

- Bien à toi maintenant. Comment tu t’appelle ?

J'avais compris que c'était à moi... Pas la peine de me le dire, tien si j'inventer un gros mensonge pour une fois. Bon allez répond lui...

- Sali et toi ?

Le premier qui sort un mauvais jeu de mot, je le fait sortir par la fenêtre... Nan mais franchement ! C'est moi qui a hérité du prénom le plus pourrie de ma famille ! Franchement c'est n'importe quoi ! Une petite curiosité s'installa en moi.

- Au faite quel est ton pouvoir ?

J'ai toujours voulu savoir ça, à chaque fois que je rencontre quelqu'un c'est à peut près la deuxième question que je lui demande.

Célia tira une chaise jusqu’à la jeune fille et s’assit face à elle avant de lui prendre la main.
« - Sali et toi ? Au faite quel est ton pouvoir ?
- Je m’appelle Célia Somey et mon pouvoir fait partie de ceux dons il est plus avisé de taire la nature. » Elle leva les yeux pour croiser ceux de sa patiente, Sali puisque c’était son nom. « Crois-moi, tu n’aimerais pas savoir. »
Ce n’était pas vrai mais elle n’avait pas envie de révéler son pouvoir et puis effrayer les élèves était amusant aussi.
« - Dis-moi, comment t’es tu fais ça ? Tu étais avec ton camarade qui viens de sortir n’es-ce pas ? » Questionna-t-elle en examinant la blessure.
Elle se demandait si des points de suture étaient nécessaires ou si un bandage suffirait. Le problème étant que la veine était touché alors un bandage ne suffirait pas.
« - Je vais te faire des points de sutures. »
Elle se leva et se rendit dans la seconde pièce de l’infirmerie. Il y avait un bureau, un lit pour les veilles de nuit, une glacière pour les vaccins et une seconde armoire pour tout ce qui ne pouvait pas être utilisé par n’importe qui. Elle était fermée mais les clés étaient dessus. Elle en sortit du fils, une aiguilles et de l’anesthésiant. Bien sur avec son pouvoir elle pouvait se passer de ce dernier élément mais avec l’école de médecine elle avait pris l’habitude de ne pas l’utiliser lorsqu’elle prodiguait des soins. En même temps elle continuait à parler à Sali.
« - Il prêtant être tombé mais, dis-moi si je me trompe, toi tu sais ce qui c’est vraiment passé. »
Entre le faite qu’il y ait peu de chance que deux élèves se coupe avec du verre à deux endroit différant au même moment et qu’il n’arrêtait pas de la regarder la conclusion selon la quel ils se trouvaient dans la même pièce lorsqu’il avait jaillit à travers la fenêtre était plus qu’évidente.

- Je m’appelle Célia Somey et mon pouvoir fait partie de ceux dons il est plus avisé de taire la nature. Crois-moi, tu n’aimerais pas savoir.

De taire la nature ? Elle pourrait endormir les êtres vivants... Bah allez ! J'ai envie de savoir ! J'aime pas rester sur un échec. Mais bon, grâce à mon pouvoir je peut faire croire qu'il y a des fantômes... Dans certaine classe ça fonctionne hyper bien ! Et c'est trop cool, de les voir chercher n'importe quoi. J'aime bien ! J'ai cru comprendre qu'ils avaient monté un club de spiritisme pour trouver... Je me suis marré de rire en l'apprenant.

- Dis-moi, comment t’es tu fais ça ? Tu étais avec ton camarade qui viens de sortir n’es-ce pas ?

Okkk... Fallait quel pose cette question ? Hum c'est pas possible la façon dont les gens veulent toujours savoir, surtout sur les sujets les plus énervant. Ou à évitez au choix.

- Je vais te faire des points de sutures.

Des points de sutures... Okkk... J'aurai mieux fait de faire attention... C'est énervant... Je me retiens de soupirai, fait chier, je comprend pas trop pourquoi... Bah allez, si je le recroise il risque de passer un mauvais quart d'heure. Elle sortis de la pièce surement pour allez prendre du fils et une aiguille. Elle me répondis en même temps, enfin elle parle toute seul, car moi j'étais moitié à l'Ouest et sur terre.

- Il prêtant être tombé mais, dis-moi si je me trompe, toi tu sais ce qui c’est vraiment passé.

Euh... Rien à dire... Je me retiens de soupirais.

- J'en sais rien de se qui c'est passé. Je me suis coupé avec un morceau de verre dans ma chambre...

Super le mensonge ! Non nan ! J'vous jure c'est vrai de vrai là ! C'est pas de l'ironie, n'y du sarcasme ! Allez c'est parti pour l'insistance.

- Allez dite le ! C'est quoi votre pouvoir !

Oh... ça fait plutôt mode exciter.

Sali prétendit ne rien savoir mais Célia ne la cru pas ceci dit elle n’insista pas. Même si elle le faisait Sali s’en tiendrait sans doute à son histoire alors ce n’était pas la peine de se fatiguer pour ça mais elle aurait bien aimé dire deux mots à la personne qui défenestrait ces camarades et l’obligeait à travailler dés son arrivée. Les élèves auraient pu avoir la politesse de se battre après qu’elle se soit installée, non ?
« - Allez dite le ! C'est quoi votre pouvoir ! »
Célia remplit sa seringue d’anesthésiant et vient se rassoir face à la jeune fille. Elle commença par désinfecter la zone où elle allait planter son aiguille puis pour empêcher la jeune fille de porter son attention sur la piqure elle continua à lui parler.
« - Pourquoi le devrais-je ? Si tu veux vraiment savoir tu devras le deviner par toi-même. Mais je ne te donnerais aucun indice. »
Ce n’était pas qu’elle chercher à le cacher mais c’était simplement qu’elle n’avait pas envie d’en parler. Depuis toujours en faite elle évitait d’en parler, elle l’utilisait et n’en parlait pas. C’était comme ça et pas autrement. Elle retira la seringue.
« - Il va falloir attendre un peu que l’anesthésiant fasse effet. »
En attendant elle prépara le fil et l’aiguille.

Elle planta l'aiguille dans ma main, de toute façon qu'es que j'avais à faire d'une simple petit aiguille. Oui c'est pour désinfecter et alors je n'ai pas peur d'une aiguille comme certaine personne.

- Pourquoi le devrais-je ? Si tu veux vraiment savoir tu devras le deviner par toi-même. Mais je ne te donnerais aucun indice.

Humm... Pire que le rabat-joie qui vient juste d'entrée dans la classe D... Nan mais pourquoi les adultes on tant de secret, ça ne sert à rien d'avoir des secrets si c'est pour les cacher au yeux des autres... Même si c'est ça le but d'un secret, c'est de cacher la vérité... Et un mensonge c'est modifier la vérité ou ne pas la dire... Raah mais cc'est compliquer se genre de chose ! Pourquoi ils ne pouvaient pas inventer un mot pour ces deux mots là !

- Il va falloir attendre un peu que l’anesthésiant fasse effet.

Hum, je vais pas sentir ma main, mais bon ça m'apprendra à jouer avec le verre... D'ailleurs je me demande jusqu'à où il est arriver, faudrait quand même pas qu'il ai transpercer... Oh est puis zut ! J'essayerai de voir ça plus tard.

- Au faite... Comment vous avez découvert Black Rose ?

J'aimerai bien le savoir, ça serai bien, même si la plupart des gens me disent que c'est en regardant le journal... Moi aussi je l'ai découvert en tombant (oui oui tomber) sur un journal. Dire que ça ma drôlement sauver la vie, sinon, je serai surement en train de travailler dans se bar tout pourri. Je regarda l'infirmerie, elle est vraiment blanche, j'aime pas le blanc, ne me demander pas pourquoi mais c'est comme ça.

-Hum je dirai que votre pouvoir c'est d'endormir les gens, car tout à l'heure vous avez dit "plus avisé de taire la nature" donc soit vous pouvez endormir ou les tuer...

Drôle de raisonnement mais c'est le mien, et au moins si j'ai visé juste ça serai bien et si non, ça serai moins bien.

« - J’y ai fait mes études. Tu sais dans les familles de magiciens BlackRose est connu et même assez réputé. »
Célia ne précisa évidement pas que sa famille était seulement à moitié des magiciens. Sa mère n’était évidement pas au courant pour le pensionnat. C’était son père qui lui avait dit que si il lui arrivée quelque chose elle pouvait s’y rendre. Sa sœur avait refusé de l’y accompagner. Elle la tenait pour responsable de la mort de leur père.
« - … vous pouvez endormir ou les tuer...»
Célia fut tirée de ses pensées par la réplique de la jeune fille. Cependant elle n’écouta que la fin de la phrase.
« - Tuer… J’imagine que d’un certain point de vu je peux tuer. »
Elle n’avait pas du tout répondu à la question. Elle passa une main dans ses cheveux pour chasser les mauvaises pensées, n’était-elle pas passée à autre chose depuis longtemps ? Comment faisait cette maudite gamine ? Peut-être étais-ce dû à son retour au pensionnat, c’est vrai qu’en descendant du bus elle s’était rappelée de sa première arrivée. Elle se rendit compte qu’elle venait de contaminer le gant, elle se leva pour le jeter et en pris un autre.
« - Bon. Es-ce que l’anesthésiant à fait effet ? Essaye de bouger tes doigts. »

- Tuer… J’imagine que d’un certain point de vu je peux tuer.

Alors j'avais vu juste, son pouvoir servais à endormir les gens. Mais je ne comprends pas pourquoi, elle n'a pas voulu le dire, surement pour garder le mystère ou pour faire peur... De toute façon je crois que je vais pas en obtenir plus, d'ailleurs si elle est vraiment l'infirmière mieux vaut pas que je m’énerve avec elle, surtout si je me blesse souvent... Pourquoi je démarre toujours au quart de tour. De toute façon c'est eux qui commence alors après même pas la peine de venir se plaindre !
Je tenais mon menton dans une de mes mains et je regardais par la fenêtre... Un temps pourrie pour des journées toutes pourries... C'est dingue comme un simple évènement peut vous gâcher la journée entière.

...fait effet ? Essaye de bouger tes doigts.

Qu'es qui à fait effet... Ah oui ! Son machin, l'anésthési ou anesthésiant... Nan mais pourquoi les noms des produits en médecines sont souvent si long et dure à retenir. J'essaye de bouger mes doigts... Sans effet d'ailleurs je ne sent même plus la douleur. Je finis par dire un peu dans un soupire.

- Oui votre machin à fait sont effet...

"Machin", j'ai encore oublier comment ça s'appeler et puis à quoi ça servirai de retenir un truc pareil, c'est pas comme si j'allais faire médecin ou infirmière... Franchement ça serai le dernier truc que j'aimerai faire... D'ailleurs on peux ne pas vouloir quelque chose alors qu'elle va se réaliser...

La jeune Sali semblait un peu démoralisé, mais en même temps ce n’est pas super gai les points de sutures. Se faire charcuté la main non plus. Au moins avec l’anesthésiant la jeune fille ne se plaindrait pas de la douleur.
« - Et toi, comment à tu connus le pensionnat ? »
Célia commença par faire un garrot pour pas que la jeune fille perde trop de sang lorsqu’elle retirerait le morceau de verre il en eu tout de même un peu qui se déversa sur sa blouse. Il restait encore du verre qui s’était brisé dans la blessure. Elle avait pris la bonne décision pour les points de sutures.
« - Depuis combien de temps es-tu là ? »
En faite Célia s’en moquait puisqu’elle était concentrée sur la blessure mais mieux valait occuper sa patiente. Elle du agrandir légèrement la plaie pour récupérer le morceau brisé à l’intérieur. Il ne semblait ne pas avoir d’autre débris. Elle désinfecta soigneusement, c’était tout de même l’étape la plus importante et cela lui prit un peu de temps. Elle vérifia qu’il n’y ait plus de verre, ce n’était pas le cas, il ne lui restait plus qu’à recoudre.

- Et toi, comment à tu connus le pensionnat ?

Comment je l'ai connue... Grâce à un journal c'est bien de travail dans un endroit pourrie de temps en temps. Remarque en voyant cette annonce je ne sais pas se qu'il ma prit mais j'ai tout de suite voulu y allez. Franchement c'est la meilleur décision que j'ai eu après avoir quitter mon "foyer".

- Depuis combien de temps es-tu là ?

Ah pourquoi tout le monde me pose cette question. Je finis par répondre d'un ton las, se n'est par parce que j'étais fatiguée c'est juste que je commencer à en avoir marre... J'ai toujours fait des conneries, et pourtant j'ai jamais rien fait pour arrêter ça... C'est surement pour ça qu'elle me disait de les protèges.

- J'ai connue le pensionnat grâce à un journal, après je suis arrivée vers Août. Et toi ?

Bon alors là je me suis pas très vouvoiement mais là j'ai réussi à pas le dire. Mais bon dès fois ça sort tous seul et puis ça sert à quoi de tutoyer ou de vouvoyer quelqu'un ? Juste une forme de politesse et alors ? J'aime pas être polie mais dès fois je ne cherche même pas si c'est vous ou tu.

Célia n’aimait pas les points de sutures. Bien sûre elle en avait déjà pratiqué… sur des morts. Mais ceci dit pas de crainte à avoir elle se débrouillait plutôt bien sur les morte et le faire sur des vivants n’était pas tellement différent les seule différance était que les morts ne bougeaient pas et ne craignait pas la douleur si elle ratait un point mais la jeune Sali était anesthésié, pas de souci de ce côté, et qu’ils ne craignaient pas les infections et Célia avait pris toute les précautions nécessaires de ce côté-là. En vrai elle en avait aussi pratiqué sur des personnes vivantes durant sa dernière année lorsqu’elle s’occupait des urgences. La nuit beaucoup de personnes se battent à coup de bouteille d’alcool ou s’ouvrent avec le coin de leur table de nuit, elle était devenue assez douée mais ça n’empêchait pas qu’elle n’aimait pas ça surtout au dessus de la veine.
« - Comme je l’ai dit tout à l’heure je l’ai connue par ma famille… »
Elle laissa sa phrase en suspend le temps de faire le premier point qui était le plus délicat.
« -… et c’était il y à dix ans. »
Elle avait 10 ans, bien que l’âge minimum soit normalement de 14 ans, il arrivait que certain pensionnaires s’y installe plus jeune, grâce au directeur. Elle y était restée 7 ans et fait 3 ans de médecine.

- Comme je l’ai dit tout à l’heure je l’ai connue par ma famille…

Ah oui, je l'avais complètement oublier... Oh c'est pas grave on verra bien ça plus tard et puis c'est pas si grave quand même ? C'est étrange, pour une fois que je suis à l'infirmerie, c'est vraiment étrange... Jamais personne ne c'est occuper de moi et pour une fois... C'est vraiment étrange.

-… et c’était il y à dix ans.

Elle est arrivée ici à dix ans ? C'est vraiment étrange de savoir que des gens étaient arriver ici avant même d'avoir onze ans. ça me fait une drôle d'impression, les seule personnes que je savais plus âgée que moi et qui était du corps enseignant, c'est un peu obligatoire non ? C'était Perle qui est d'ailleurs dit R.I.P par les élèves, et Keiko la surveillante. Après Peter j'essaye de pas le croiser au maximum car avec toute les bêtises que je fais ça peut se transformer en punition. Je finis par dire.

- Qu'es qui t'as donner envie de venir à black Rose ?

Soit black Rose était appeler comme ça ou bien les élèves disaient BR j'ai jamais eu envie de l'appeler comme ça.

[désolé c'est vraiment court mais j'avais pas trop d'idée]

Célia interrompit la danse de l’aiguille sur la peau de la jeune fille et leva les yeux vers son visage.
« - Je ne me souvient plus. Es-ce vraiment important ? C’était il y a la moitié de ma vie. »
Pourquoi posait-elle ces questions ? Ben sûre Célia savait que c’était simplement par curiosité et elle ne voulait pas s’énerver contre Sali pour ne plus qu’elle ne lui pose de question mais pour autant elle n’avait aucune intention d’y répondre. Tout ce qui concernait l’avant Célia l’avait enfermé dans un coffre fort de son esprit. Même si les souvenir revenaient encore la hanter.
« -Tu pose beaucoup de question Sali. Et si tu me parlais plutôt de toi. »
Célia espérait distraire la jeune fille assez longtemps pour finir ses soins en paix. En plus si elle n’avait pas à répondre elle pourrait se concentrer sur la couture.
« - De ta famille, de tes pouvoirs, de ton arrivée au pensionnat, de tes amis et de tes cours.»
Que la jeune fille choisisse l’ordre des sujets dans la liste.

- Je ne me souvient plus. Es-ce vraiment important ? C’était il y a la moitié de ma vie.

Non pas vraiment mais bon, ça serait stupide de rester, assise là à attendre qu'elle finissent sans rien dire, mais bon c'est surtout que j'ai pas envie d'attendre dans le silence. Surtout que c'est pas drôle et puis c'est bien une vie...- euh ancienne. Mais bon c'est quand même étrange de savoir que maintenant il y a une infirmière au pensionnat.

-Tu pose beaucoup de question Sali. Et si tu me parlais plutôt de toi.

J'ai jamais aimer parler de moi, je n'aime pas relater le passée, surtout que le mien n'est pas des plus beau... Un peu comme tout ceux qui sont venu ici, c'est comme si un déclike c'était produit en eux pour qu'il tombe sur se journal. Il faut dire que je n'ai presque pas sourie, c'est juste à cause de mon passée... Trop de douleur, trop de bêtise et presque rien de bien...

- De ta famille, de tes pouvoirs, de ton arrivée au pensionnat, de tes amis et de tes cours.

Wouah, justement les sujet que je déteste aborder... Bon alors je supprimer ça et ça. Je me retiens de soupirai, attendez vous à avoir un grand soupir en sortant de cet endroit maudit, j'aime pas les endroits tout éclairez.

- Alors, mon pouvoir je te laisserai le deviner comme tu la fait avec moi. Mon arrivée au pensionnant j'ai juste trouver un journal où il y avait une annonce. Vu que je travailler dans un bistro tout pourrie, tu devineras rapidement le choix que j'ai fait.

Bah oui j'allai pas rester à bosser là-bas le reste de ma vie, surtout que ça serai du pouvoir gâcher. Et puis vue qu'elle na pas voulu me dire autant que je la laisse deviner ! Oui oui à charge de revanche.

- Après, j'ai rencontrée tellement de gens depuis Août que je n'arrive plus à compter combien j'ai d'amis ou d'ennemis, mais une chose est sûr j'ai plus d'ennemis que d'amis. Sinon les cours, je zaap complètement ! Je sais déjà les choses qui m’intéresse, et puis à quoi ça servirai de savoir faire des équations avec des chiffres et des lettres ?! Le type qui a inventer ça devait être frappa dingue !

Oui frappa dingue c'est deux mots je les fait revenir assez souvent, la cause je les aime bien et puis ils sont drôle, même si ça me fait passer pour une gamine.

Sa réponse fut plus expéditif que Célia l’attendait, la plus part des adolescents aimait passer des heures à se plaindre de leurs profs, à parler de leur amis ou à se vanter de ce qu’ils pouvaient faire avec leur pouvoir.
« - Je sais déjà que ton pouvoir est la lévitation. »
La jeune fille avait fait une belle démonstration en transportant la valise de Célia dans l’infirmerie. Mais ce qui l’étonnait c’était qu’une jeune fille de 15 ou 16 ans est put travailler dans un bar. Normalement l’entrée est interdite au mineure alors ne parlons pas d’y travailler. Et surtout que ses parents ou son tuteur l’ait laissé faire. Elle devait sans doute avoir pas mal de problème avec sa famille. De plus elle semblait avoir du mal à s’intégrer. Célia ne releva donc ni l’un ni l’autre.
« - Et les mathématiques serve à calculer des choses comme : En combien de temps une personne peut se vider de son sangs par une coupure ? Ou encore : De quel étage faut-il pousser un humain pour le tuer ? »
Deux sujets qui devraient intéresser la jeune fille.

- Je sais déjà que ton pouvoir est la lévitation.

Je me retiens de lui tirai la langue, elle à des yeux derrière la tête ou quoi ? C'est pas possible ! Elle doit être devin ! Nan mais vraiment elle est trop forte ! Tous les gens du personnel arrive à deviner quel est le pouvoir des élèves ? Mais c'est pas juste quand même ! Elle à réussi à deviner d'un coup !

- Et les mathématiques serve à calculer des choses comme : En combien de temps une personne peut se vider de son sangs par une coupure ? Ou encore : De quel étage faut-il pousser un humain pour le tuer ?

Ces paroles me fit sourire, franchement elle arriver toujours à tournée les conversation à des sujet intéressent ? Maaaaais quand même ! Je ne tenais pas à tuer quelqu'un et de toute façon, j'ai tuer qu'une seule personne et je regrette pas se geste ! Je sourie avant de lui dire.

- Bah ça, ça relevé du domaine de la médecine ! Et puis dedans il n'y pas de chiffre et de lettre ! Et puis j'ai jamais voulu tuer quelqu'un !

Elle essayer de me faire dire la vérité ou quoi ? De toute façon si je fais une gaffe je pourrais quand même essayer de rattraper, ça pourrait être drôle. En plus je souris rarement, c'est juste quand c'est drôle ou sympa.

« - Bien sûre, mais la médecine comporte beaucoup de math. »
Célia termina la suture, coupa le fils et reposa l’aiguille.
« - Et j’espère bien que tu n’as jamais envisagée sérieusement de tuer quelqu’un. »
Célia en avait une, une personne qu’elle envisageait sérieusement de tuer si un jour elle la revoyait. Elle espérait ne pas la recroiser, elle espérait ne pas à avoir à en arriver là mais elle savait que ça pouvait arriver et elle s’y était préparée depuis bien longtemps.
« - Je vais te faire un bandage pour éviter que ça se rouvre. »
Elle banda rapidement la main de façon à l’immobiliser au maximum.
« - Si tout ce passe bien j’enlèverais le fils dans deux semaines et tu ne devrais pas avoir de cicatrise. Ça risque de te démener mais ne te gratte pas. Si ça gonfle, rougi ou te fait mal revient me voir. »
Elle se leva et alla jeter le verre. Puis elle récupéra le matériel utilisé qu’elle mit à désinfecter.

- Bien sûre, mais la médecine comporte beaucoup de math.

Bah oui, c'est pas logique ? Il faut bien mesures combien de dose il faut donner à quelqu'un. Si on en donne trop elle peut mourir.

- Et j’espère bien que tu n’as jamais envisagée sérieusement de tuer quelqu’un.

Si une fois, mais c'était y a longtemps. Et j'espère bien qu'il soit mort ! Il ne ma jamais servit à rien, se n'était juste qu'un bel ordure, qui n'aurai pas sa place ici ! Si je le retrouve vivant, je ne l'épargnerai pas ! ça c'est sûr !

- Je vais te faire un bandage pour éviter que ça se rouvre.

Bah de toute façon j'aurai récolter un bandage que je le veuille ou non. Elle banda rapidement ma main, de toute façon là j'aurai même pas eu besoin de la bouger, et puis je retiens la leçon maintenant...

- Si tout ce passe bien j’enlèverais le fils dans deux semaines et tu ne devrais pas avoir de cicatrise. Ça risque de te démener mais ne te gratte pas. Si ça gonfle, rougi ou te fait mal revient me voir.

ça fait plein d'information à retenir d'un coup ! Comme si j'en avais besoin et puis... Enfin si j'en aurai besoin d'un minimum mais... Bah j'essayerai de faire pour pas gratter... Je demanda.

- Vous étiez dans quel chambre avant ?

« - J’étais dans la deuxième chambre. »
Mais heureusement elle en avait changée. Peut-être que si son ancienne colocataire y était encore elle s’y serait réinstallé car malgré sa taille de girafe elle l’aimait bien. Après tout elles avaient passé 7 ans ensemble. Mais malheureusement cette dernière avait disparue depuis trois ans lors d’une mission. Dans les informations qu’elle avait continué à recevoir du pensionnat Célia avait apprit que l’équipe qui était partie à sa recherche n’avait trouvé aucune trace d’elle. Et niveau recherche de personnes disparue l’équipe en question n’était pas des bras-cassés, un de ses membres avait le pouvoir de retrouver n’importe qui, où que la personne se trouve la surface où dans les profondeurs de la Terre. Ce qui voulait dire qu’elle avait simplement et purement disparue ou été envoyée dans l’espace.
« - Je me demande qui l’occupe maintenant. »
Et aussi ce qui avait été fait de ses affaires.
« - Mais c’est la chambre dix qui m’a été attribué à partir d’aujourd’hui. »
Célia aimait les nombres pairs, elle pensait qu’ils portaient plus de chance que les nombres impaires.